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12/07/2024

Étude n°3 Controverses Marc 2.23 à 3.6 ; 3.20-35 (20 07 24)

Étude n°3 Controverses Marc 2.23 à 3.6 ; 3.20-35 (20 07 24)

« Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat.de sorte que le Fils de l’homme est maître même du sabbat. » Marc 2.27-28 

Observons

Première partie I- 2.23-3.6 : A propos du Sabbat                            

Cette partie se subdivise en deux :

A1 : 23-28 : premier conflit à propos du sabbat : les épis arrachés :

23-24 : Les Pharisiens scandalisés

25-26 : Réponse de Jésus : David a enfreint la loi

27-28 : Le Fils de l’homme est maître du sabbat

A2 : 3.1-6 : second conflit à propos du sabbat : la guérison de l’homme à la main sèche

1-2 : malade dans la synagogue, les pharisiens épient Jésus

3-5 : Question de Jésus sur le sabbat et guérison

6 : Alliance contre Jésus

Seconde partie II-  3.20-35 : Oppositions à Jésus

20-21 : les siens le prennent pour un fou

22 : les scribes le prennent pour un démon

23-27 : Réfutation de Jésus par paraboles

28-30 : le péché contre le Saint-Esprit

31-35 : la famille de Jésus : ceux qui font la volonté de Dieu.

Comprenons : I- A propos du Sabbat (2.23-3.6)

a) Les épis arrachés

Les pharisiens sont scandalisés par ce geste, non pas qu’il soit un vol du bien d’autrui (Dt 23.26), mais parce qu’ils l’assimilaient à un travail, une moisson interdite le sabbat par la loi mosaïque (Dt 34.21 ; Ex 16.26-28). Jésus et ses disciples leur semblaient non seulement enfreindre la loi, mais surtout se mettre au-dessus de la loi de Moïse. C’est pourquoi Jésus va se référer à l’exemple de  David, futur roi au moment où il se permit d’utiliser les pains consacrés, destinés aux seuls sacrificateurs, pour satisfaire un besoin vital pour lui et sa troupe. En prenant cet exemple, Jésus ne veut pas en faire un cas de jurisprudence, pour justifier un acte répréhensible selon la loi, mais faire comprendre qu’il est  le Fils de David, donc le "Fils de l’homme" (allusion à Daniel 7.13 : l’homme par lequel se fera le jugement = le Messie) qui a autorité sur les lois que Dieu a établies pour le bien-être de l’homme. Jésus nous place devant le choix entre l’observation d’un rite cérémoniel qui asservit et la préservation  du bien-être vital de l’homme (Mt 12.7 : « Je veux la miséricorde et non le sacrifice ») Jésus interprète la loi selon l’esprit de cette loi, et non la lettre. Le sabbat est fait pour le bien, le repos, le développement intérieur, la guérison de chacun.(Les épis seraient-ils aussi le symbole d’une nourriture spirituelle que les disciples n’ont pas reçue dans l’enseignement et la pratique des pharisiens de la synagogue, et qu’ils trouvent dans l’œuvre du Créateur ?)

 b) La guérison de l’homme à la main sèche

Cet épisode illustre le même principe que celui des épis : le sabbat est un jour de guérison, de libération de ce qui nous dessèche (par manque d’amour ou culpabilisation) et nous empêche d’agir ou simplement de vivre selon le plan de Dieu, libéré de l’emprise du péché. Normalement un malade n’avait pas à pénétrer dans le temple, ou même la synagogue. Celui-ci vient y chercher du réconfort malgré tout, et ne trouve de la part des pharisiens que le rejet et l’indifférence à ses besoins, par désir de coincer Jésus sur son respect ou non de la loi du Sabbat. Jésus en répondant à ses attentes, donne une leçon de miséricorde aux pharisiens endurcis. Cette liberté d’action de Jésus est insupportable aux responsables de tous bords, dérangés dans l’exercice de leur pouvoir religieux et politique sur les autres. 

II- Oppositions à Jésus : 3.20-35

V 20-21: Que les proches par le sang  viennent rechercher Jésus, peut avoir deux raisons : soit ils se soucient humainement de son confort (repos, nourriture), soit ils veulent l’empêcher de continuer à prêcher les foules, parce qu’ils ne comprennent pas sa mission, et sa « folie » les dérange. Les liens du sang peuvent être une cause d’aveuglement et un obstacle à la foi, car ils empêchent de voir, en l’homme Jésus, la divinité de Christ que le Saint-Esprit seul peut révéler (Jean 15.26 ; 1 Co 2.13-14 ; 12.3).

V 22 Les scribes l’accusent  d’agir par le démon: Beelzébul peut signifier « dieu des ordures » ou « maître de la demeure » qu’habitent les démons.

 V 23-27: Parabole de la maison divisée : Jésus reprend ce sens dans ses paraboles de réfutation de l’accusation portée contre lui : le royaume ou la maison divisée : Satan ne peut logiquement pas agir contre lui-même en guérissant ceux qu’il a asservis, ce serait une contradiction funeste à son pouvoir. Dans la 3ème parabole, celle de l’homme fort qu’il faut maîtriser, Jésus compare Satan à cet homme fort qu’il a maîtrisé à la tentation (puis à la croix), et dont il peut détruire le pouvoir en guérissant les malades. La connaissance intellectuelle des scribes ne leur donne pas le discernement de qui est Jésus, parce qu’ils sont aveuglés par leurs passions et leur désir de pouvoir. Le Savoir sans la foi n’est pas une clé d’entrée dans le Royaume. Leur refus de reconnaître l’Esprit Saint qui anime Jésus leur en ferme même la porte et les prive du pardon offert par Dieu. S’endurcir dans ce refus du repentir et de la foi en la personne de Jésus-Christ,  constitue le péché contre l’Esprit qui a des conséquences éternelles pour eux. Plutôt que de reconnaître la puissance de Dieu, ils préfèrent attribuer le miracle à Satan : un des caractères de l’incrédulité, c’est de haïr et de fuir la vérité.

V 28-30: Jésus commence son avertissement (v 28) par une révélation consolante de la miséricorde de Dieu : tout péché et même tout blasphème (parole qui insulte et outrage Dieu car elle manifeste, le plus souvent par ignorance, de la haine contre lui), peuvent être pardonnés ; cela suppose évidemment la foi dans le Sauveur et la repentance du pécheur lorsque sa connaissance de Dieu a augmenté. La différence entre le blasphème contre le Fils de l’homme (Mat 12.32) (= le Messie annoncé par Dn 7.13-14 et incarné en Jésus) et le blasphème contre le Saint-Esprit tient essentiellement au degré de  révélation et de connaissance que l’homme a des choses de Dieu. Ainsi Jésus peut-il pardonner à ceux qui par ignorance le crucifient (Luc 23.34). Il peut encore pardonner aux Pharisiens qui blasphèment contre le Fils de l’homme en prenant parti contre lui, en détournant les foules de le suivre, en cherchant à le faire périr, parce qu’ils s’en prennent à lui personnellement comme homme, et méconnaissent le Fils de Dieu sous sa forme de serviteur. Mais en attribuant à la puissance de Satan les miracles de Jésus, œuvres de l’Esprit de Dieu qui délivre et guérit, ils vont plus loin dans l’endurcissement, ils refusent une manifestation divine plus directe que la simple présence de Jésus, et risquent comme Pharaon devant les plaies d’Égypte d’atteindre le point de non-retour et de se fermer totalement la possibilité du salut. Le pardon est rendu impossible, non par une détermination de la volonté de Dieu, mais par l’endurcissement et la résistance de la volonté de l’homme. De plus le reniement de ce qui leur a été révélé par Dieu les fait participer à l’œuvre meurtrière de rébellion satanique (Heb 6.4-6) : ils portent un contre-témoignage au Sauveur et en éloignent ceux qui le cherchent.

e)   v 31-35 : Qui est de la famille de Jésus ?

-la multitude ? Elle se jette sur lui, au risque de l’étouffer, et de l’empêcher de manger, par désir d’un miracle. A ses yeux, Jésus est un guérisseur dont il faut profiter à tout prix ! On se soucie de son intérêt personnel et pas de celui de l’autre, comme on pourrait l’attendre si on est vraiment de la famille !

-les esprits impurs ? Selon la croyance de l’époque, tout malade inguérissable était considéré comme habité d’un esprit démoniaque. Le fait que ces malades se prosternent devant Jésus en l’appelant « Fils de Dieu » prouvait  aux assistants qu’ils avaient une vision spirituelle au-delà du commun. Jésus entre dans cette façon de voir leur maladie en engageant le dialogue avec les esprits et en leur ordonnant le silence. En effet cette reconnaissance de sa divinité est prématurée, puisqu’il n’a pas encore accompli l’œuvre divine du salut de l’homme. Il ne suffit pas de savoir qui est Jésus, pour être de sa famille ! (voir Jc 2.19 : Si la foi n’a pas les œuvres, elle est morte en elle-même ! …Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien, mais les démons le croient aussi et ils tremblent !).

-les douze appelés par Jésus ? Marc nous donne les objectifs de cet appel : être avec Jésus, aller prêcher, et chasser les démons. Partager la vie de Jésus leur permettra de répandre son enseignement et d’agir avec sa miséricorde et sa puissance. Pourtant malgré cet appel intime (Jésus va donner des surnoms à ceux qui lui sont les plus proches), l’un d’entre eux le trahira, et tous l’abandonneront ! Il ne suffit pas d’être affectivement son ami, pour être de sa famille !

-ses proches par le sang ? Qu’ils viennent rechercher Jésus, peut avoir deux raisons : soit ils se soucient humainement de son confort (repos, nourriture), soit ils veulent l’empêcher de continuer à prêcher les foules, parce qu’ils ne comprennent pas sa mission, et sa « folie » les dérange. Les liens du sang peuvent être une cause d’aveuglement et un obstacle à la foi. On ne peut s’en prévaloir pour se considérer de sa famille, il faut une foi personnelle en la personne et l’œuvre de Jésus.

-Les scribes et les pharisiens qui l’accusent  d’agir par le démon ? La connaissance intellectuelle des scribes et des pharisiens ne leur donne pas le discernement de qui est Jésus, parce qu’ils sont aveuglés par leurs passions et leur désir de pouvoir. Le Savoir sans la foi n’est pas une clé d’entrée dans la famille de Dieu. Leur refus de reconnaître l’Esprit Saint qui anime Jésus leur ferme même la porte du Royaume et les prive du pardon offert par Dieu. S’endurcir dans ce refus du repentir et de la personne de Jésus-Christ,  constitue le péché contre l’Esprit qui a des conséquences éternelles pour eux.

-Ceux qui écoutent la Parole et la mettent en pratique sont la famille de Dieu ! (Mt 7.21-27). C’est exactement ce que veulent être et  vivre les deux départements de l’Ecole du Sabbat et de la Gestion Chrétienne de la Vie !

Questions pour une application dans la vie chrétienne

A propos du sabbat :

-Qu’est-ce qui fait autorité dans ma vie et dans celle de l’Église ? Mes désirs ou mes opinions personnelles, les principes, les règlements, la Parole de miséricorde et de liberté ? Comment cela se traduit-il dans mes relations à l’Église, à la maison, et au-dehors?

-Le sabbat est-il un jour de libération pour moi et pour les autres ? De quoi ai-je besoin d’être libéré ou guéri aujourd’hui ? De quelle libération mon voisin a-t-il besoin de ma part aujourd’hui?

-Dans quelle relation suis-je avec Jésus :  Chercher auprès de lui une guérison forcée, sans tenir compte de ce qu’il veut de moi ? Imposer ma vision des choses, quand je suis dérangé par ce qu’il me demande? Refuser d’accepter ou de croire à son pardon? Écouter, étudier sa Parole sans la mettre en pratique? Écouter et mettre en pratique sa Parole par la miséricorde, et pas seulement par des rites et une obéissance servile à des règlements?

B Oppositions

-Les paroles de Jésus sur le blasphème impardonnable nous autorisent-elles à juger l’autre ? Pourquoi ? (lire 1 Samuel 16.7).

-Sur quoi se fonde ma foi en Jésus : sur mon appartenance à l’Église ? sur les miracles que je peux voir dans ma vie ou celle des autres ? sur ma connaissance encyclopédique de la Bible ? sur la révélation intime de sa personne que le Saint-Esprit me permet de découvrir dans la Parole de Dieu ?

-Où en suis-je dans ma relation avec Jésus ? Est-il pour moi un homme sage et exemplaire dans son amour pour les autres ? Est-il seulement un guérisseur de mes maux physiques, psychiques ou spirituels ? Est-il le Sauveur de ma vie et le guide de mes pensées et de mes actes ? Est-il le Fils de Dieu qui seul me rend visible le Dieu invisible ? Est-il celui qui m’attend en m’offrant toujours son pardon, ou est-il le juge qui me condamne ?

-S’il m’arrive de le renier en parole ou en acte, ou d’être incrédule sur sa puissance d’intervention et de salut, à qui ressemblé-je, à Pierre pleurant sur sa faute et retrouvant le contact avec Christ, ou à Judas refusant de croire au pardon possible et se coupant ainsi définitivement de son Sauveur ?

 

 

 

 

 

05/07/2024

Étude n°2 Un jour du Ministère de Jésus, Marc 1.21-28 (13 07 24)

Étude n°2 Un jour du Ministère de Jésus, Marc 1.21-28 (13 07 24)

« Jésus prêchait la bonne nouvelle de Dieu et disait : Le temps est accompli, le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous et croyez à la bonne nouvelle »Marc 1.14-15

Observons Marc 1.21-28

Le contexte

Marc place après le baptême de Jésus, sa tentation et l’appel de quatre disciples (1.9-20), cette guérison de Capernaüm pour illustrer l’enseignement de Jésus. (Polyptique de Montbéliard, Jésus enseigne et guérit dans la synagogue, 16ès)Jésus enseigne et guérit possédé.jpg 

Le texte

Il se compose de trois parties que l’on peut distinguer par les répétitions:

- il les enseignait avec autorité (v 22), // un nouvel enseignement donné avec autorité (v 27).

-les gens étaient très étonnés (v 22) // les gens furent si étonnés (v 27).

Ces répétitions encadrent la partie centrale de la guérison du démoniaque.

A- 21-22 : L’autorité de Jésus dans son enseignement provoque l’étonnement

B- 23-26 : Jésus est reconnu par le démon et le chasse de l’homme possédé

A’-27-28 : L’autorité de Jésus dans son enseignement et sur le démon, provoque l’étonnement de tous.

On remarque aussi les oppositions

- entre Jésus et les maîtres de la loi à propos de l’autorité,

- entre Jésus le Saint de Dieu et les esprits mauvais ou impurs,

- entre l’homme  et le démon, qui sont différenciés par Jésus.

Comprendre

Jésus est au début de son ministère, il se comporte comme tout Juif pieux et va le Sabbat, à la synagogue, pour  "célébrer le Seigneur, invoquer son nom", ou selon la Bible en Français courant, "dire à tous qui est Dieu" (1 Chroniques 16.8).

Selon la coutume, tout homme qui le voulait pouvait prendre la parole pour lire et commenter une portion des Écritures devant l’assemblée réunie dans la synagogue. Jésus se met donc à enseigner. Le texte ne nous dit pas ce qu’il enseigne. Mais Luc raconte le même épisode immédiatement après celui de Nazareth, où Jésus avait lu Esaïe 61.1-2, en se désignant comme l’Oint de l’Esprit du Seigneur pour apporter la Bonne Nouvelle de l’année de grâce de Dieu.

Son enseignement à Capernaüm doit être très proche, puisque tous sont étonnés de son autorité. Celle-ci diffère de celle des scribes qui avaient l’habitude de faire assaut de commentaires et de savoir, pour mieux briller personnellement.

L’autorité de Jésus vient

- de sa connaissance en profondeur des Écritures,

- de la conscience qu’il a d’être venu les accomplir parfaitement (Matthieu 5.17),

- de sa relation intime avec Dieu le Père qu’il a pour mission de révéler (Jean 14.9),

- de la clarté de ses explications,

- de l’assurance tranquille de ses affirmations (Luc 4.21).

Jésus « disait à tous qui était Dieu » (1 Chroniques 16.8-36) : « un Dieu qui fait des prodiges, qui remplit ses promesses, qui protège, qui sauve, un Dieu Créateur et Roi qui vient rendre la justice sur terre et délivrer son peuple, un Dieu Saint dont l’amour est infini ».   

La joie d’être son fils et de le faire connaître transparaissait dans ses enseignements au point de remplir d’étonnement l’assistance. 

Le miracle de la guérison du démoniaque prend un triple sens dans ce contexte de l’autorité de l’enseignement et du jour du Sabbat (v 21) :

1- il est la démonstration du droit de Jésus d’enseigner avec autorité : les démons lui sont soumis et le reconnaissent comme le Saint de Dieu : celui que Dieu a mis à part pour son service (Jean 10.36) et celui qui a le pouvoir de les détruire (v 24). Jésus dans l’évangile de Marc les fait taire, pour éviter la confusion dans l’esprit des gens : ce ne sont pas les démons qui révèlent Dieu mais Jésus seul !

2- il est l’illustration pratique de son enseignement : Jésus vient délivrer l’homme de l’emprise du mal sur lui. Le démoniaque symbolise l’humanité esclave de Satan, incapable de se libérer elle-même mais que Jésus vient délivrer et rendre à sa dignité.

3- Accomplie le jour du Sabbat, cette guérison donne à ce jour d’adoration du Seigneur une signification particulière : c’est un jour de délivrance, non seulement du travail, mais aussi de la maladie spirituelle de l’être humain qu’est sa séparation d’avec Dieu, maladie qui rend l’homme « insensé » comme le démoniaque, dominé par Satan. Le jour du sabbat, l’homme pécheur peut avoir le cœur en joie pour proclamer par ses chants, ses prières, ses dons, son partage des Écritures et de ses expériences avec Dieu, combien est grande la bonté de celui qui le sauve (1 Chr 16.10, 23), de celui qui est Créateur tout puissant (1 Chr16.26-27), du Saint qui par sa présence même chasse les démons qui l’assaillent. Délivré, le fidèle peut partager avec tous l’espoir et la confiance qu’il place dans l’amour et la venue du Seigneur (1 Chr 16.33-34).

Ainsi, Jésus a-t-il révélé, ce jour de sabbat, qui était Dieu, dans son enseignement et par ses actes.

Questions pour une application dans la vie chrétienne

- Ce texte nous montre comment Jésus honorait Dieu en actes et en paroles dans son entourage.  On peut se demander comment nos cultes en commun, en famille, ou personnels, suivent cet enseignement : Quels aspects de Dieu révèlent-ils ? Par quels moyens ? Que leur manquent-ils pour être fidèles à cet enseignement ?

- Comment chacun peut-il contribuer à donner une image de Dieu plus fidèle, selon l’exemple de Christ, et à offrir une libération spirituelle, affective, morale et physique  à ceux qui l’entourent, comme le montre aussi la suite de notre texte, v 29-35 ?