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31/03/2017

Etude n°2 Un héritage incorruptible 1 Pierre 1.3-16 (08 04 17)

Étude n°2 Un héritage incorruptible 1 Pierre 1.3-17 (08 04 17)

« Dieu nous a régénérés selon sa grande miséricorde, par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour une espérance vivante, pour un héritage qui ne peut ni se corrompre, ni se souiller, ni se flétrir et qui vous est réservé dans les cieux… »     1 Pie1.3-4

Polyptique de Montbéliard : Résurrection de Christrésurrection 2.jpg
Observons
Le contexte
La première lettre de Pierre fut écrite vers 63-64, depuis Rome, peu avant la mort de l’apôtre. Elle est adressée aux croyants dispersés en Asie Mineure et confrontés à un monde hostile, que Pierre avait pu visiter durant son ministère. Après une action de grâces à Dieu pour le salut et l’espérance du retour de Christ, l’apôtre cherche à encourager les croyants à la sainteté et à l’amour (1.13-2.10) .

Le texte
C’est une action de grâces adressée à Dieu, suivie d’une exhortation aux fidèles.

a)    v 3-5 : Régénérés pour une espérance vivante : Quelles sont les actions de Dieu ? Qu’a-t-il donné à l’homme, qu’a-t-il promis ? Quel synonyme au mot « héritage » trouve-t-on dans ces versets ? Quel sens ont-ils (voir Jean 3.16) ?

b)     v 6-9 : Eprouvés mais joyeux dans la foi en Christ : Quelle expression répétée deux fois encadre le passage. A quoi s’oppose-t-elle ? Qu’est mis en valeur au centre du passage (v 7). Quelle définition de la foi est donnée au v 8 ? Quel en est l’aboutissement ? v 7b, 9.

c)    v 10-12 : Qu’attendaient les prophètes et que recherchaient-ils ? Qui les guidaient ? Qu’avaient-ils découvert ? v 10-12 Quel ministère remplissent à leur suite les apôtres ? Qui les guide ? Pourquoi les anges les considèrent-ils ? Eph 3.10.

d)    v 13-16 : Par quoi se traduit l’espérance en la grâce : relever tous les impératifs ? Quels domaines de la personne humaine concernent-ils ? Quelle définition de la sainteté donne Pierre ? Quelle « crainte » est demandée au croyant ? Pourquoi ?

 
Comprenons
 

Le but principal de l’épitre est de consoler les frères éprouvés par la souffrance de la persécution physique ou morale (4.1,12-19), en leur rappelant la grandeur du salut en Jésus-Christ et la puissance de l’espérance en la vie éternelle.

a)  La miséricorde de Dieu (v 3) qui révèle le salut (v 5) et sa puissance (v 5) qui ressuscite et régénère (v 3), sont les fondements de l’espérance de l’héritage incorruptible de la vie éternelle (v 4). Il est incorruptible, car spirituel et accordé par Dieu.

La source du salut est en un Dieu Père qui aime sa créature et désire pour elle une vie éternelle (= incorruptible par la mort), une sainteté parfaite (= sans la souillure du péché), et une jeunesse perpétuelle (= impérissable). Dieu prouve cette volonté en ressuscitant Christ, et en « régénérant », renouvelant l’être entier du croyant (= celui qui se met « par la foi » sous la garde  de sa puissance v 5), jusqu’à l’avènement de Christ (v 5b, 7b).

La régénération du croyant a pour fruit principal une espérance vivante : il possède par anticipation la vie éternelle, car Christ est sa vie dès à présent (Ga 2.20 ; Ph 1.21). Pierre se réfère sans doute à son expérience personnelle de régénération. La résurrection de Christ a non seulement ranimé son espérance cruellement abattue par la crucifixion de son Maître et son propre reniement, mais elle a aussi recréé son être spirituel, l’a transformé au point de le remplir d’une espérance impérissable et vivifiante.

b)           L’allégresse que donnent l’espérance du salut (v 6,8-9), l’amour et la foi en Christ (v 8), permet de supporter l’épreuve de la foi (6b-7) et d’en faire une occasion de glorifier Dieu (7b). Cette allégresse transforme la vision du croyant sur les épreuves de sa vie : au lieu d’en faire des sujets de plaintes, ou de dépression, il les envisage avec joie (Jac1.2-3) comme des occasions d’affermir et de purifier sa foi et son amour pour Dieu (8), ainsi que de rendre gloire à Dieu en le révélant comme celui qui donne la vie et qui vient le délivrer de tout mal (7).

 c)            Le salut par Jésus crucifié, ressuscité et glorifié est le sujet de toutes les Ecritures : les prophètes inspirés par l’Esprit l’ont pressenti (Es 53 ; Ps 22). Pierre affirme ici l’éternité et l’identité de l’Esprit : c’est le même Esprit de Dieu qui a inspiré les prophètes avant l’incarnation, et le Christ lui-même après son incarnation. Leurs patientes recherches les ont amenés à comprendre le projet de Dieu et à accepter que son accomplissement ne se ferait pas de leur vivant (Mt 13.17 ; Dn 12.8-10), mais qu’ils devaient en porter la nouvelle pour les générations futures (v 12). L’œuvre du St Esprit se poursuit, après les prophètes, par les apôtres qu’Il pousse à proclamer l’Evangile. Les anges eux-mêmes considèrent avec attention les effets de cette espérance dans la vie des croyants pour y reconnaître la sagesse infinie de Dieu (Ep 3.10).

d)           L’obéissance dans la sainteté réelle du cœur et de la vie, c’est-à-dire dans la consécration au service de Dieu, est soutenue par l’espérance en la grâce qu’est la délivrance du mal accordée au retour de Christ.

Si Christ est réellement vivant dans le cœur et la vie du croyant, il se manifeste concrètement dans une discipline de vie, une gestion de son être tout entier, corps, âme, esprit. Ceindre les reins de l’entendement, c’est maîtriser ses émotions (= reins) et sa pensée pour les soumettre au Seigneur qui est saint. Refuser cette soumission, c’est refuser la communion avec Dieu qui par nature, ne peut avoir de contact avec ce qui est souillé par le péché.

La soumission de l’esprit (= spiritualité) et de l’âme (= psychisme) est la condition de l’obéissance active (= corps), non dans la crainte peureuse d’un jugement, mais dans l’espérance confiante, respectueuse et persévérante jusqu’au but (= parfaite), de la délivrance (= la grâce) au retour de Jésus, la foi de chacun s’étant révélée par les œuvres accomplies (Jac 2.17-18).

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne
-         Ai-je expérimenté comme Pierre, la régénération de mon être par la foi en Jésus-Christ crucifié et ressuscité ? Comment se manifeste-t-elle ?

-         En quoi l’espérance de la vie éternelle change-t-elle quelque chose à ma façon d’être dans la souffrance et les épreuves de la vie ?

-         Est-ce que je sonde les prophéties bibliques pour connaître les temps et les circonstances du retour de Christ (v 1) ou pour fortifier mon espérance et ma foi dans le salut réalisé et offert par Jésus (Ep 1.18),et mieux comprendre l’amour infini de Dieu (Ep 3.18-19) ?

-         Comment soumettre ma pensée, mes désirs et mes émotions à la Parole de Dieu ?

-         Par quelles façons d’être et d’agir puis-je cette semaine manifester que Christ est mon Seigneur et mon espérance ?

08:00 Publié dans Pierre | Lien permanent | Commentaires (0)

24/03/2017

Étude n°1 Personnalité de Pierre Mat 16.13-23 (01 04 17)

  Étude n°1 Personnalité de Pierre Mat 16.13-23 (01 04 17)

(Polyptique de Montbéliard, 16è, Profession de foi de Pierre)profession de foi de Pierre.jpg

« En voyant que le vent était fort il eut peur et comme il voyait qu’il s’enfonçait il cria ; Seigneur sauve-moi ! Aussitôt Jésus étendit la main, le saisit et dit : Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?» Mat 14.30-31

Observons

Deux parties en contraste :

A- Confession de foi de Pierre : 13-20

Introduction : Arrivée de Jésus à Césarée de Philippe

v 13-14 : Comment Jésus se désigne-t-il ? Comment les foules le considèrent-elles ?

v 15-16 : Que reconnaît Pierre en Jésus ? Quelle différence existe entre cette confession et ce que Jésus dit de lui-même au v13 ?

v 17-19 : Commentaire de Jésus : Comment Jésus appelle–t-il Pierre ? En quoi consiste son bonheur ? A quoi s’opposent la chair et le sang ?

Quel autre nom est donné par Jésus à son disciple ? Avec quel jeu de mot ?

Qui est le sujet du verbe bâtir ? Sur quoi l’Église est-elle bâtie ? (1 Cor 3.11 ; Mat 21.42 ; Eph 2.20)

Quelles sont les Clés du royaume confiées à L’Église ? De quels liens Jésus parle-t-il ? Quel rapport établit-il entre la terre et le ciel ? Dans quel sens ?

Conclusion : Pourquoi  Jésus recommande-t-il le Silence sur sa nature?.

B- Refus de la croix par Pierre : 21-23 :

V 21 : Qu’annonce Jésus à ce moment ? Pourquoi ?

V 22 : Comment Pierre réagit-il à cette annonce ? Qu’est-ce qui peut le motiver ?

V 23 : Comment Jésus répond-il ? Pourquoi ? Comment considère-t-il son disciple ?

Que peut-on conclure sur la personnalité de Pierre ?

Comprendre

Le Contexte

Jusqu’à présent Jésus a prononcé des discours et accompli des miracles pour révéler qui il est (ch 4-10). Il a provoqué des réactions différentes chez Jean-Baptiste, la foule et les Pharisiens (ch 11-12). Devant le doute, le scepticisme et les accusations, il se retire, en enseignant par paraboles (ch 13), et il recherche la solitude, il fuit la foule parce qu’elle veut en faire son roi terrestre, mais pourtant il la nourrit (ch 14). Il se réfugie en territoire païen (ch 15). Enfin des guérisons et une seconde multiplication des pains provoquent l’attaque des Pharisiens et des Saducéens (ch 16.1-12), dont il s’éloigne à Césarée de Philippe, au nord-est du pays.

A partir de la confession de Pierre (16.13-20), il prépare ses disciples à sa mort (16.21-28), et se révèle à eux comme le Fils de Dieu, à la Transfiguration (ch 17), avant de monter à Jérusalem (ch 18-20).

LeTexte

La confession de Pierre marque donc un tournant dans l’attitude et l’enseignement de Jésus vis-à-vis de ses disciples. La reconnaissance de sa divinité et de sa messianité leur permet de recevoir la révélation de la réelle mission de Jésus (v 22-23), même s’ils ne sont pas encore capables de la comprendre.

1- A l’inverse du peuple et du roi Hérode qui ne voient en Jésus qu’un prophète, dans la lignée des autres et précurseur du Messie libérateur du joug des Romains, les disciples par la bouche de Pierre, confessent que celui qui se nomme lui-même le Fils de l’Homme, ne signifie pas seulement son humble filiation humaine, mais représente bien le personnage de la grande vision eschatologique de Daniel 7.13-14, qui s’avance vers l’Ancien des jours pour recevoir la « domination, l’honneur et la royauté » éternels.

Le nom de « Fils de l’homme » que Jésus seul s’attribue, annonce le Messie, avec l’idée de l’abaissement de son humanité qui sera un jour élevée à la gloire (Phi 2.6-11).

2- Pierre inspiré par l’Esprit (v 17) voit, au-delà de l’humanité visible de Jésus, sa gloire de Fils de Dieu, ce que confirmera la Transfiguration. Pierre en ajoutant Fils du Dieu « Vivant », l’oppose aux idoles fabriquées par les hommes, et voit Dieu comme la source de toute vie et de celle qui se manifeste en Jésus. Cet élan du disciple brise le moule de la pensée juive, de l’opinion populaire, pour accéder au monde spirituel divin. Car selon l’hébreu, l’expression « fils de… » marque l’identité de nature et de caractère, plus qu’une filiation de sang ! En qualifiant Jésus de fils de Dieu, Pierre lui accorde pleinement la nature et le caractère de Dieu !

Jésus appelle Pierre « heureux » d’avoir eu cette révélation de l’Esprit, d’avoir pu percevoir au-delà des apparences la réalité divine invisible, car cette « vue de l’Esprit », cette foi, ouvre à Pierre la source du bonheur présent et éternel.

3- Le commentaire de Jésus, très controversé entre catholiques et protestants est à examiner de près, sans y ajouter ce qu’on aimerait y trouver.

D’abord, Jésus rappelle à son disciple le nom qu’il lui a donné au début de leur rencontre (Jean 1.42) : Simon Bar Jona (fils de Jona) signifie : celui qui écoute, fils de la "colombe", emblème de l’Esprit (Mat 3.16). Le disciple qui a confessé la divinité messianique de Jésus, est celui qui a su écouter la voix de l’Esprit et comprendre sa révélation sur Jésus. Il peut alors être considéré comme un « roc » (Petros chez Matthieu, Céphas chez Jean). Ce nom, commun au féminin, désigne un élément de la nature solide, mais instable (= une pierre en français), et devient un nom propre au masculin, pour nommer un homme au caractère ferme. L’idée sous-jacente de ce jeu de mot peut être : la foi dans le Christ fait de l’homme peureux (Mat 14.30), irrésolu, fluctuant comme une pierre qui roule, un disciple plein d’assurance et de fermeté dans sa confession.

La confession de cette foi permet aux disciples de s’assembler (Église = assemblée convoquée) et de « bâtir » une communauté spirituelle de fidèles que la mort spirituelle (= la séparation d’avec Dieu) n’atteindra ni n’engloutira pas (v 18).

De plus, Jésus voit que Pierre, le premier à le confesser publiquement, sera aussi le premier fondateur de l’Église parmi les Juifs (Actes 2), parmi les Samaritains (Ac 8.14 et suivants), et parmi les païens (Ac 10). Dans toutes les listes des apôtres, il est nommé en premier (Mt 10.2 ; Mc 3.16 ; Lc 6.14 ; Ac 1.13). Mais cette primauté historique ne lui confère pas un rang supérieur transmissible dans le temps. Il fut le premier fondateur, sans être le fondement (1 Co 3.11) ou la pierre angulaire (1Pi 2.6), que seul Christ est. D’autres apôtres (Paul ou Jean) furent plus grands que lui et jamais Pierre n’eut de suprématie dans le gouvernement de l’Église (Ac 11 et 15 ; Ga 2). Marc et Luc ne rapportent pas les remarques de Jésus à cette confession de Pierre, signe que les prérogatives accordées à Pierre n’étaient pas considérées comme primordiales ni éternelles.

 À travers son disciple, Jésus donne à toute l’Église le sens de sa mission : « Lier » les hommes à Dieu (Dt 6.8 ; 11.18 ; Hé 8.10), en les invitant à entrer dans son alliance de vie (Mal 2.5 ; Rm 11.27), et les « délier » de leur péché et de leur culpabilité (Luc 13.16 ; Jn 11.44), en leur annonçant le pardon que Dieu leur offre en son Fils Jésus (v 19). La responsabilité de l’Église est immense car ce qu’elle fait et proclame sur terre, dans le monde visible, a des répercussions dans le monde spirituel et invisible de Dieu (= le ciel).

 La recommandation sévère de Jésus de ne pas révéler avant l’heure qu’il est le Christ, a pour but de ne pas exciter dans le peuple de fausses espérances messianiques, charnelles et terrestres, ni de provoquer trot tôt la haine de ses adversaires. Jésus déclarera lui-même qui il est, à l’heure du martyre (Mt 26.63, 64).

 B-  v 21-23 : A partir de la confession de Pierre (16.13-20), Jésus prépare ses disciples à sa mort (16.21-28), et se révèle à eux comme le Fils de Dieu, à la Transfiguration (ch 17), avant de monter à Jérusalem (ch 18-20). Il est nécessaire de clarifier les idées des disciples qui attendaient un Messie terrestre et glorieux, ils ne doivent pas se faire d’illusions, Il n’est pas celui qui vient comme ils l’attendent ! Cette perspective funeste scandalise Pierre, qui ose « faire des reproches » à son Maître ! Il ne peut accepter l’idée de sa mort, qui mettrait fin à tous les espoirs des disciples, selon leur conception encore très terrestre du royaume de Dieu. Jésus, s’il saisit bien l’amitié de cette protestation, décèle aussi l’ambition de son disciple. Celle-ci devient une tentation semblable à celle que Satan lui proposa au désert (Mat 4), et durant toute sa vie jusque sur la croix (Mat 27.42-43) : éviter la souffrance et la mort pour accéder directement à la gloire, mais une gloire terrestre, passagère, entachée d’orgueil, de vanité et de goût du pouvoir.

C’est pourquoi Jésus écarte violemment cette suggestion qu’il sait venir du Malin, au risque de blesser son disciple. Des nues où il pouvait se croire arrivé par sa belle confession, Pierre retombe sur terre, dans l’humilité la plus totale ! Combien de fois nous arrive-t-il de suggérer avec les meilleures intentions du monde, des solutions à nos problèmes qui sont en fait inspirées par le refus de renoncer à nos espoirs humains, par l’aveuglement sur nos mobiles profonds, et par la prétention de dicter notre volonté à Dieu !

 Pierre ainsi nous apparaît comme un homme naturellement impétueux, irréfléchi et spontané, dominé souvent par ses émotions (voir ses propos à la Transfiguration de Jésus et son reniement). Mais transformé par l’Esprit lorsqu’il veut bien l’écouter, en un homme convaincu de l’identité de son Sauveur et ardent à le servir et à le laisser diriger sa vie (voir le lavement des pieds, puis sa transformation après la Pentecôte). En cela il est un exemple précieux de l’action de l’Esprit Saint dans le cœur et la vie du disciple confiant en Jésus-Christ.

Questions pour une application dans la vie chrétienne

  • Qui est Jésus pour moi ? Un homme extraordinaire, plein d’amour, qui est donné en exemple, celui par lequel Dieu a manifesté son amour et sa volonté de me sauver (Jn 3.16), celui qui me juge (Mt 16.27) ? Qu’est-ce que ma vision de Jésus change dans ma vie ?
  • Suis-je lié à Christ et délié de ma culpabilité ? L’Église me permet-elle de le vivre concrètement ?
  • Comment puis-je contribuer à lier à Dieu et délier de leur culpabilité ceux qui m’entourent ?
  • Jésus a mis le doigt sur la « folie » de Pierre entraîné par son amour pour lui à refuser son chemin de renoncement. Sur quelle « folie » personnelle, la Parole de Dieu met-elle le doigt aujourd’hui ? Quelles valeurs humaines comptent plus à mes yeux que la recherche du Royaume (Mt 6.33) ?
  • A qui ou à quoi dois-je renoncer pour accepter Jésus comme mon Seigneur et mon Sauveur ?

08:00 Publié dans Pierre | Lien permanent | Commentaires (0)