UA-111710466-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/04/2021

Étude n°5 Les enfants de la promesse, Genèse 15 (01 05 21)

Étude n°5 Les enfants de la promesse, Genèse 15 (01 05 21)

"Enseignez-leur à garder tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde“ Mat 28.20ciel étoilé.jpg

Observons

On peut distinguer trois parties dans ce texte : deux parties de dialogue avec Dieu encadrant une courte partie d’actions d’Abram.

Chacune de ces trois parties est construite sur des parallélismes concentriques qui mettent en valeur la phrase centrale :

Première partie : 15.1-9 : a) v 1 : intervention de Dieu pour protéger et consoler

b) v 2-3 : doute d’Abram sur la descendance

c) v 4 : promesse de descendance innombrable

d) v 6 : confiance et justification d’Abram

 c’) v 7 : promesse de possession du pays

 b’) v 8 : doute sur la possession du pays

 a’) v 9 : intervention de Dieu pour un sacrifice d’alliance 

Deuxième partie :   

a) v 10 : Préparatifs d’Abram pour le sacrifice d’alliance

b) v 11 : Abram chasse les vautours prédateurs

a’) v 12 : Terreur d’Abram dans le soir 

Troisième partie :    

a) v  13-16 : Promesse de Dieu : l’histoire des descendants

b) v 17-18a : Dieu signe seul l’alliance

a’) v 18b-21 : Promesse de Dieu : les limites du pays. 

Les trois propositions mises en valeur par cette construction révèlent toutes les attentions de Dieu envers Abram pour lui apprendre à vaincre ses doutes et angoisses et à Lui accorder une totale confiance.

 Comprenons 

1- Abram le juste

Une fois encore, le Seigneur apparaît à Abram à un moment où il est anxieux, comme le prouve son expression : “ N’aie pas peur ! Je suis ton protecteur ! ”. En effet, Abram est isolé dans un pays étranger où les razzias des voisins peuvent recommencer. Son neveu n’a pas tiré leçon de sa mésaventure et s’en est retourné à Sodome. Il reste seul, vieux et sans enfant !

Dans son dialogue avec Dieu il exprime toutes ses interrogations et même semble accuser Dieu de n’avoir pas encore tenu sa promesse de descendance. Dans sa déprime, il ne désire plus rien de matériel : A quoi bon toutes ces richesses ? A qui iront-elles ? Abram ne voit que la solution humaine, conforme aux coutumes, d’adopter comme héritier un de ses fidèles serviteurs.

Dieu rejette cette solution et lui promet un héritier de son sang. Pour concrétiser cette promesse, il place Abram devant la vision du ciel constellé d’étoiles innombrables : ainsi sera sa descendance ! Pour Abram, c’est une promesse d’éternité ! Les étoiles du ciel sont désormais pour lui le signe de la réalisation de cette promesse de Dieu. Si Dieu a pu les créer, il pourra aussi donner une nombreuse descendance.

Nous avons ensuite la première claire affirmation, dans la Bible, de la justification par la foi. Au moment où Abram n’a rien fait d’autre que croire à la parole de Dieu, il est considéré comme juste, c’est-à-dire comme intègre et droit devant Dieu, sans péché !

Ce ne sont pas ses œuvres précédentes, ni une obéissance parfaite, ni même une foi à toute épreuve (la suite montrera qu’elle est chancelante), qui le rendent juste. C’est seulement le mouvement de confiance de son cœur répondant à la révélation de l’amour et de la promesse de Dieu.

Si l’on se rappelle que le péché, c’est la séparation d’avec Dieu, Abram peut être considéré sans péché au moment où il accepte de faire confiance, d’entrer dans une relation intime avec Dieu. C’est ce que désirait Dieu depuis la Création, et qu’il propose encore à chacun. 

2- Les préparatifs du sacrifice d’allianceAbraham sacrifice d'alliance.jpg

La foi qu’Abram accorde à Dieu à propos de sa descendance doit aussi s’affirmer à propos du pays promis. Comme Dieu avait donné pour la descendance le signe des étoiles, il va donner pour le pays le signe de l’alliance. Pour cela il utilise la coutume orientale du sacrifice d’alliance où les parts d’animaux représentent les deux partis alliés. Pour signer l’alliance, il fallait passer ensemble entre les morceaux des animaux, signifiant ainsi qu’on s’engageait à subir le sort de ces cadavres, si l’alliance était rompue !(Jér 34.18-20)

Abram prépare tout correctement, puis attend que Dieu se manifeste pour signer cette alliance. Lorsqu’on fait alliance, c’est pour lutter contre un ennemi commun. Cet ennemi est symbolisé par les vautours qui s’abattent sur les cadavres d’animaux. S’ils venaient à les dévorer, il ne pourrait plus y avoir d’alliance, ni d’accomplissement de la promesse du pays ! Malgré sa victoire sur eux, Abram voit dans ces vautours un mauvais présage pour la réalisation de la promesse, c’est pourquoi la terreur l’envahit quand le soir tombe ! Conscient de sa propre faiblesse devant les difficultés à surmonter pour posséder un pays rempli d’ennemis, et pour tenir tout seul un pacte d’alliance où Dieu ne s’est pas manifesté, il craint de s’engager entre les animaux, de peur de mourir s’il transgresse cette alliance.

Celui qui veut faire alliance avec Dieu, doit avoir éprouvé ce moment d’angoisse devant sa faiblesse humaine, de besoin ardent de trouver une aide, ce désir de la présence de Dieu dans sa vie. C’est au moment où l’homme se sent le plus faible devant les menaces et les doutes que Dieu intervient.(2 Cor 12.9-10) 

3- Les révélations de Dieu

Dans l’impasse où se trouve Abram, Dieu renouvelle d’abord ses promesses. Les promesses révèlent d’une part l’histoire des descendants, où s’explique l’épisode des vautours, d’autre part la fin d’Abram lui-même, et enfin l’étendue du pays.

Dieu fait comprendre à Abram que les vautours représentent les deux peuples qui tenteront d’empêcher ses descendants de posséder le pays : les Egyptiens et les Amorrhéens (ce nom particulier d’un peuple habitant les montagnes voisines d’Hébron désigne en fait l’ensemble des peuples cananéens du pays). Ces deux peuples dont auront à souffrir les descendants d’Abram, seront jugés par Dieu en leur temps. Pour que Dieu fasse tomber une nation et donne sa place à une autre, il faut qu’elle soit arrivée au point où le mal y est devenu absolument incurable. Cette loi se vérifiera bientôt avec Sodome et Gomorrhe, plus tard encore avec la destruction des Cananéens sous l’action de Josué.

Elle annonce aussi la longue patience de Dieu à la fin des temps (2 Pierre 3.9, 15), pour faire prendre conscience au plus grand nombre possible des conséquences catastrophiques du mal, et de la nécessité de se tourner vers Dieu pour résoudre les problèmes humains et changer de vie. Lorsque les peuples et les gens auront fait la preuve qu’ils ne veulent pas changer ni se tourner vers lui (Apocalypse 9.20-21), Dieu interviendra pour délivrer son peuple fidèle (Apocalypse 11.17-18), comme il est intervenu pour chasser et détruire les ennemis du peuple hébreu lors de la conquête du pays de Canaan.

Les vautours sont aussi le symbole des difficultés physiques, des tentations morales et spirituelles que chacun rencontre dans sa relation avec Dieu : Satan essaie d’empêcher notre alliance avec Dieu par tous les moyens. Comme Abram il nous faut résister, en nous appuyant  sur le Seigneur et sur ses promesses. L’exemple d’Abram dans cet épisode est un puissant encouragement pour notre propre expérience de la vie avec Dieu !

Après l’histoire des descendants, Dieu révèle les limites du pays. Il n’atteindra jamais les deux fleuves du Nil et de l’Euphrate, mais ces fleuves désignent les empires qu’ils arrosent, entre lesquels se trouvera le royaume de David et Salomon. De même, spirituellement on peut voir dans cette promesse, la prévision de la place du peuple de Dieu au milieu des nations hostiles à Dieu.

Enfin, Dieu rassure Abram sur son avenir personnel immédiat, il n’aura plus de guerres à soutenir, et vieillira en paix. Le croyant qui se confie en Dieu, peut traverser en paix toutes les difficultés et s’endormir dans une mort sereine, car son espérance est dans les promesses de Dieu.

4- Le signe de l’alliance  “ A la vie, à la mort ”

Au moment le plus obscur physiquement et moralement (dans la nuit et la terreur), Dieu apparaît selon le mode consacré dans l’Ancien Testament pour les théophanies, sous forme de feu et de fumée (voir la colonne de feu et la nuée qui accompagneront Moïse et le peuple hébreu dans le désert, et qui formeront la Shékina au-dessus du tabernacle). Dieu ne laisse pas son allié dans le désarroi et répond au-delà de son attente : le sacrifice d’alliance est accompli parfaitement, les promesses seront tenues, mais en plus c’est Dieu seul qui subira la mort, en cas de rupture de l’alliance par l’homme !

Dieu annonçait par là à Abram son plan de salut pour l’homme pécheur : Christ, Dieu lui-même, s’offrait déjà pour que le pécheur, qui avait rompu l’alliance avec lui, puisse vivre.

Dieu prend les devants pour préserver son allié de la mort, et s’engage à fond en donnant sa vie !

La seule contrepartie demandée à Abram pour le moment est sa foi, sa confiance dans la parole de Dieu. 

Questions pour une application dans la vie chrétienne 

 - Comment est-ce que je réagis aux difficultés rencontrées, professionnellement, familialement, ou dans l’église ? Comment puis-je en faire des occasions de grandir dans ma relation avec Dieu, au lieu de m’en plaindre ou d’en accuser les autres ?

- Sur quelles promesses de Dieu me suis-je déjà appuyé ? Quels enseignements en ai-je tiré ?

 - Est-ce que je me crois « justifié » par Dieu ? Comment cela se traduit-il dans mes pensées et mes attitudes ?

 - A la lecture de cette alliance d’Abram, quel sens nouveau puis-je donner à mon baptême, qui a signé mon alliance avec Dieu ?

 

 

 

 

16/04/2021

Étude n°4 Une alliance éternelle Genèse 17 (24 04 21)

Étude n°4 Une alliance éternelle Genèse 17 (24 04 21)

« J’établirai mon alliance avec toi et ta descendance après toi, dans toutes leurs générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de tes descendants après toi. » Gen 17.7

Observons :Abraham.jpg

Le contexte

  • A quel moment Dieu a-t-il déjà conclut une alliance avec Abraham ? Avec quelle promesse, 15. 4 et 18 ?
  • Comment Abraham crut-il bon de réaliser cette promesse ? Avec quel résultat dans sa famille ? ch 16
  • Combien d’années séparent les ch 16 et 17 ?

Le texte

On y distingue quatre parties : trois sont ponctuées par l’expression « Dieu dit à Abraham » et constituent le dialogue entre Dieu et Abraham, et une 4ème partie (23-27) concerne l’acte d’obéissance d’Abraham.

Le mot « alliance » répété 12 fois  donne son sens au passage.

Première partie (1-8):

  • Comment Dieu se présente-t-il à Abram ? Que lui rappelle-t-il ? v 1-2 ?
  • Que signifie le changement de nom d’Abram en Abraham ? v5 Comment Dieu l’explique-t-il ? v 6
  • A qui s’étend la promesse de l’alliance v 7? De quoi s’accompagne-t-elle v 8?

Deuxième partie (9-14)

  • Quel signe marque cette alliance ? Pourquoi ce signe dans la chair et à cet endroit ? Que signifiera l’absence de ce signe ?

Troisième partie (15-22) : Qui est incluse dans l’alliance ? Que signifie son changement de nom ? Comment réagit Abraham (17-18) ? Quelle distinction fait Dieu entre les deux fils d’Abraham v 19-21 ? Quel nom est donné au fils de la promesse ?

Quatrième partie : (23-27)

Comment Abraham obéit-il à l’ordre de Dieu ? Pourquoi tous ces détails sont-ils mentionnés ?

 

Comprenons

14 ans s’écoulent entre les chapitres 16 et 17 ! Abram a eu le temps de réfléchir aux promesses de Dieu, d’expérimenter l’alliance que Dieu avait signée avec lui (15.17-18), et de constater dans son foyer les conséquences désastreuses (jalousie, maltraitance, fuite d’Agar, intervention de l’Ange de l’Eternel en sa faveur)  de sa hâte à voir se réaliser la promesse d’un fils.

 

  1. Le renouvellement de l’alliance (17.1-8)

A toutes les questions qu’Abram dut se poser pendant ces 14 ans, Dieu répond

enfin ! Il rappelle son alliance et pour la quatrième fois ses promesses (descendance et territoire), en y ajoutant quelques éléments nouveaux :

  1. Il se présente avec un nouveau nom : El-Shaddaï, Dieu Puissant (Les deux premières fois il était l’Eternel, la troisième fois, le Bouclier -12.8 ; 13.17 ; 15.4). Cela le caractérise comme celui qui dirige les événements pour réaliser son plan. Mais un jeu de mots en hébreu donne son sens à la toute-puissance de Dieu. Dans le mot Shaddaï on entend Shad qui désigne le sein maternel, symbole de l’amour nourricier d’une mère pour son enfant. L’expression évoque alors la toute-puissance de Dieu qui s’exprime dans son amour qui répond aux besoins vitaux, et non dans le totalitarisme ou la force ! L’Eternel va révéler son amour à Abram, en accomplissant sa promesse de descendance malgré les obstacles humains de son âge, ou de ses efforts pour la réaliser par lui-même.
  2. b) Il change le nom de Abram en Abraham, « père d’une multitude » et le nom de Saraï en Sara, « princesse », c’est-à-dire mère d’une race royale. Il affirme par là son autorité de Parent sur Abraham et Sara (c’était le père ou la mère qui nommait les enfants), sa connaissance parfaite d’Abraham et Sara, et sa fidélité à sa promesse de descendance nombreuse. Le changement de noms intervient avant l’obéissance d’Abraham et avant l’annonce de la naissance prochaine. C’est une grâce de Dieu et non une récompense ! Cette grâce fait appel à la foi et non à la vue pour croire.
  3. Il donne à Abraham les engagements qu’il doit prendre.

Dans cette alliance, c’est Dieu qui donne descendance, pays et directives. Abraham en acceptant ces dons, comme le montre son adoration (v 3), accepte en même temps :

1- de marcher intègre devant Dieu (v 1), c’est-à-dire d’être un, non partagé, non divisé, fidèle à la relation avec Dieu,

2- d’adorer Dieu comme son Dieu personnel et exclusif (v 7) : l’alliance crée un lien exclusif d’intimité entre les deux alliés,

3- de consacrer sa vie et celle de sa postérité à la direction de Dieu, en acceptant le signe de la circoncision dans la chair. 14 ans auparavant, Dieu  avait promis une descendance nombreuse et un pays. Il n’avait pas demandé d’adoration en retour, seulement de la confiance en sa parole. Au ch 17, la relation devient à double sens, beaucoup plus étroite entre un Père et ses enfants. 

2- L’annonce du fils promis (15-22)

Dieu confirme le rire de surprise (plus que de doute !) d’Abraham, par le nom de son fils Isaac = Il a ri, ou = On a ri.  Ce nom rappellera les 4 rires qui ont accompagné Isaac dès l’annonce de sa naissance : le rire de surprise et de doute d’Abraham (17.17), le premier rire d’incrédulité de Sara (18.12), son rire de joie et de reconnaissance à la naissance de son fils (21.6) et le rire de moquerie d’Ismaël (21.9).

L’alliance éternelle (v 19, 21) se fera exclusivement  avec Isaac et sa descendance, tandis qu’Ismaël sera seulement béni par une descendance nombreuse, et pour lui aussi princière (v 20). Voir la réalisation de cette promesse ch 25.12-18 

3 et 4 - la circoncision (9-14 ; 23-27)

On peut se demander pourquoi ce signe-là pour marquer l’alliance avec Dieu. En fait, par cet acte dans sa chair la plus intime, dans les sources mêmes de la vie humaine, Dieu demande à Abraham de manifester qu’il Lui fait, après l’épisode d’Agar, totalement confiance pour l’accomplissement de la promesse de progéniture, et qu’il Lui abandonne toute la direction de sa vie et de son avenir. Abraham reconnaît ainsi qu’il s’en remet de tout son être à Dieu. La circoncision de la chair est le signe visible, le symbole de la circoncision du cœur, du don du cœur à Dieu (Jérémie 9.25 ; Romains 2.28-29).

Ces engagements sont encore ceux du croyant qui fait alliance avec Dieu, le signe de la circoncision ayant été remplacé, après Jésus, par celui du baptême ; ce dernier  comme la circoncision, symbolise aussi le renoncement à son « ego », pour vivre une autre vie guidée par Dieu. 

Abraham et sa maisonnée furent circoncis adultes. L’ordre de pratiquer cet acte sur les enfants de huit jours devait rappeler à l’Israélite que son enfant est consacré à Dieu dès sa naissance, mis à part pour le servir. Peu à peu les juifs lui donnèrent le sens d’appartenance au peuple élu, et non plus à Dieu, et les musulmans reprirent ce signe à leur compte dans ce dernier sens d’appartenance au peuple !

Toute la maisonnée d’Abraham dut pratiquer la circoncision, même Ismaël qui n’est pas le fils de la promesse, et même les étrangers qui faisaient partie de ses serviteurs. Dieu annonce sans doute par-là que son désir d’alliance s’étend à tous, à travers l’alliance particulière d’Abraham. Prépare-t-il son peuple à accepter l’universalité du salut qu’il proposera en Jésus-Christ ? Tous ceux qui l’accepteront comme leur Dieu entreront dans son alliance. 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

  • Le changement de nom d’Abram et Saraï préfigurait le nom nouveau de « Christ » que portera celui qui entrera dans l’alliance de Dieu (Ap 3.12 ; 22.4). Suis-je conscient de porter ce nom, et comment l’honorer dans ma vie ?
  • En entrant dans l’alliance avec Dieu, me suis-je saisi des promesses divines (fidélité de l’amour de Dieu, fécondité spirituelle, royaume éternel = pays promis) ? Comment y ai-je répondu ?
  • Comment rendre visible l’abandon de tout mon être à sa direction ? (voir Rm 6.6,11-13) ? Comment est-ce que je remplis mes engagements d’intégrité et d’obéissance par amour, qui constituent ma part dans cette alliance ?
  • Isaac n’a pu naître qu’après l’abandon total à Dieu d’Abraham et Sara. Ai-je laissé naître et grandir le Fils en moi ? Sinon, comment puis-je le permettre ? Si oui, comment cela se voit-il dans mes relations avec les autres dans l’Eglise ou à l’extérieur ? 
  • Comment ma vie et mes paroles peuvent-elles témoigner de la toute-puissance d’amour du Dieu que j’adore et que je sers ?