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19/04/2013

Etude n°4 : Seigneur de toutes les nations, Amos 4.6-13 (27 04 13)


Introduction au livre d'Amos

Le nom de ce prophète signifie « pesant », « fardeau », ou « porteur ». Ce prophète est originaire de Juda (7.12), d’un hameau au sud de Bethléem. Berger bouvier (7.14), il n’a pas vécu dans une école de prophètes, donc n’est pas « prophète professionnel ». Il prophétise dans le royaume du Nord, Israël, à l’époque de Jéroboam II, au début du 8ème siècle av JC (7.10), dans un style populaire, illustré d’images agricoles.

La victoire sur les Syriens avait permis au royaume du nord de retrouver ses limites  anciennes conformément à la prophétie de Jonas, fils d’Amittaï (2 Rois 14.25). Le roi Jéroboam II avait apporté à son peuple une prospérité qui lui avait fait oublier l’Éternel : il était tombé dans la corruption et l’idolâtrie des veaux d’or.

La mission d’Amos, appuyée par un tremblement de terre (1.1), consistait à annoncer ce qui attendait le royaume, si on ne revenait pas à l’Éternel. Un ennemi venu d’au-delà de Damas (5.27) mettrait fin aux dix tribus d’Israël.

Après deux chapitres de menaces contre les nations environnantes et contre Israël, quatre chapitres dont trois débutent par l’injonction « Ecoutez ! », constituent l’acte d’accusation contre le royaume de Samarie et ses grands, et annoncent sa ruine.

Les trois derniers chapitres du livre relatent les visions de la ruine d’Israël, et se terminent par la promesse de restauration. La troisième des visions provoque un conflit entre Amos et le sacrificateur de Bethel (ch 7, illustration).  La ruine du sanctuaire et des veaux d’or et la dispersion du peuple sont annoncées au chapitre 9.Amos et le faux prophète.jpg

 

« Ainsi le Seigneur, l’Éternel ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » Am 3.7

 

Observons Amos 4.6-13

Le contexte : le chapitre 3 annonce le jugement de Dieu, sans doute prononcé par Amos lors d’une prédication à Béthel. Les malheurs d’Israël dont Dieu avertit ses prophètes  (3.7) sont les signes par lesquels Dieu tente d’interpeller son peuple, pour lui éviter la ruine.

Le chapitre 4 commence par un second appel à l’écoute de la Parole de Dieu, lancé aux dames riches de la haute société de Samarie, qui se complaisent dans la violence contre leurs concitoyens pauvres, et qui encouragent leurs maris à la débauche et à l’injustice. De plus leur culte formaliste et idolâtre, décrit avec une grande ironie, n’évitera pas et même provoquera la destruction violente du royaume, que le texte de l’AT attribue toujours, par une sorte d’anthropomorphisme,  à la « colère de Dieu » contre un peuple rebelle. Par le NT et Jésus, nous pouvons dire que ces malheurs considérés comme des jugements de Dieu, sont l’expression de la séparation d’avec Dieu qui ne peut plus protéger des conséquences de leurs erreurs, ses créatures coupées volontairement de Lui (Ap 13.10 ; Mat 26.52 ; 23.37-38Rom 1.22-25)

 

Le texte :

V 1-11 : Cinq oracles rappellent les épreuves, les circonstances naturelles du passé, « utilisées » en vain par Dieu, pour inciter le peuple à revenir à Lui : famine, sécheresse, maladie de la végétation, puis des hommes, tremblements de terre.

V 12-13 : Avertissement du Créateur pour se préparer à le rencontrer.

 

Comprenons

Le contexte : A partir de ses invectives contre les femmes riches, Amos a étendu la prophétie à tout le royaume. Il en stigmatise le culte idolâtre et exagéré de Béthel et Guilgal. Osée un peu plus tard (Os 4.15) qualifiera ces deux lieux sacrés de « Beth Aven » : « Maisons de Néant ». Le peuple des dix tribus y adorait  des veaux d’or et y célébrait la mémoire de la première Pâque, tout en croyant honorer l’Éternel. Amos les appelle des « lieux de péché », car le culte idolâtre est une séparation d’avec Dieu (= le péché) et il se poursuivait dans les orgies et la prostitution sacrée. Amos rappelle qu’il est inutile de multiplier les actes de piété, chaque matin ou tous les trois jours, ou d’observer scrupuleusement toutes les règles religieuses ou alimentaires, si cette religiosité formaliste s’accompagne d’orgueil spirituel et de désir de paraître. Jésus fera les mêmes reproches aux Parisiens (Mat 23.23) !

 

Le texte

Pour faire comprendre à son peuple la vanité de ces attitudes, Dieu a utilisé les circonstances naturelles fréquentes en Palestine, véritables plaies de ces régions au climat très sec. Ni la famine, ni la sécheresse, ni l’absence de pluie au bon moment ou au bon lieu, n’ont fait réfléchir les Israélites à leur relation à Dieu. Les fléaux ont atteint la végétation sans plus de succès. Les êtres animaux ou humains ont subi maladies, meurtres et décomposition, toujours en vain. Même un tremblement de terre qui les a épargnés ne les a pas fait revenir à Dieu (v 6-11).

            Dieu conclut le refrain de ces reproches par un avertissement : « à cause de ton endurcissement je te traiterai ainsi ». Cet adverbe n’est expliqué que par la  « rencontre avec ton Dieu » du verset suivant. Dans ce contexte cette rencontre est le jugement de Dieu. Joël l’appelle « le Jour du Seigneur ». Tous les prophètes de la Bible l’annoncent pour les temps de la fin, tantôt comme un jour de délivrance pour le peuple opprimé, tantôt comme le jour terrible de la destruction des impies, dont les destructions successives de Jérusalem sont les préfigurations historiques et partielles.

S’y préparer a donc un double sens : par la repentance et le changement de conduite, le croyant se saisit avec assurance de la grâce de son Dieu. Mais celui qui reste impénitent peut s’attendre aux conséquences de son attitude. Se coupant de Dieu, Créateur de la vie, il va inéluctablement à la mort éternelle. Il est entièrement responsable de son sort, car l’Éternel ne manque pas de faire connaître sa pensée à  l’homme  par les prophètes (v 13 // 3.7). Le Seigneur est appelé « Dieu des armées » (= Seigneur de toutes les nations ?), non dans un esprit guerrier, mais pour signifier sa puissance et son autorité sur les armées d’anges qui l’entourent et sur toutes les puissances de ce monde. Un Dieu si puissant consent à s’approcher de l’homme pour lui révéler sa volonté ! Quel merveilleux amour, digne de notre respect et de notre attention !

            Toute cette exhortation peut s’appliquer encore à notre époque où les idolâtries les plus diverses se sont multipliées, souvent sous des formes subtiles de religiosité formaliste dans lesquelles les Eglises croient trouver leur identité, ou bien sous la forme de science et de raison, qui nient le Dieu Créateur au profit de recherches « légitimes » sur les origines de la matière et de la vie. Dieu nous rappelle que son Jour est proche, jour d’angoisse et de terreur pour l’humanité aveuglée par ses passions, jour d’espérance et de joie pour ceux qui se confient en sa grâce (Ap 6.16 ; 7.9-12).

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

 

-          Quel est l’état d’esprit qui préside à nos cultes et nos rassemblements religieux ? Qui y adorons-nous : Dieu, nous-mêmes, notre Organisation ?

 

-          Sur quoi notre recherche d’identité se fonde-t-elle ? le conformisme à nos traditions, le formalisme de notre culte, la fidélité à notre prophète Mme White, l’originalité et le renom de notre dénomination,  l’approfondissement personnel et collectif des Ecritures et leur mise en pratique dans tous les aspects de la vie quotidienne ?

 

-          Comment interprétons-nous les événements naturels de notre époque : des châtiments de Dieu pour l’impiété du monde ou de l’Eglise, des avertissements de la proximité du retour de Christ, des appels à exercer la miséricorde envers les victimes individuellement innocentes de ces catastrophes, des occasions de renouer une véritable relation personnelle avec le Seigneur qui nous propose sa présence d’amour au sein même de ces malheurs, un encouragement à annoncer la Bonne Nouvelle du salut autour de nous ?

12/04/2013

Etude n°3, Un Dieu juste et saint, Joël 3.1–4.21 (2.28–3.21) (20 04 13)


"L’Éternel donne de la voix devant son armée, car son camp est immense, et l’exécuteur de sa parole est puissant ; car le jour de l’Éternel est grand, il est très redoutable : Qui pourra le supporter ?"

 

ObservonsJoel prophète.jpg

Ces deux chapitres constituent la conclusion du livre de Joël, sur le thème du Jour de l’Éternel. Après un appel à la repentance à la suite d’une invasion de sauterelles, considérée comme un jugement type du Jour de l’Éternel (2.12 à 17), et des promesses de fertilité et prospérité pour la terre (2.18-27), le prophète rapporte ses visions eschatologiques (= pour la fin des temps)

Texte :

Il est construit sous forme de chiasme (parallélisme concentrique) :

a)     ch 3 : Pluie de l’Esprit sur le peuple de Dieu

b)     4.1-15 : Jugement des nations hostiles à Dieu

a’) 4.16-21 : Salut de Jérusalem.

Le sort des impies est encadré par celui du peuple des croyants, pour en suggérer la simultanéité, et les deux aspects du jugement de Dieu.

Mais à l’intérieur de chaque étape on retrouve la même construction en chiasme :

A)    L’effusion de l’Esprit (1-2) et le salut d’un Reste (v 5) encadrent les signes du jour du jugement (v 3-4)

B)    Le jugement des nations (v 2-16a) est encadré par l’intervention de Dieu en faveur des captifs (v 1) et le séjour de Dieu à Jérusalem (16b-17)

A’) La faveur de Dieu sur le pays (v 19) et la purification de Jérusalem ( v20-21) encadrent le jugement de Dieu sur l’Egypte.

Jérusalem, protégée et purifiée, survit au Jugement et devient demeure éternelle de Dieu.

Quelles sont les caractéristiques du Jour du Seigneur pour le peuple de Dieu et pour les nations impies ?

Quelles sont les conditions requises pour répondre à la question « Qui pourra le supporter ? (2.11)

 

Comprenons

Joël passe abruptement du plan historique au plan eschatologique, avec l’expression très vague mais traditionnelle pour aborder ce plan : « Après cela »(3.1). Il télescope l’histoire contemporaine où avait eu lieu un fléau dévastateur de sauterelles, et l’annonce du Grand Jour de la fin des temps. Celui-ci lui apparaît comme la délivrance des croyants simultanée à la destruction des impies.

 

A)                La pluie de l’Esprit : contrairement à ce que l’Ancien Testament nous le montre habituellement, l’Esprit de Dieu n’est plus envoyé à des individus isolés, roi, prophète ou prêtre, mais il sera accordé à tous dans le peuple, sans distinction de sexe, d’âge ou de condition sociale, ethnique ou raciale (Lév 25.44 : les serviteurs pouvaient être des étrangers).

La réponse  à la question posée par Joël à propos du jugement du Jour redoutable du Seigneur (é.11) se trouve dans la troisième partie du ch 3 : le repentir et l’invocation à l’Éternel permettront  d’échapper aux fléaux de ce jugement. Le salut dépend de deux démarches simultanées, la perception de l’appel du Seigneur (3.5) lancé à tout le peuple à travers les événements de la vie, et la réponse individuelle du cœur repentant. Apparaît ici très discrètement la notion de « reste », de « rescapés » d’un ensemble. Les prophètes qui suivront Joël se chargeront de développer et d’affiner ce thème (Esaïe 1.9 ; 10.21 ; 11.11 ; 37.32 ; Jérémie 31.7 ; 2.19 . Rom 9.27 ; 11.5 ; Ap 3.2 ; 12.17). Ceux qui n’invoqueront pas l’Éternel ne pourront pas bénéficier de cette « pluie bienfaisante ». L’idée de pluie évoque l’abondance et l’étendue de l’effusion de l’Esprit, qui a pour but de protéger, de donner de la force, de développer et de faire fructifier ceux qu’elle arrose, afin de les rendre capables de subsister et de répandre la Parole de Dieu dans les temps difficiles de la fin. On pense irrésistiblement à la première réalisation historique de cette prophétie à la Pentecôte, où Pierre fait allusion à ce texte (Act 2). Cette « pluie de la première saison » qui a fait naître l’Eglise,  sera suivie, selon le rythme des saisons et des moissons en Israël, par une « pluie de l’arrière-saison » évoquée dans  l’Apocalypse, au chapitre 7 (v 3) par le scellement des élus, et au chapitre 8 (v 5) par la dispersion sur la terre du feu de l’encensoir, en réponse à la même question de Joël : « Qui pourra subsister ? » devant le grand jour de la colère de l’Agneau qui est assis sur le trône (Ap 6.16-17). Emplis de l’Esprit Saint, le peuple de Dieu pourra alors, non seulement résister à « l’image de la Bête » qui voudra lui imposer une autre adoration (Ap 13.15) que celle de l’Éternel, mais aussi annoncer avec force l’appel ultime du Seigneur Créateur à la repentance (Ap 1.6-7).

 

B)    Le jugement des nations (4.2-17)

Le jugement de Dieu est annoncé par des  signes naturels qui apparaissent terrifiants aux yeux des impies (3.4, 4.15). Dans toutes les cultures qui ignorent le message d’amour de Dieu, les phénomènes naturels sont redoutés et idolâtrés  dans des cultes qui cherchent à s’attirer la faveur des puissances divines qu’ils sont censés représenter. Les croyants savent que ces signes accompagnent la venue de leur Dieu Tout-Puissant, mais ils peuvent les lire symboliquement comme représentant la chute de toutes les idoles (soleil, lune, étoiles) qui ont  remplacé la lumière de l’Éternel dans le cœur des hommes. Lorsque Dieu paraît, toutes les constructions religieuses humaines disparaissent. C’est une joie pour les croyants, mais les impies en sont bouleversés, ébranlés et terrifiés, n’ayant plus rien pour se protéger (voir aussi Ap 6.12-17, le sixième sceau).

En contraste avec l’effusion de l’Esprit sur le peuple des croyants, le jugement de Dieu apparaît comme une condamnation des nations impies. Dieu leur reproche leurs exactions contre son peuple, auquel il s’identifie (4.4) : « Ce que vous avez fait à l’un des plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » dira le Roi-Juge de la parabole de Jésus sur le Jugement des Nations, rapportée par Matthieu (25.40).

Ce jugement est situé symboliquement dans la vallée de Josaphat, le nom de ce roi de Juda signifiant « Dieu juge ». Cette vallée devient « la vallée du verdict » de Dieu qui scelle le sort des nations impies révoltées. Le rassemblement des foules hostiles à Dieu dans cette vallée fait penser au rassemblement d’Harmaguédon d’Ap 16.16, à la fin des temps. La lutte des hommes contre Dieu et son peuple y atteint son paroxysme, mais s’y termine par la défaite éternelle du Malin, devant l’Agneau de Dieu venant délivrer son peuple.

            Comme Dieu est l’objet de leur révolte, ils le voient à tort comme l’auteur de leur condamnation. Mais Dieu révèle à la fin des versets 5 et 7, ce qui se passe réellement. Ce n’est pas Dieu qui les punit de leurs mauvais agissements, ce sont ces mauvais agissements « qui retombent sur leur tête », par un effet de boomerang. Le sort que subissent les nations est semblable à celui qu’elles ont cherché à imposer au peuple de Dieu (4.8)

Ezéchiel annoncera aussi au roi de Babylone, symbole de Satan, « qu’un feu dévorant sortira du milieu de lui pour le détruire ». Dieu ne désire la mort de personne, mais Il espère que chacun reviendra à Lui (Ez. 18.32) à  l’occasion des malheurs que sa vie a provoqués.

            On peut voir dans cette prophétie du jugement dans le livre de Joël, les prophéties successives ou simultanées, du rassemblement d’Harmaguédon (Ap 16.16), de la chute de Babylone (Ap 18), de l’envoi de Satan dans l’abîme (Ap 20.2-3), de la seconde mort qui suit la condamnation des méchants (Ap 20.14 ; 2 Thes 1.8-9).

 

C)    Le salut du peuple (4.16-21)

Si la pluie de l’Esprit précède ou est simultanée au jugement des nations, le salut du peuple en est la conséquence. Comme le psalmiste le reprendra (Ps 46.2), l’Éternel est un refuge et un abri pour son peuple qui peut envisager avec espérance le Jour du Seigneur, Jour de sa délivrance !

L’Éternel lui promet sa présence sainte et éternelle au milieu du peuple, qu’il appelle Sion ou Jérusalem (Ap 21.3), purifiée et consacrée à son Dieu (4.17,21), où n’entrera rien d’impur (Ap 21.27). Il lui promet aussi la nourriture matérielle et spirituelle, symbolisée par les liquides (vin nouveau, lait,  eau) ; la source sortant de la maison de l’Éternel, peut annoncer le Christ, offrant à la Samaritaine  l’eau de la vie éternelle (Jean 4.14 ; 7.37-38), ou le Saint Esprit purificateur, source de vie (Es 44.3 ; Ez 36.25 ; Ap 22.1). L’idée de purification explique peut-être l’image de la vallée de « Chittim » (4.18), c’est-à-dire des « acacias ». Ce bois en effet servait pour fabriquer les objets sacrés du temple. L’eau de l’Esprit purifiera tous les serviteurs de l’Eternel (Zac 13.1).

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

-          Comment puis-je bénéficier de l’effusion de l’Esprit ? Que représente-t-elle pour moi : une manifestation collective extraordinaire comme à la Pentecôte, par le bruit et la publicité de l’événement ? une manifestation individuelle exceptionnelle de la puissance de Dieu par le don des langues, l’émotion, la transe extatique, etc. ? une augmentation de la connaissance de Dieu qui remplit de joie et d’amour pour les autres (Eph 1.17) ? une transformation de ma vision des choses (Eph 1.18) qui pousse à me mettre au service des autres ? une ardeur nouvelle à vivre avec Dieu pour le faire connaître à d’autres ?

-          Pourquoi attendre l’effusion de la pluie de l’arrière-saison dans le futur ? Quel risque cela présente-t-il ? En quoi la croyance que cette effusion est déjà présente peut-elle changer ma vie ?

-          Quelle est ma mission de prophète à notre époque ? Quel message suis-je appelé à répandre autour de moi, comme chrétien et comme adventiste ? Comment le répandre au mieux ?

-          Comment concilier les paroles de Jésus « celui qui croit en moi, n’est pas jugé » (Jean 3.18 et 5.24) et l’annonce du jugement de Dieu ?

-          Quelle promesse de bénédiction dans le royaume de Dieu influence ma vie quotidienne ?