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26/04/2024

Étude n°5: Le Saint-Esprit, Jean 16.5-15 (04 05 24)

Étude n°5 : Le Saint-Esprit, Jean 16.5-15 (04 05 24)

« Je serre ta promesse dans mon cœur, afin de ne pas pécher  devant toi ». Ps 119.11

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Le contexte : Nous sommes au centre des dernières exhortations De Jésus à ses disciples. Il vient de les avertir (15-16.4) des persécutions qu’ils auront à subir, à son exemple, après son départ. Devant la tristesse qu’ils éprouvent à l’annonce de ce départ, Jésus leur promet l’Esprit Consolateur (16.5-15), puis leur laisse entrevoir l’espoir de sa résurrection et de sa victoire sur le monde (16.16-33)

Le texte

v 5-7 : Condition de la venue du Consolateur : le départ de Jésus

v 8-11 : L’œuvre de l’Esprit dans le monde : Convaincre de la Justice de Jésus

v 12-15 : L’œuvre de l’Esprit pour les croyants : conduire dans la vérité et glorifier Christ.

Comprenons

De tout ce que Jésus a dit auparavant, les disciples n’ont retenu que l’annonce qu’il allait les quitter. Jésus s’étonne de leur absence de questions, il aurait voulu leur expliquer plus clairement ce départ. Devant l’incapacité des disciples à comprendre ce qui se passe (v 12), il se contente d’apaiser leur tristesse de l’instant. Son départ de ce monde matériel comprend à la fois sa mort et son ascension après la résurrection. Il lui permettra de sortir des limites spatiales et temporelles qui restreignaient son action et sa présence, et d’envoyer à sa place le « Paraclet » (Jn 16.16 ; 1Jn 2.1) « celui qu’on appelle au secours ». L’avantage de ce départ est donc double : sa mort et sa résurrection accompliront l’œuvre du salut, et son élévation dans la gloire du Père et le don du Saint-Esprit le rendront présent partout, toujours et en tous pour consoler et consolider la foi de ses disciples. Ceux-ci ne connaîtront plus Jésus dans sa forme corporelle et terrestre, mais ils apprendront à communiquer spirituellement et plus intimement avec un Christ glorieux et vivant dans le monde invisible de Dieu.

Pour éclairer ces quelques versets nous vous proposons une traduction libre de Pierre de Beaumont (« Les quatre évangiles aux hommes d’aujourd’hui ») :

«  Quand le Consolateur viendra, il fera comprendre au monde, qui est pécheur, qui est juste et qui est jugé. Qui est pécheur ? C’est celui qui ne croit pas en moi. Qui est juste ? C’est moi, qui vais chez le  Père et que vous ne verrez plus. Qui est jugé ? C’est le chef de ce monde qui est déjà condamné

Jésus anticipe ici sur sa mort et sa résurrection qui vont marquer la condamnation de Satan, et sur son ascension auprès du Père, qui manifeste la reconnaissance divine de la justice de sa vie et de son œuvre (1 Ti 3.16). L’œuvre du Saint-Esprit dans le monde consiste à amener le pécheur à la repentance, et à le convaincre de l’œuvre de salut accomplie par Christ en sa faveur (1 Co 12.3). Il permet aussi au pécheur qui s’en remet à lui de bénéficier de cette justice (1 Co 6.11 ; Rm 5.9,18-19).

 Pour les disciples, l’Esprit sera le guide de leur foi. Pour qu’il puisse convaincre le monde, il faut d’abord qu’il agisse dans les disciples qui seront ses mains et ses ambassadeurs dans le monde. Ce qu’ils n’ont pas compris du vivant de Jésus sur terre, l’Esprit le leur révèlera dans toute sa clarté : le plan de Dieu pour le salut de tous exposé dans les Écritures, la mission de l’Église dans le monde entier, l’union en Christ de tous les croyants, le retour de Christ en gloire, le rétablissement de toutes choses…Le verbe « conduire » annonce une marche, une progression dans la connaissance, la foi, et la sanctification, à la mesure de ce que chacun peut porter (v 12 ; Mt 25.15). On ne reçoit pas toute la vérité d’un seul coup, on avance pas à pas en sachant que sa « possession » ne sera jamais complète sur cette terre dominée par le péché. Car la vérité, c’est la personne de Jésus-Christ (Jn 14.6), que nul ne peut «posséder».

L’Esprit complète son rôle de guide par la prophétie des « choses à venir », pour que les disciples croient en Christ lorsqu’ils les verront s’accomplir (Jn 14.29). Ceci est une invite à être attentif aux révélations de l’Esprit faites à Jean pour tous les disciples dans l’Apocalypse (1.1, 3)!

Grâce à la présence de Christ auprès du Père, dans le monde invisible, libéré des contraintes de l'espace et du temps, l'œuvre du St Esprit est possible d'abord dans le monde (v 8) puis parmi les disciples (v 13). Dans le monde, il fait une œuvre de conviction, sur trois points : il convainc de péché, c'est à dire il fait reconnaître à l'homme son état de séparation d'avec Dieu à cause de son incrédulité envers Jésus (v 9). En même temps il amène le pécheur à reconnaître la sainteté de Dieu, et sa justice (v 10) : ce mot en hébreu (tsedaka) signifie beaucoup plus que pour nous, = droiture, équité, fidélité et amour (Ésaïe 45.8,21 ; Ps 98.2 ; 111.3-4 ; 112.4; 119.137-138 ; 1 Jn 3.7 ! Donc il équivaut à "salut".

Christ étant sans péché = Juste, a pu avec justice  ressusciter et être élevé auprès du Père (v 10), et agir universellement pour sauver et, par amour, considérer comme justes ceux qui le reconnaissent comme leur Sauveur (Rom 3.21-26).

La troisième œuvre dans le monde est de convaincre de jugement : ce mot dans la Bible, signifie d'abord pour les croyants,  libération, délivrance de l'Ennemi (voir Juges 3.9), le Prince de ce monde, Satan, qui est condamné par la mort et la résurrection de Christ. Le pécheur, convaincu de son indignité devant Dieu, convaincu du pardon de ce Dieu d'amour qui le sauve, est délivré de l'emprise du mal sur lui. Il peut refuser d'obéir au mal ambiant et devenir disciple de Christ (v 11).

L'Esprit alors le saisit là où il en est (v12), dans son incapacité à tout comprendre à la fois ; il  va le conduire pas à pas sur le chemin de la Vérité (v 13a), pour lui faire connaître que Jésus et le Père sont Un (v 13b-15, c'est la Trinité à l'envers, St Esprit, Fils et Père), et pour lui révéler que ses paroles sont véridiques, grâce à la réalisation des révélations sur "les choses à venir".

Dans ces quelques versets nous avons tout l’Évangile en résumé : Repentance, conversion du cœur, justification par Dieu et marche dans la vie chrétienne jusqu'au retour de Christ ! Quelle merveille de concision et de profondeur !Saint Esprit dans le coeur.gif

Les v 14-15 sont une magnifique démonstration de l’unité profonde de Dieu, Père, Fils, Esprit, Créateur, Sauveur, Consolateur. Dieu dans son amour continue à agir dans le monde et dans l’Église par son Esprit pour glorifier son Fils, c’est-à-dire révéler le salut accompli par Jésus-Christ, et en faire bénéficier tous ceux qui veulent accepter de se laisser guider et transformer par lui. En résumé l’Esprit conduit à la repentance, à la reconnaissance de Christ comme seul Sauveur et Seigneur, à l’adoration du Père, à l’encouragement et à la sanctification des croyants. 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

  • Le départ de Christ auprès du Père m’apparaît-il vraiment comme avantageux ? N’ai-je pas comme les disciples, le désir de « voir » et de « toucher » un Dieu qui semble parfois bien lointain et absent ? Comment rendre sensible et perceptible la présence de Dieu par son Esprit dans ma vie et dans celle de mon Église ?
  • Le Saint-Esprit est-il un guide pour moi dans ma compréhension des Écritures et dans leur application dans la vie courante ? Suis-je sensible à ses révélations, ses avertissements, ses consolations ? Qu’est-ce qu’Il a changé dans ma vie de foi ?
  • Quels moyens ce texte me donne-t-il pour discerner si c’est bien l’Esprit Saint qui me guide et qui guide l’Église ?

 

 

19/04/2024

Étude n°4 Debout pour (contre) la Vérité Ap 12. 6, 13-18 (27 04 24)

Étude n°4 Debout pour (contre) la Vérité Ap 12. 6, 13-18 (27 04 24)

« Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. » Jean 3.14-15.

Observons (Tapisserie de l'Apocalypse d'Angers : la Femme et le Dragon)angers femme-dragon-.jpg

Contexte : Que nous rapportent les versets 1 à 5 sur la femme contre qui lutte le dragon ? Que représente-t-elle et que lui arrive-t-il ?

Texte :

  • V 6 : Où s’enfuit la femme ? Qui lui a choisi ce lieu et pourquoi ? Quelle est la durée de son séjour ?
  • V 13 A quel moment reprend le récit de la femme ? Que représente le désert ?
  • V 14 Que lui fut-il donné ? Quel symbole contient cette image de l’aigle ? Dt 32.10-11

              Comment est exprimé ici le temps indiqué déjà au v 6 ?

  • V 15 Quelles sont les armes du dragon, dans quel but sont-elles utilisées ?
  • V 16 Qui vient au secours de la femme ? par quels moyens ? Qu’est-ce qui est mis en opposition dans ce verset ? Quel en est le symbole ?
  • V 17 Comment le dragon exprime-t-il son irritation ? Que sont les restes de la descendance de la femme ? Que gardent-ils ?
  • V 18 Où se tient le dragon ?

Comprenons

Le contexte (voir dans la colonne de gauche de la page, les « Archives » et le texte du 1e Avril 2023 : Victoire de Jésus sur Satan) : Le premier (v 1-5)  des trois tableaux du ch 12 de l’Apocalypse a présenté une femme debout dans le ciel, enveloppée de la lumière du soleil, les pieds reposant sur la lune, couronnée d’étoiles, enceinte et enfantant un fils qui est enlevé vers Dieu, pour échapper aux attaques du dragon. Nous y voyons une représentation symbolique du peuple de Dieu éclairé de la lumière protectrice de Dieu, et fondant sa foi sur les Écritures, reflet de la personne divine (comme la lune reflète la lumière du soleil). Le Fils de Dieu naît dans ce peuple et aussitôt est en butte aux attaques de Satan.

L’histoire de la femme reprend au verset 6. La femme s’enfuit dans le désert ; le désert est dans la Bible le lieu où Dieu appelle son peuple à le rencontrer, pour faire alliance avec lui (Exode 3.18 ; Osée 2.16). C’est aussi le nom que les Huguenots donnèrent au lieu de refuge qu’étaient les montagnes cévenoles où ils pouvaient célébrer leur culte, à l’abri des persécuteurs. Par extension, ce fut le nom donné aux pays de refuge des protestants pourchassés, qu’Ap 12.7 et 13.11 appelle la terre. Dans le désert, la femme est nourrie par Dieu pendant 1260 jours(v 6 et 14).. Ce temps correspond aux années de persécutions des croyants fidèles à la Parole, pendant le Moyen-âge, annoncées par la prophétie de Daniel sous la formule « un temps, des temps et la moitié d’un temps». Dans cette prophétie, le mot« temps » représente une année, il s’agit donc de trois ans et demi, ou 1260 jours. Dans le langage prophétique, les indications de durée s’interprètent selon les paroles de Dieu à Moïse (Nb 14.34) « Vous porterez vos fautes 40 ans dans le désert, une année pour chaque jour » et à Ezéchiel (4.5-6) : « Tu porteras la faute de Juda 40 jours ; je t’impose un jour pour chaque année ».  La sollicitude de Dieu est inépuisable : pendant cette longue durée de 1260 ans, où son peuple dans le désert souffre de la solitude et des dures conditions de vie, Dieu le nourrit de sa Parole Il le fortifie ainsi contre les attaques du « dragon » Satan, qu’incarnent les puissances persécutrices décrites au chapitre 13.

Versets 13-18 : Après le tableau central, qui donne l’explication des personnes et des enjeux du combat céleste (voir l'étude n°1 du 06 04 24), le troisième tableau du chapitre 12 (v 13-18) reprend l’histoire là où nous avait laissés le premier tableau. Le verset 6 qui parlait de la fuite de la femme au désert, est développé par les versets 13-14. On y retrouve les mêmes personnages, la femme qui avait enfanté, et le dragon, les mêmes lieux, le désert, les mêmes temps, 1260 jours /années. Des détails sont pourtant ajoutés : « Les deux ailes du grand aigle sont données à la femme » : l’aigle est un oiseau de proie, qui dans la Bible, peut être symbole de protection des siens : « L’Éternel a entouré son peuple, il en a pris soin, il l’a gardé comme la prunelle de son œil, pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, voltige sur ses petits, déploie ses ailes, les prend, les porte sur ses plumes » (Dt 32.10-11).

Verset 14 : Dans Daniel 7.25, qui parle de la même période, il s’agit d’une époque d’oppression des saints pendant un temps, des temps, la moitié d’un temps. Dans Apocalypse 12.14, il s’agit d’une époque de protection de Dieu sur son peuple réfugié au désert. Les protestants persécutés des 16ème et 17ème siècles se sont reconnus dans cette femme protégée par Dieu au désert, que ce soit dans les montagnes cévenoles ou dans les terres de refuge étrangères. Daniel 12.7 limite le temps d’oppression sur le peuple, qu’Apocalypse 11.2-3 rappelle en disant que « les nations fouleront aux pieds la ville sainte pendant 42 mois » et «les deux témoins auront le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant 1260 jours ». On sait que le sac était le vêtement du deuil le plus profond.

Le temps d’oppression du peuple de Dieu fut aussi le temps de proclamation de sa Parole par les « deux témoins »  (Apocalypse 11.3-12). Le peuple de Dieu dans sa souffrance étudie la Parole pour y trouver réconfort et sens à sa vie, et la diffuse autour de lui. La femme est nourrie au désert « loin de la face du serpent » : Cette expression évoque l’affrontement direct des forces sataniques, ou encore la fascination hypnotique du serpent qui risque de faire tomber dans la tentation, ou dans la séduction spirituelle. Le désert serait alors le lieu de purification, loin de ces séductions, où Dieu attire son Église : « Voici, je veux l’attirer et la conduire au désert, et je parlerai à son cœur » (Os 2.16-20).

 Verset 15 : « De sa gueule le serpent lança de l’eau comme un fleuve derrière la femme » : en plus des persécutions physiques, les flots tumultueux des paroles mensongères et séductrices de Satan tenteront de noyer la foi des fidèles,

Verset 16 : Le combat spirituel est acharné car « La terre engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche » (v 16) : le serpent trop éloigné, attaque par d’autres moyens, mais les moyens de Dieu pour protéger son peuple sont illimités ; ils sont symbolisés d’abord par le désert, puis par la bouche de la terre avalant le fleuve lancé par Satan contre la Femme, c’est-à-dire l’éloignement du peuple dans les montagnes et l’accueil à l’étranger, en particulier dans le nouveau monde des Amériques, que les foules de réfugiés ont contribué à peupler. Les eaux, en effet, sont d’après Ap 17.15 « les peuples, les nations, les foules et les langues ». Elles peuvent être symbole de purification et de  vie : les eaux avalées par la terre seraient alors les réfugiés, qui furent facteurs de développement des pays d’accueil. Mais les eaux sont aussi symbole de destruction et de mort lorsqu’elles sont en crue : les eaux crachées par le dragon seraient les persécutions et les oppressions lancées contre le peuple de Dieu, mais qui disparurent dans les terres de refuge. Le rapprochement en contraste de la bouche de la terre et de la bouche du dragon nous invite peut-être à y voir sur le plan spirituel, un symbole de la vérité de la Parole divine remportant la victoire sur les mensonges sataniques qui essaient de détruire la foi des croyants fidèles depuis cette époque de la Réforme et de la Contre-Réforme.

Verset 17 : « Le dragon irrité contre la femme alla faire la guerre aux restes de sa postérité » (v17) : malgré la protection divine et le refuge à l’étranger, le peuple de Dieu s’est réduit comme cette expression « les restes » semble l’indiquer. De la descendance du peuple persécuté ne subsistent que « des restes » (Le mot est au pluriel neutre dans le texte grec). La « Femme » fidèle d’Apocalypse 12 serait-elle devenue la « prostituée » d’Apocalypse 17 ? En s’institutionnalisant et en devenant majoritaire, l’Église court le danger de ne plus s’appuyer sur ses caractéristiques spirituelles « les commandements de Dieu et le témoignage de Jésus », mais sur sa structure. L’Église est un corps social de solidarité, nécessaire pour véhiculer la Parole, mais elle ne peut s’en prévaloir pour prétendre définir celui qui est sauvé et celui qui ne l’est pas, ou pour s’autoproclamer «Reste ». Seul Dieu connaît ceux qui constituent ses « Restes », éparpillés parmi tous les humains de ce monde, comme il l’a fait comprendre à son prophète Élie qui se croyait resté le seul fidèle, au sein des persécutions du roi Achab.

Le troisième tableau de ce chapitre 12 se termine au verset 18 par la vision du dragon qui « se tint sur le sable de la mer : c’est-à-dire entre la terre et la mer. C’est une position différente de celle de l’ange d’Apocalypse 10.5 : « l’ange que je voyais debout sur la terre et sur la mer ». Cet ange avait une position d’autorité puisqu’il était au-dessus  de la terre et de la mer. Alors qu’ici le serpent, pâle imitateur de l’ange divin, a une position stratégique, prêt à intervenir d’un côté ou de l’autre, au milieu des événements qui agitent le peuple de Dieu (= terre) et les nations (= mer). Il guette sa proie, cherchant qui il va dévorer (1 Pi 5.8).  

Ainsi le chapitre 12 fait comprendre aux croyants fidèles qu’ils ne sont jamais abandonnés par leur Père dans le combat dangereux que leur livre l’Adversaire. Il leur rappelle la victoire de Jésus remportée à la croix et à la résurrection, gage de leur propre victoire, pour autant qu’ils gardent les commandements de Dieu et le témoignage de Jésus, = la Loi et l’Évangile, pour avoir la sagesse et la force de refuser les tentations d’idolâtrie que les puissances du monde veulent leur imposer.

Questions pour une application dans la vie chrétienne :

  • Qu’est-ce que ce tableau qui résume l’histoire de l’Église me permet de comprendre pour ma vie aujourd’hui ?
  • Comment résister aux tentations pernicieuses ou aux persécutions physiques de l’Adversaire ?
  • Comment s’est exercée la protection physique et/ou spirituelle de Dieu sur ma vie et celle de mon Église ?