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01/01/2016

Etude n°2 : Crise en Eden, Genèse 3.1-7 (09 O1 16)

Étude n°2 : Crise en Éden, Genèse 3.1-7 (09 01 16)

« Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui écraseras le talon. » Gen 3.15

 

Observons

 

Le second récit de la  création, concernant surtout l’humain, commence en Genèse 2.4b et ne se termine pas avant la fin du chapitre 3. Il est donc indispensable, de prendre un peu de recul  pour voir le contenu d’ensemble.

L’écrivain biblique n’a pas écrit ce texte au hasard. Il a pris la peine de donner à son récit une structure élaborée qui permet d’en faire ressortir l’essentiel.

La méthode dite inductive permet de repérer cette structure  en observant les mots et expressions qui se répètent. Ces expressions répétitives font ici apparaître une structure concentrique, dans laquelle les expressions des extrémités se font écho de part et d’autre d’un axe central constitué par Genèse 3.9.

Voici, présentée sous la forme d’un tableau général, cette structure ; nous indiquons en bleu le passage étudié cette semaine :

 

A.  2.4-17 :    l’homme dans le jardin

a. 2. 7,8 :        dans le jardin, l’homme

b. 2.15 :     l’homme doit cultiver et garder le jardin

c. 2.16,17 :    il peut manger de tous les arbres sauf de celui de la connaissance du bien et du mal.

     B.2.18-25 :    des relations agréables

     a. 2.18 :          l’homme a besoin d’un vis à vis

     b. 2.20 :          il donne des noms aux animaux

     c. 2.23 :          la femme est tirée de l’homme

     d. 2.25 :          ils sont nus sans honte

          C. 3.1a :    Dieu et le serpent

          a. 3.1a :     le serpent créé par Dieu

          b. 3.1a :     le plus rusé des animaux

          c. 3.1a :     le serpent parle à la femme

              D. 3.1b-6 :     Dieu accusé

              a. 3.1b :     vous ne devez manger aucun fruit ?

              b. 3.2,3 :    vous ne devez pas en manger de peur d’en mourir

              c. 3.4,5a : vous verrez les choses telles qu'elles sont

              d. 3.5b :     vous serez comme Dieu

              e. 3.6 :       elle en prit et en mangea, puis en donna à son mari.

                   E. 3.7,8 :        l’attitude de l’homme

                   a. 3.7 :       ils se rendirent compte qu’ils étaient nus

                   b. 3.8a :     ils entendirent le Seigneur se promener

                   c. 3.8b :     ils se cachèrent

                        X . 3.9 :      Le Seigneur appelle l’homme : Où es-tu ?

                   E’. 3.10 :   l’attitude de l’homme

                   b’. 3.10a : je t’ai entendu

                   a’. 3.10b : j’ai eu peur car je suis nu

                   c’. 310c :   et je me suis caché

              D’. 3.11-13 : l’homme responsable

              a’. 3.11 :         avez-vous mangé du fruit défendu ?

              b’. 3.12 :         c’est la femme

              c’. 3.13a :       pourquoi as-tu fait cela ?

              d’. 3.13b :      le serpent m’a séduite

              e’. 3.13c :       j’ai mangé

          C’. 3.14,15 : Dieu maudit le serpent

          a’. 3.14 :         Dieu maudit

          b’. 3.14 :         le plus méprisé des animaux

          c’. 3.15 :         le serpent sera vaincu par la postérité de la femme

     B’. 3.16-21 : des relations endommagées

     a’. 3.16 :         l’homme dominera sur sa femme

     b’. 3.17,18 :   l’homme tirera sa subsistance du sol

     c’. 3.20 :    l’homme donne un nom à sa femme

     d’. 3.21 :    ils n’ont plus honte car Dieu les habille

A’. 3.22-24 : l’homme hors du jardin

c’. 3.22 :    l’homme ne peut plus manger de l’arbre de vie

b’. 3.23 :    il doit cultiver le sol hors du jardin

a’. 3.24 :    il ne peut plus rester dans le jardin.

 

Comprenons  

Le 3e chapitre de la Genèse est aussi important que les deux premiers pour comprendre la situation actuelle de l’homme et de la création par rapport à Dieu. Il permet de saisir le plan de Dieu qui veut sortir  l’être humain de la catastrophe provoquée  par son choix désastreux de  vivre à sa guise, sans tenir compte de Lui.

1. La structure générale fait apparaître que l’axe autour duquel tout le récit est construit est l’intervention de Dieu auprès de l’homme.

Cette intervention n’est pas agressive : Dieu appelle, et il est présenté non seulement avec son titre Dieu, mais avec son nom propre : L’Éternel (le tétragramme YHVH).

Les paroles qu’il prononce ne sont ni des accusations, ni des reproches, ni une condamnation, mais une question. Pédagogiquement, c’est à l’homme de se situer, de dire à Dieu où il est, et où il en est dans sa relation avec lui-même, avec la femme, avec la nature que Dieu a faites pour lui, et avec Dieu, son créateur.

  2. Tout ce qui est avant l’axe, décrit la situation initiale jusqu’à l’acte commis par l’homme et à ses premières conséquences indépendantes de toute intervention de Dieu.

La situation initiale comporte des risques indiqués par l’ordre de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, et par la présence du serpent, qui va se révéler instrument de séduction.

 3. Tout ce qui est après l’axe, montre la situation finale compte tenu de l’intervention de Dieu. Cette situation est marquée par un certain nombre de conséquences liées à la désobéissance de l’homme

        

Notre texte : Gen 3.1-7 

La séduction faisant appel essentiellement aux sens et à la sensibilité, le séducteur va s’attaquer à celui des deux êtres humains où ces sens sont les plus développés, la femme (= le féminin de l'humanité),  par rapport aux facultés de raisonnement logique, et de maîtrise de soi que l’on attribue plutôt à l’homme (le masculin de l'humanité. Masculin et féminin cohabitent en tout être humain en diverses proportions).

V 1 : Le serpent (médium et symbole de Satan, Ap 12.9), avant de séduire cherche à semer le doute sur la parole de Dieu dans l’esprit d’Eve.

V 2-3 : Les ajouts ou transformations de la parole de Dieu apportés par  Eve (le fruit, ne pas toucher), montrent combien l’interprétation de la Parole de Dieu dépend de l’esprit auquel on se soumet pour interpréter : cherche-t-on à être guidé et éclairé par Dieu, ou par sa propre intelligence ou par ses sentiments, ou par un esprit de critique ?

Si on n’y cherche pas une relation intime avec Dieu, la lecture et l’étude de la Bible seront vaines, ou influencées par d’autres esprits que l’Esprit Saint. Eve en écoutant le serpent s’est déjà mise sous son influence et le montre tout de suite par son ajout à la parole divine.

Mettre en doute la parole de Dieu (1) ouvre la porte à toutes les convoitises. Celles des yeux et de la chair (1 Jean 2.16) se manifestent (6a) dans le désir d’Eve de posséder ce que symbolise pour elle le fruit de l’arbre défendu : l’immortalité (4) et le discernement personnel du bien et du mal, qui sont les privilèges de Dieu (5). Satan a su éveiller en elle l’aspiration à sortir de sa condition dépendante de Dieu, et à conquérir le pouvoir divin de décider ce qui est bien ou mal.  Or les promesses de Satan se révèlent totalement fallacieuses : leurs yeux s’ouvrent* non pas sur le monde spirituel des dieux, mais sur leur situation de dénuement total de créatures sans Dieu !

 Nous retrouvons quotidiennement les facettes de cet « orgueil de la vie », lorsque sans même nous en rendre compte, et souvent avec les meilleures intentions du monde, nous nous mettons à la place de Dieu. Déterminer qui est sauvé ou pas, décider de la vie de ses proches ou de l’Église selon sa propre volonté, chercher à briller aux yeux des hommes, ou à grimper dans les hiérarchies pour exercer un pouvoir sur les autres, toutes ces attitudes reproduisent le péché de nos premiers parents. Il les rendit mortels, et les conduisit à cacher leur faiblesse devant Dieu et les autres par des moyens de fortune précaires (7). Ainsi en est-il de nos efforts pour donner le change et faire croire à une capacité personnelle de nous sortir des impasses dans lesquelles nous nous enfonçons par notre insoumission à Dieu.

 *Cette expression dans la Bible s’applique toujours aux « voyants », prophètes de Dieu ou devins, qui ont accès au monde invisible (voir 2 Rois 6.16-17).

 

Zabou Arbres en Eden.jpg

                                          Illustration de Zabou : Adam et Eve séduits par le serpent

 

V 4-5 : Les paroles du serpent présentent les 7 dogmes de l’humanisme spirituel qu’a repris  la philosophie du Nouvel-Age, et qui se sont infiltrés dans la pensée contemporaine. Ils ont comme objectif subtil et masqué de séparer l’homme de Dieu, et de faire de l’homme un rival de Dieu en lui faisant croire à son indépendance, son pouvoir et son intelligence.(Etude du regretté pasteur Marcel Fernandez)

 "1- Vous serez comme des dieux : c’est le refus du statut de créature dépendante de Dieu, et l’aspiration à l’auto-adoration.

 2- Vous ne mourrez pas : c’est la croyance en l’immortalité naturelle, que l’on retrouve dans toutes les religions, et qui conduit à la foi en la réincarnation, ou à une vie de "l'âme" après la mort.

 3- Vos yeux s’ouvriront : dans la Bible cette expression s’emploie pour la prise de connaissance du monde occulte, donc inaccessible au profane, au non-initié.

Eve va croire que Dieu la condamne à la naïveté, à avoir les yeux fermés sur ces pouvoirs de l’esprit, sur cette intelligence de l’infini et de l’au-delà.

 4- Vous connaîtrez le bien et le mal : chacun sera capable de déterminer ce qui est son bien ou son mal : c’est le relativisme moral, où l’homme n’a de compte à rendre à personne d’autre que lui-même.

 5- Dieu a-t-il réellement dit ...: le doute est  semé sur la révélation divine, qui prend moins d’importance que la communication de l’esprit humain avec les forces surnaturelles.

 6- Dieu sait que ...: Dieu est présenté comme un Dieu d’obscurantisme, un Dieu qui veut garder jalousement son savoir, qui interdit à l’homme la connaissance, l’ouverture d’esprit.

 7- Un fruit précieux pour ouvrir l’intelligence : la recherche du développement du cerveau par l’énergie cosmique (symbolisée par cet arbre) avec laquelle on entre en contact grâce à la méditation, est l’idée-clé de la philosophie humaniste spirituelle initiée par le Nouvel-Age. Elle s’introduit aussi dans l’Eglise, lorsqu’on ne perçoit pas toute la subtilité des propositions sataniques, dont le but est de séparer de Dieu."

 

V 6 : La tentation d’Eve reprend les trois convoitises dont parle l’apôtre Jean (1 Jean 2.16) : convoitise des yeux, convoitise de la chair et orgueil de la vie.

La tentation d’Adam est un peu différente : il devait choisir entre écouter Dieu et perdre sa femme, ou écouter sa femme, perdre Dieu et se perdre tous les deux. Il préféra la seconde solution, ce qui fait dire que le péché d’Adam avait une connotation sexuelle. Il préféra sa femme à Dieu. Mais en aucun cas, nous ne pouvons prétendre que le péché de nos parents fut l’acte sexuel ! Celui-ci était voulu et béni par Dieu, pour le bonheur de l’être humain et le peuplement de la terre, et même pour symboliser l’union que Dieu voulait vivre avec la créature à son image !

 Comment Dieu agit-il face à l’échec de son plan de vie pour l’homme ? Les versets suivants nous montrent toute sa mansuétude et sa sollicitude, pour accompagner l'humain dans sa situation de pécheur et lui promettre un avenir possible avec Lui[1].

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

- Sur quels points ai-je déjà mis en doute la Parole de Dieu ? Pourquoi ? Comment ai-je résolu ce doute ?

- A quelles séductions de Satan suis-je le plus sensible ? Comment y résister ?

- La question de Dieu m'invite à faire le point sur ma situation spirituelle et ma relation avec Dieu et les autres. Où en sommes-nous aussi dans l'église sur ces plans ? Que reflètent nos relations interpersonnelles ?



[1] Voir "L'Arbre de vie" de E. Zuber (Ed Vie et santé)

25/12/2015

Etude n° 1 Une crise dans le ciel, Ap 12.7-12 (02 01 16)

Etude n° 1  Une crise dans le ciel, Ap 12.7-12 (02 01 16)

« J’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant est arrivé le salut ainsi que la puissance et le règne de notre Dieu et l’autorité de son Christ ! » Ap 12.10

Observons

Le contexte

Au centre de l’Apocalypse (ch 12-14) sont condensées les révélations sur les dessous de l’histoire du peuple de Dieu, enjeu et partie prenante dans un conflit entre la puissance de l’Adversaire-dragon et celle du Christ Fils de Dieu. Le ch 12 dévoile ce conflit en le plaçant au centre (7-12) de ses conséquences pour le peuple des croyants (v 1-6 et 13-18).

 

Le texte

Sa structure en parallélisme concentrique permet de dégager au centre ce qui est le plus important :

a- v 7a :          Introduction : présentation générale du conflit céleste

b- v 7b-8 :      Victoire dans le ciel de Micaël (ciel = 2x)

c- v 9 :            Chute de Satan sur terre (précipité = 3x)

d- v 10a :       Le salut acquis par Christ

c’- v 10b :       Chute de l’accusateur des frères (2x)

b’ v 11 :          Victoire terrestre des frères

a’- v 12 :         Conclusion : le combat continue sur terre.

 

Qui sont les protagonistes du combat spirituel ? Où se situe ce combat ? Que signifie : il ne trouva plus de place au ciel ? Pourquoi ?

Quelle est l’issue du combat céleste ? Quel moment peut désigner le « maintenant » du v10 ?  Quelle expression répétée deux fois désigne le sort de Satan ? Quelles en sont les conséquences pour la terre ? Quels sont les moyens donnés aux hommes de vaincre Satan  (v 11)? De quoi le ciel peut-il se réjouir, et la terre se lamenter ?

 

Comprenons

Ce chapitre au centre du livre de l’Apocalypse est de toute première importance pour nous faire  comprendre les dessous de l’histoire spirituelle du monde. Il est à joindre aux textes prophétiques d’Esaïe 14 et Ezéchiel 28, qui nous éclairent sur l’origine du mal et du conflit entre Dieu et Satan

Les protagonistes du conflit sont d’abord dans notre texte deux chefs parmi les êtres célestes : Michaël (= Qui (est) comme Dieu ?) contre le dragon Satan ; puis sur terre les frères contre leur accusateur, mis en parallèle avec Satan (9 // 10b).

Au centre, la victoire de Michaël-Christ lui confère la puissance et la royauté et acquiert le salut des frères.

Le combat au ciel, se poursuit aussi sur terre, victorieusement pour ceux qui se réclament du sang de l’Agneau et donnent leur vie pour la proclamation de sa parole (11).

Michaël apparaît 5 fois dans la Bible (Dn 10.13,21 ; 12.1 ; Jude 9 ; Ap 12.7), chaque fois dans un contexte de combat contre une puissance céleste ou terrestre qui conteste son autorité. Les prophètes et les apôtres révèlent que celui « qui est comme Dieu ? » est le Christ (Col 1.15a, 19), seul défenseur de son peuple (Dn 12.1), médiateur (1Ti 2.5), intercesseur (Hb 7.25) et avocat (1 Jn 2.1). Michaël est son nom de guerre parmi les anges, dans le conflit qui l’oppose au chérubin garde des sceaux (Ez 28.12-14), qui prétendit devenir « semblable au Dieu Très-Haut » (Es 1Michel terrassant le dragon.jpg4.14), et qui devint le dragon Satan, l’Adversaire, le tentateur de l’Eden, et l’accusateur des frères. Le désir de cette créature de voler l’autorité de Christ et de prendre sa place dans la vie des anges et des hommes est toujours le même, et le nom de Michaël est la réponse directe de Christ à cette prétention d’usurpation. (13è siècle Michaël et le dragon)

Le conflit a débuté dès l’origine parmi les êtres célestes dont il est dit qu’un tiers fut entraîné par les mensonges de Satan (Ap 12.4 : voir Es 9.14b, Ap 1.20b pour définir la « queue » et « les étoiles »). Ce tiers d’anges devenus démoniaques prit la terre comme théâtre d’exercice. Tant que Christ ne s’était pas incarné et n’avait pas accompli son œuvre terrestre de salut, Satan avait encore accès au ciel (voir le prologue de Job), c’est-à-dire qu’il pouvait encore convaincre des anges : il gardait auprès de ces esprits célestes un certain pouvoir de persuasion, il avait donc encore une place parmi eux (v 8). Mais le jour où le Christ, Agneau de Dieu, s’est sacrifié lui-même (v 11 : Ga 1.4) pour faire mourir, dans sa chair humaine et innocente, le péché de l’homme qu’il endossait (2 Co 5.21), il a prouvé aux esprits célestes l’immense amour de Dieu pour les hommes, et les a définitivement convaincus du mensonge de Satan. Ainsi, à partir de la croix, Satan n’a plus de pouvoir sur eux et est « tombé du ciel comme un éclair (v 9, 10b : Luc 10.18).

  Désormais, le ciel, libéré des doutes qu’il y semait par ses mensonges, peut se réjouir, tandis que la terre doit se tenir en garde (v 12), car l’œuvre de Satan consiste à tenter de convaincre et d’attirer les hommes à lui, en les séduisant ou en les attaquant physiquement (v 11b : leur faire craindre la mort) et spirituellement (v 10b : les accuser devant Dieu, les culpabiliser, leur faire douter du pardon de Dieu).

 La seule parade pour les frères (v 11) est de se réclamer du pardon acquis par le sacrifice de Jésus, et de le proclamer à tous. Contre ces deux armes spirituelles, Satan ne peut plus rien (Jc 4.7 ; 1 Pi 5.8-9), car Christ l’a déjà vaincu par la croix, et a acquis par sa résurrection toute autorité et pouvoir sur lui (v 10).

 

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

- En quoi la compréhension du Grand Conflit est-elle importante pour ma vie quotidienne ? En retiré-je crainte et tremblement, ou joie et espoir ? Pourquoi ?

 

- Comment suis-je impliqué dans ce conflit ? Qui règne sur ma vie ? De quelle appartenance ma vie témoigne-t-elle ?

 

- Suis-je libéré de la peur de la mort et du doute sur l’amour de Dieu ? Comment la victoire de Christ sur Satan apparaît-elle dans ma vie, et dans celle de l’Eglise ?

 

- La Parole de Dieu est-elle pour moi une arme qui me permet de résister aux tentations de l’indifférence, du désespoir, de la vanité, du silence, et de l’abandon de la foi ?

 

- Louons le Seigneur de nous avoir révélé (grâce aux textes d’Es 14 ; Ez 28 et Ap 12), la victoire de l’Agneau sur Satan, d’avoir ainsi prouvé son amour et éclairé le sens de notre vie !