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05/07/2013

Etude n°2 : La prière, cœur du réveil, Mt 26.36-46 (13 07 13)

Etude n°2 : La prière, cœur du réveil, Mt 26.36-46 (13 07 13)

« Si donc vous qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux en donnera-t-il de bonnes à ceux qui les lui demandent » Mt 7.11

 

Observonsgetsémané.jpg

Le contexte

Jésus vient de célébrer la dernière Pâque de sa vie avec ses disciples, transformant la commémoration de la libération d’Egypte en cérémonie prophétique et symbolique de la libération spirituelle qu’il allait accomplir sur la croix. Il a prévenu ses amis de la trahison de Judas et du reniement de Pierre, à la grande protestation de ce dernier.(25.35)

Le texte

Récit reconstituant la dernière lutte de Jésus, à Getsémané.

V 36 : Déplacement de Jésus et ses disciples au Mont des Oliviers pour prier.

V 37-38 : angoisse de Jésus et invitation à trois disciples pour prier à l’écart.

V 39 : Première supplication de Jésus dans la solitude

V 40-41 : Reproches de Jésus aux disciples endormis : la prière est nécessaire contre la tentation.

V 42-43 : Deuxième prière de Jésus pendant le sommeil de ses trois amis

V 44 : troisième et dernière prière de Jésus

V 45-46 : derniers reproches et avertissement de Jésus.

 

Comprenons

L’heure suprême de la mort approche pour Jésus qui en pressent les souffrances, mais en connaît l’enjeu : le salut éternel de l’homme. Dans ce moment crucial, Jésus a besoin de la compagnie de ses amis les plus proches, et de leur accompagnement dans la prière « afin de ne pas entrer dans la tentation » (v 41). Ce qu’il dit est valable pour les disciples mais d’abord pour lui-même à cet instant ; il pourrait en effet être tenté de tout abandonner pour ne pas souffrir dans sa chair d’humain. Il est étreint par l’angoisse devant la souffrance et la mort qu’éprouve tout homme sur cette terre. Son seul refuge et recours c’est de se tourner vers son Père, pour y trouver réconfort, espérance et renouvellement de la claire vision de sa mission de Sauveur.

Ses trois supplications manifestent son désir tout humain de voir s’éloigner la coupe de l’épreuve physique et psychique, mais aussi sa résolution de faire confiance à son Père et d’accomplir sa volonté de salut. Ses prières marquent une progression dans son cheminement intérieur. Dans la première, il espère encore qu’il peut échapper à la mort "s’il est possible…", mais il s’en remet à Dieu. Dans la seconde il semble admettre que ce n’est pas possible d’éloigner la coupe de douleur, et il plie sa volonté à celle de Dieu. De la troisième prière dont Matthieu ne nous dit rien, Jésus sort fortifié dans sa résolution de soumission à Dieu pour le salut des hommes. Un ange serait venu l’assister dans ce moment de profonde angoisse et de lutte intérieure intense (Luc 22.43).disciples endormis.jpg

Face à lui, malheureusement il ne trouve que des disciples endormis, inconscients de ce que vit leur Maître, ou écrasés par l’avenir terrifiant qu’ils pressentent vaguement. Le sommeil est leur refuge pour ne rien voir ! Malgré leurs protestations de fidélité, ils n’ont pu veiller et prier avec lui, illustrant concrètement ses paroles : « l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible » (Jn 15.5). Jésus indique le moyen d’éviter la présomption et la soumission à sa nature humaine faible et séparée de Dieu : veiller et prier. Sans l’Esprit « nous ne pouvons rien faire » contre la tentation. Paul reconnaîtra aussi : "Je suis à même de vouloir, mais non pas d’accomplir le bien " (Rm 7.18). C’est pourquoi Jésus leur demandait instamment de prier pour lui mais aussi pour eux-mêmes. Les mêmes trois amis les plus proches, étaient aussi appesantis de sommeil à la Transfiguration, mais l’intensité de leur joie à la vue de la gloire de Jésus les avait tenus éveillés. Ici, à l’heure de l’angoisse et de la tristesse ils ne résistent pas à la fuite dans l’inconscience du sommeil. (disciples endormis)

Jésus constate à la fin avec une ironie douloureuse leur faiblesse humaine qui consiste à adopter l’attitude de l’autruche face au danger : elle cache sa tête dans le sable, pour ne pas le voir, et croit être ainsi à l’abri.

A l’inverse, Jésus a puisé dans la prière le calme et la confiance qui font sa force pour affronter ce qui l’attend, et donner volontairement sa vie pour que l’homme ait la vie éternelle (Jn 3.16). Il n’est pas question ici de spéculer sur les raisons de l’angoisse de Jésus. Le texte est très discret sur ce point que les théologiens ont abondamment développé. Nous pouvons seulement tirer du récit de cette heure tragique des enseignements précieux pour notre vie actuelle à la fin des temps, à la veille du retour de Jésus et dans les angoisses de l’avenir qui peuvent nous assaillir. Si Laodicée est endormie dans son confort ou son aveuglement, Jésus l’invite à veiller et prier pour ne pas tomber dans la tentation de l’insouciance, du coma spirituel ou de la confusion. La prière fervente lui permettra de retrouver l’élan de son premier amour, et le zèle pour remplir sa mission de témoignage d’un Sauveur qui vient libérer du mal tous ceux qui l’acceptent comme le Seigneur de leur vie.

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

 

-          Quel est mon réflexe quand l’angoisse m’étreint ?

 

-          Que signifie pour moi et pour l’église de rester éveillé ? Dans quel domaine faut-il veiller ?

 

-          Comment prier pour lutter contre la tentation de faire notre volonté et non celle du Père ? (Sur quels points Christ a-t-il insisté ?)

 

-          Que signifie « faire la volonté du Père » ?

 

-          Quelles expériences de prières fortifiantes puis-je partager avec mon groupe ?

28/06/2013

Etude n°1 : Le réveil notre grand besoin Ap 3.14-22 (06 07 13)

Etude n°1 : Le réveil notre grand besoin Ap 3.14-22 (06 07 13)

«  Je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu afin que tu deviennes riche, des vêtements blancs afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux afin que tu voies ». Ap 3.18

 

Observons

Le contexte (Baptistère chrétien à Laodicée)Laodicée baptistère.jpeg

Ce passage termine la séquence des lettres aux 7 Églises que Jean doit leur transmettre de la part du Seigneur. Le chiffre 7, signe de la plénitude, nous invite à considérer cette séquence comme s’adressant à l’ensemble des Églises dans l’espace et dans le temps. Chaque église représenterait une époque de l’histoire de l’Église au cours du temps, et un aspect de la vie de l’Église ou de chacun des membres qui la composent, dans l’espace. L’Église de la dernière lettre serait celle de la fin des temps et décrirait en même temps une facette de la vie de foi du croyant.

 

Le texte

La construction de la 7ème lettre diffère peu de celles des autres lettres.

a)     v 14 : Adresse : Laodicée ; Expéditeur : l’Amen, le témoin fidèle et véritable

b)     v 15-17 : Reproches de tiédeur, d’aveuglement et d’orgueil spirituel

c)      v 18 : Conseils : achat d’or, de vêtements et de collyre auprès de Dieu

b’)  v 19 : Appel au repentir

a’) v 20-21 : Promesses de communion avec Dieu

v 22 : Exhortation finale  Ecoutez ce que l’Esprit dit aux Eglises !

A la différence des autres lettres, on ne trouve pas de compliments dans celle-ci. L’accent est mis sur le conseil de se tourner vers Dieu pour trouver ce qui manque à cette communauté.

 

Comprenons

a)                 Laodicée est le nom donné à cette église de l’époque de Jean, située à quelques Laodicée Pamukkale2.jpegkilomètres de Pamukkalé, célèbre pour ses sources chaudes(voir illustration), dont l’eau arrivait tiède à la ville de Laodicée. Cette ville était riche de son commerce de laine noire et de ses activités bancaires et financières. Elle devint au second siècle avant JC une opulente capitale de la Phrygie orientale. Une église s’y créa et se développa en évêché important au début de l’ère chrétienne avant de disparaître au 13ème siècle ap JC après les invasions turques. Le choix de cette église parmi toutes les églises d’Asie Mineure de l’époque de Jean comme destinataire de la dernière lettre est peut-être dû à la signification symbolique de son nom. Laodicée, en grec signifie en effet « Jugement du peuple ». Cette église représenterait la dernière époque de l’histoire pendant laquelle aura lieu le jugement du peuple de Dieu, sur lequel la suite de la vision de l'Apocalypse donnera des détails. Pierre n’a-t-il pas prophétisé (1 Pi 4.17) que le jugement commencerait avec la Maison de Dieu avant le retour de Christ ? Les séquences suivantes de l’Apocalypse décrivent les modalités terrestres et spirituelles du Jour du Seigneur (Ap 1.10) vers lequel est dirigé le regard de Jean à la suite de tous les prophètes bibliques.

Le Seigneur, expéditeur de la lettre, la signe de noms évocateurs de son identité et de sa puissance : 1- il est l’Amen : ce mot hébreu signifie « C’est vrai ! Qu’il en soit ainsi ». Nous concluons de ce mot nos prières pour affirmer la vérité de nos paroles, comme Jésus le répétait avant de prononcer une vérité importante, et pour marquer l’adhésion que nous leur donnons. Par ce titre Jésus affirme qu’il est celui qui conclut l’Histoire et certifie la vérité de ses prophéties.

2- Il est le témoin fidèle et véritable : c’est une autre façon de dire que ses paroles et ses actes sont le reflet exact de la personne de Dieu, car il est « l’image visible du Dieu invisible », « le reflet de sa gloire et l’empreinte de sa personne » (Jn 14.9 ; 2 Co 4.4 ; Col 1.15 ; He 1.3). En Christ et par Christ nous pouvons « voir » Dieu et être assurés que ce qu’il nous dit de sa part est vrai. C’est une invitation à prendre très au sérieux le message qui suit !

3- Il est « le commencement » de la création de Dieu. Il ne faut pas tomber dans le piège d’interpréter ce mot « commencement » comme le « début » et de faire de Jésus la première créature. Le mot signifie  plutôt « l’origine »,  « la source » « le principe », « l’auteur » de la Création comme dans Gen 1.1 et Jean 1.1, 3 ; c’est ce sens qu’il faut donner aussi à l’expression hébraïque de « premier-né » que l’on trouve dans Col 1.15 . En tant que Dieu créateur, Christ connaît parfaitement dans leur essence même toutes ses œuvres, et l’église de Laodicée en particulier.

 

V 15 : C’est pourquoi il peut révéler la vraie situation spirituelle de cette église. Dans chacune des autres lettres, la mention « Je connais tes œuvres » était suivie d’un compliment (2.2, 9, 13, 19 ; 3.4, 8). Pour Laodicée le regard perçant de Christ ne distingue que tiédeur de la foi et orgueil spirituels. La tiédeur physique des eaux de la ville permet au Seigneur de faire comprendre son reproche spirituel. Par trois fois il répète qu’il préfère le froid ou le bouillant au tiède, c’est-à-dire l’engagement clair pour ou contre lui, à cette indifférence ou cette hésitation que marque l’église des derniers temps. On pense à l’invective d’Élie à son peuple idolâtre : « Jusques à quand clocherez-vous des deux côtés ? Si l’Éternel est Dieu, allez après Lui, si c’est Baal, allez après lui ! » (1 R 18.21 ). Choisissez !

 

V 16 : La menace de rejet de la part de Dieu équivaut à la parole de Jésus « Je ne vous connais pas », prononcée à l’encontre de ceux qui se réclament de lui mais ne font pas sa volonté (Mt 7.22-23). L’absence d’engagement au service du Dieu auquel on croit, est considérée au même titre qu’un abandon, un manque d’amour et de foi, un refus de croire et de vivre selon sa foi ! L’image utilise encore l’effet physique de la tiédeur d’une boisson, qui provoque un vomissement, symbole d’un rejet violent qu’on ne peut réprimer.

 

V 17 : À la tiédeur de la foi s’ajoute l’orgueil spirituel. Cette église se croit ce qu’elle n’est pas : riche non seulement de biens matériels, mais aussi de biens spirituels : à l’exemple des Juifs (Rom 9.4-5) et de Saul de Tarse (Phi 3.4-6) elle se prévaut de ses connaissances bibliques, de sa ou de ses traditions, de son don de prophétie, de ses expériences, des grâces reçues,  peut-être de son nombre de membres ou d’œuvres caritatives, qui lui font croire qu’elle se suffit à elle-même et qu’elle est reconnue comme tenant une place importante dans le monde. Cet orgueil l’aveugle complètement sur sa situation devant Dieu qui lit dans les cœurs ; Dieu qualifie cette situation de cinq adjectifs qui abaissent à l’extrême l’image de cette église. Son malheur et sa misère viennent de son aveuglement qui la prive des lumières de l’Esprit sur les conditions du salut et sur sa nudité spirituelle (Ap 16.15) : comme Adam et Eve, elle s’est couverte des feuilles de ses œuvres, au lieu de se revêtir du vêtement de la justice de Christ (2 Co 5.3-4 ; Es 61.10). Ce qui veut dire que l’église de Laodicée se positionne devant Dieu comme le Pharisien de la parabole (Luc 18.10), très satisfaite d’elle-même, de sa justice et de sa piété, mais oubliant que sa puissance est dans le don d’amour de Christ pour elle, et non dans ses « bonnes œuvres ». La menace du v 16 d’être "vomi de la bouche du Seigneur" tombe comme un coup de fouet pour réveiller l’église et lui faire entendre conseils et exhortations qui suivent.

V 18 : Les conseils du Seigneur correspondent exactement à la situation matérielle de la ville opulente et commerçante de Laodicée et à la situation spirituelle réelle de l’église : puisqu’elle est spirituellement pauvre, elle trouvera la vraie richesse en se tournant vers Dieu qui peut lui donner (il ne faut pas prendre le verbe « acheter » à la lettre, car il n’y a pas de transaction financière en la matière) le véritable or qu’est la foi épurée de toute idolâtrie de soi ou de l’argent (1 P 1.7), profonde et active (Ja 2.26), qui résiste au feu de la tentation. La seule richesse du croyant c’est sa confiance en Dieu, pour sa vie présente et pour son éternité ; puisque cette église est nue, c’est-à-dire faible et sans mérites devant Dieu, coupable de se séparer de Dieu en écoutant sa vanité et sa présomption, le Seigneur lui recommande de recevoir de Dieu la purification, le pardon et la justice qui couvriront sa nature pécheresse, et lui permettront de vivre debout et sans crainte devant Dieu ; ce vêtement blanc fait allusion au commerce de  tissus qui faisait la renommée de Laodicée dans le monde romain de l’époque de Jean. Enfin pour lutter contre son aveuglement spirituel, rien ne vaut le collyre de l’Esprit qui donne le discernement de la vérité (1 Jn 2.27 ; Jn 16.8-13).

V 19 : les « corrections » de Dieu qui désirent remettre dans la voie juste et droite, sont comprises d’abord par l’homme comme des châtiments d’un Dieu qui punit. Ce n’est qu’ensuite et par la foi, qu’il peut saisir que l’intention d’un Dieu d’amour est de ramener son enfant perdu à la « maison du Père ». Dieu ne le laisse pas livré à ses égarements, mais le rappelle à Lui, et lui donne l’occasion de se souvenir de Lui dans les épreuves de sa vie.

Devant ces manifestations divines d’amour et de miséricorde, l’église est appelée  à quitter sa léthargie, sa tiédeur de foi, à mettre son ardeur et son  empressement à se repentir, c’est-à-dire reconnaître sa situation réelle et se tourner vers Dieu pour recevoir pardon et force  d’être et d’agir selon sa volonté.

V 20 : Les promesses de Jésus sont un puissant encouragement pour celui qui décide de se réveiller : le Seigneur ne cesse de nous inviter à ouvrir notre cœur à sa présence. L’image du repas partagé montre l’intimité qu’il veut vivre avec nous, intimité qui nourrit notre foi et notre être tout entier. Cette intimité est la source de notre victoire sur le mal et sur la tentation, comme l’intimité de Jésus avec son Père lui a permis de résister à la tentation de vivre pour lui-même et d’abandonner sa mission de Sauveur du monde.

S’asseoir sur le trône avec Jésus est une promesse qu’il avait faite aux disciples (Mat 19.28) qui l’avaient suivi, « pour juger les douze tribus d’Israël ». Non seulement les vainqueurs par la foi règneront avec Christ (Rom 5.17 ; 2 Ti 2.12 ; Ap 20.6 ; 22.5), mais comme rois, ils auront la mission de « juger » les "sans-foi ni loi", les « spirituellement morts » ( Ap 20.4). L’image du trône de Dieu évoque les deux fonctions de celui qui y est assis : le roi qui gouverne et qui juge, c’est-à-dire rend la justice aux accusés ou persécutés innocents (Ap 6.10). Pendant les mille ans, où les élus jugeront les nations, ils ne feront que rendre justice à Dieu, accusé par Satan de partialité et d’intérêt (Job 1-2), en constatant toutes les occasions qu’il a données aux hommes de saisir son amour et son offre de salut, et qu’ils ont rejetées. Ils pourront à la fin de ce jugement rendre gloire à Dieu et le « blanchir » de toutes les accusations sataniques contre son gouvernement. Ainsi Jean « vit le grand trône blanc et celui qui y était assis » (Ap 20.11)

Les mots de « porte » et de trône » à la fin de la lettre à Laodicée, seront repris en écho au début de la séquence suivante au ch 4. Ils lui servent d’introduction et indiquent le thème de ce qui va suivre, la description du jugement spirituel (= derrière la porte ouverte du ciel, 4.1) de la maison de Dieu, qui doit précéder le retour en gloire de Jésus, et qui a lieu justement pendant cette période de l’église de Laodicée, dont le nom signifie, ne l’oublions pas, « jugement du peuple » !

Vient enfin pour terminer cette dernière lettre et toute la séquence des Lettres aux Eglises, l’appel à écouter l’Esprit, c’est-à-dire à se laisser guider par Lui pour marcher avec Christ jusqu’au bout.

Saurons-nous faire nôtre cette recommandation pressante ?

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne ?

 

-          Que nous révèle cette lettre sur notre état spirituel personnel et sur celui de notre église ? De quoi avons-nous à nous repentir ?

 

-          Pourquoi est-il nécessaire de nous réveiller ? En quoi consiste ce réveil ?

 

-          De quoi avons-nous tendance à nous enorgueillir ? Comment maîtriser cette tendance ?

 

-          Comment est-ce que je considère les « corrections » de Dieu dans ma vie ? Sont-elles des punitions, ou des signes d’un amour qui ne cesse de m’entourer, pour mon bien (Rm 8.28) ?

 

-          Comment la conscience de vivre dans la période du jugement de la maison de Dieu (1 Pi4.17) nous fait-elle agir, collectivement ou individuellement ? Dans quel état d’esprit ?

 

-          Ai-je ouvert la porte de mon cœur à Jésus ? Quel est mon degré d’intimité avec lui ? Comment sa présence en moi se manifeste-t-elle ?