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18/10/2013

Etude n°4 :Leçons du sanctuaire, Exode 25.8-22 (26 10 13)


 

« Ils me feront un sanctuaire et je demeurerai au milieu d’eux » Ex 25.8

 

Observons Exode 25.8-22Tabernacle du désert300.jpg

Le contexte : L’Éternel a déjà donné à Moïse la Loi (ch 20), et a conclu son alliance avec les 70 anciens d’Israël (ch 24), par un sacrifice et un repas de communion. Il convoque à nouveau Moïse sur le Sinaï, pour lui donner pendant 40 jours, des instructions précises sur la Maison où Il désire habiter parmi eux (24.12)

 

Le texte

V 8-9 : - Quel but a le sanctuaire ? - Qu’est-ce que cela révèle sur la volonté et le caractère de Dieu ?

 

- De qui émane le plan de la demeure ? Quel « modèle » à imiter Dieu propose-t-il à l’homme ? (Héb 12.2 ; 1 Pie 2.21 ; Jean 13.15). Que peut-on en déduire sur ce qu’a vu Moïse et qu’il a traduit et concrétisé dans le Tabernacle ?

 

-  Quelle est la tâche de l’homme dans cette œuvre du Tabernacle ? - Quel état d’esprit cela implique-t-il de sa part ?

 

- Comment résoudre la contradiction avec les paroles de Paul aux Athéniens dans Actes 17.24-25 : Dieu n’habite pas dans une demeure faite par les hommes !

 

- Que veulent démontrer      * la place première donnée à l’arche ?

                                        * sa composition : acacia et or ?

  Chercher le symbolisme de l’arbre : Ps 1.3 ; Jug 9.8

                                    de l’or : 1 Pie 1.7.

-      A quoi devaient servir les barres ? Que voulait dire Dieu par là ?

 

-   Que contenait l’arche ? Pourquoi fallait-il un couvercle d’or pur ? (Le mot hébreu est de la même racine que le verbe Kipper = couvrir, expier, dans les sens de « protéger » et « effacer »). Chercher son utilisation dans Lév 16.13-15.

 

-   Que symbolisent les deux chérubins  du couvercle ? (Voir Ps 97.2 ; 89.15)

 

-   Quel sens spirituel ces détails donnent-ils au lieu au-dessus duquel Dieu veut parler à l’homme ?

 

Comprenons

Alors que seul Moïse avait le privilège de parler face à face avec l’Ange de l’Éternel (Ex 33.11), Dieu manifeste son désir de venir à la rencontre de son peuple et même d’habiter en son sein. Le Très Haut « descend de ses lieux saints, il s’intéresse à l’homme et se met à sa portée pour lui faire comprendre son projet de salut, de libération de la mort spirituelle que la séparation d’avec Lui entraîne pour les hommes. Comme ce projet dépasse infiniment les capacités de compréhension du pécheur, Dieu le traduit dans une image concrète, un « modèle original». On peut dire que ce modèle "Tabernacle" représente  la première incarnation de Dieu, qui sera pleinement accomplie et révélée par Jésus-Christ. Dieu prend soin de préciser tous les détails de construction de ce lieu où dans sa grâce Il décide de rencontrer son peuple (Ex 27.21). Il faut remarquer que dans le passage étudié, cette première révélation concerne essentiellement l’arche avec son couvercle appelé propitiatoire, et ses chérubins, tous objets situés dans le Lieu Très Saint du sanctuaire. Dieu conclut que c’est là « du haut du propitiatoire, entre les deux chérubins placés sur l’arche du Témoignage, qu’il parlera à Moïse et lui donnera ses ordres pour les Israélites » (Ex 25.22). Les objets du Lieu Saint seront décrits ensuite. Il nous faut donc essayer de comprendre les enseignements de ce lieu particulier du sanctuaire.

 

Le coffre était en bois d’acacia recouvert d’or pur. Le bois est dans la Bible d’abord symbole de l’humanité[1] : ainsi le choix proposé à l’homme entre les deux arbres, celui de la vie et celui de la connaissance du bien et du mal, était un choix entre deux modes de vie pour l’humanité : la vie avec Dieu, et la vie indépendante de Dieu, où l’homme décide par lui-même ce qui est bien ou non. Ensuite le bois a servi de « type » prophétique du bois de la croix (voir le bois du sacrifice d’Isaac, ou le bâton de Moïse[2]). Le bois de l’arche, par sa dureté, pourrait être une préfiguration de la croix de Jésus, par laquelle il apportera un salut inaltérable au croyant. L’or qui le recouvre symbolise la foi purifiée par Dieu de toutes les fausses croyances ;  cette foi est nécessaire pour saisir l'offre du salut (1 Pi 1.7). Les barres fixées dans les anneaux d’or devaient servir à porter l’arche sur les épaules des prêtres, car l’arche, trône de Dieu, devait être déplacée avec le peuple des croyants. Dieu le fit comprendre plus tard avec les malheurs qui frappèrent les Philistins qui s’étaient emparés de l’arche et la déplaçaient sur un char tiré par des animaux (1 Sam 6), ou bien avec l’épisode d’Uzza qui voulut prévenir une chute de l’arche transportée aussi sur un char, au lieu des épaules des prêtres (2 Sam 6). Dieu n'est pas une idole matérielle, mais une personne, un Esprit qui inspire et habite le coeur du croyant.

L’arche contenait les tables de la Loi donnée à Moïse (v 16). Ainsi l’arche représentait le trône royal de Dieu, qui gouverne son peuple et le libère des erreurs, en lui révélant sa volonté.

Le propitiatoire était un couvercle d’or pur. Là, il n’y a rien d’humain, il n’y a pas de bois !  Il est d’une seule pièce avec les chérubins qui font corps avec lui, et rejoignent leurs ailes au-dessus de leurs têtes. Les chérubins sont des êtres symboliques, ce ne sont pas des créatures, ni animales, ni angéliques, ni humaines. Mais ils représentent des qualités divines, que Dieu manifeste dans son œuvre de jugement des hommes : ils contemplent la Loi, et accompagnent Celui qui est assis sur le trône dans tous ses déplacements. Dans la vision d’Ezéchiel ils portent son trône (Ez 1.26). Dans celle de Jean, ils sont assis au milieu et tout autour du trône, s’identifiant par là au Seigneur Dieu (Ap 4.6). Dans les Psaumes ils sont définis comme bases du trône : justice et droit, bienveillance et vérité (89.15 ; 97.2) qui permettent d’apporter le salut, la délivrance (Ps 80.2-4). Les quatre faces de ces chérubins ont été comprises par Esaïe  comme les symboles de l’Éternel, juge, Législateur, Roi et Sauveur (Es 33.22)***.

Le nom donné au couvercle, de la racine hébraïque « Kipper » que l’on retrouve dans le Jour des Kippourim, des Expiations (Lév 16), indique sa fonction : il protège et il élimine le mal, « expie ». Il est donc directement le « type » de Jésus qui, homme entièrement pur, protège le pécheur des effets destructeurs de la proximité de la sainteté de Dieu, mais aussi de la condamnation de la Loi qu’il a enfreinte. En même temps, Jésus au jugement annoncé par le Jour des Expiations, délivrera définitivement le pêcheur, le considèrera comme juste, parce qu’il s’est placé au bénéfice de son sacrifice (= son sang répandu devant le propitiatoire ce jour- là (Lév 16.14).

On peut comprendre alors pourquoi Dieu déclare « rencontrer » l’homme au-dessus de cette arche, du propitiatoire et des chérubins. C’est là que se manifeste sa volonté, mais aussi son amour pour sauver, et se révéler, imparfaitement, il est vrai, jusqu’à l’incarnation de Jésus !

 

Questions pour une application dans la vie quotidienne

 

-          Comment mon église peut-elle être une demeure où Dieu habite, enseigne ses lois et annonce son pardon, selon le « modèle » montré à Moïse pour le Tabernacle ?

 

-          Par quoi ma vie peut-elle révéler que Christ habite dans mon cœur, et pardonne mes manquements ?

 

-          Seigneur, je veux serrer ta parole dans mon cœur, pour ne pas pécher contre toi (Ps 119.11). Vis en moi et que ton pardon me permette cette semaine de pardonner à celui qui m’a offensé !



[1] Voir le livre de E. Zuber  « L’arbre de Vie » col. Plaisir de vivre, Ed Vie et Santé.

[2] Idem

*** voir le livre d'E.Zuber : "J'habiterai au milieu de vous" Ed BoD (www.bod.fr)

08:00 Publié dans Sanctuaire | Lien permanent | Commentaires (0)

11/10/2013

Étude n°3, Le sacrifice : Genèse 22.1-19 (19 10 13)


« Je vous exhorte donc frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » Rom 12.1

Œuvre de He Qi 20ès : sacrifice d’Abrahamsacrifice_of_abraham.jpg

Observons Gen 22.1-19

A- v 1-2 Les ordres de l’Éternel : Qui prend l’initiative de cette épreuve ? Qu’ont d’extraordinaire les trois ordres donnés à Abraham ? En quoi sont-ils épreuve de foi pour Abraham ?

 

B- v 3-8 : La montée vers Morija : Qui est l’acteur principal ? Comment ses gestes et ses paroles montrent-ils sa foi envers Dieu et son amour pour son fils ? Quelle expression répétée deux fois exprime l’harmonie qui règne entre le père et le fils ?

 

C- v 9-14 : le sacrifice d’Abraham : Que révèlent les préparatifs du sacrifice sur l’attitude et les sentiments d’Abraham ? Pourquoi l’Éternel attend-il la dernière minute pour intervenir ? Pourquoi Abraham n’avait-il pas vu le bélier auparavant ? Quelle différence de sens y a-t-il entre le sacrifice du bélier et celui qui lui était ordonné par Dieu ?

 

D- v 15-19 : les promesses de Dieu à Abraham. : Comment le serment de l’ange révèle-t-il son identité divine ? Que garantit ce serment unique dans l’AT, auquel se réfèreront continuellement les Israélites au cours des siècles ? Quelles sont les quatre promesses ? Quel lien ont-elles avec le sacrifice d’Isaac ?

 

Comprenons

Le chapitre 22 marque le point culminant de l’expérience de vie d’Abraham avec son Dieu. Après cette épreuve, l’histoire d’Abraham se poursuit dans le silence jusqu’à la mort  de Sara (ch 23) et sa propre mort (ch 25)

La réaction d’Abraham force l’admiration : il ne parle pas, il agit. Il se révèle comme dans d’autres circonstances, l’homme qui met sa confiance en Dieu (foi) et qui le manifeste par l’obéissance. Ce n’est pas pour rien qu’il est appelé le père de la foi.

Pourquoi Dieu donne-t-il cet ordre incompréhensible de sacrifier Isaac, l’enfant héritier de la bénédiction qui doit s’étendre à toutes les nations ?

 

Les différents sens du sacrifice d’Isaac

1-     Pour Abraham, l’homme de l’Ancien Testament : À son époque et dans sa culture, les sacrifices humains d’enfants ou d’adultes, étaient courants en Canaan et aux alentours.  Sur un « haut-lieu », au sommet d’une colline, on offrait à la divinité ce à quoi on tenait le plus, en général le premier-né de ses enfants ou de son troupeau, pour obtenir en retour la faveur du dieu. L’Ancien Testament mentionne de tels sacrifices (2 Rois 16.3 ; 21.6 ; 23.10), tout en les rejetant énergiquement (Exode 13.13 ; 34.20; Michée 6.7-8).

Il faut savoir aussi que le verbe hébreu utilisé pour cet ordre divin signifie au sens propre « Faire monter ». Parce que la coutume était de sacrifier sur un haut lieu, Abraham a compris que faire monter son fils, c’était le sacrifier à son Dieu. A partir de ce récit, le verbe gardera le sens « d’offrir en holocauste » ce qu’on a de plus cher, soit pour s’attirer la faveur de Dieu (sacrifice païen de Caïn), soit pour lui exprimer sa reconnaissance et sa consécration (sacrifice d’Abel). 

En lui demandant un tel sacrifice, puis en l’interrompant à la dernière minute, Dieu veut apprendre à Abraham :

- qu’Il ne veut pas de sacrifice humain, qu’il doit rompre avec les coutumes courantes et les influences de la société où il vit.

- que cette épreuve permettait à Abraham de mieux se connaître, de savoir jusqu’où il était prêt à aller pour Dieu. Dieu n’avait pas besoin de preuves de la foi d’Abraham, il la connaissait parfaitement. C’est Abraham qui avait besoin de connaître ses limites, et de comprendre que l’amour de son fils ne devait pas supplanter dans son cœur, l’amour pour son Dieu.

- qu’Il ne veut pas la mort, mais la vie de ses enfants, et qu’Il y pourvoit.

 

2- Pour Abraham, l’homme de foi de tous les temps :

- Dieu apprend au croyant que le sacrifice qu’il offre ne sert pas à amadouer Dieu et à acheter sa faveur : celle-ci lui est acquise avant même le sacrifice, le bélier était déjà là avant l’arrivée d’Abraham ! Dieu est un Dieu bon, qui veut bénir et sauver. Le sacrifice du croyant est un geste de foi et de reconnaissance pour sa bonté !

- En lui demandant de sacrifier ce qui faisait toute son espérance et son avenir, Dieu veut aussi enseigner le croyant sur les fondements de sa foi : En qui met-il sa confiance pour sa vie et son avenir ? En ses biens, ses affections, sa progéniture, ou en Dieu seul ?

On peut faire le parallèle avec la rencontre de Jésus et du jeune homme riche (Mat 19.21-22) : l’épreuve est semblable, mais le résultat est opposé.

Sommes-nous prêts à ne compter que sur l’amour de Dieu «  qui fait tout concourir au bien de ceux qui l’aiment » Romains 8.28 ?

- En pourvoyant au sacrifice, Dieu montre qu’il ne répond pas au sacrifice que l’homme peut lui faire, mais à sa foi, à la confiance qu’il met en Lui.

 

3- Pour Abraham, le prophète : le texte de Hébreux 11.19 nous permet de comprendre que Dieu voulait révéler à Abraham le plan du salut pour l’homme. Abraham a vécu ce que Dieu lui même accomplirait plus tard en Jésus-Christ qui descendrait de lui. Comme Abraham a « marché ensemble » avec Isaac (v 6, 8,19), Dieu accompagnera Jésus dans sa marche vers le lieu du sacrifice de Golgotha. C’est sur le Mont Morija (= « apparition de l’Éternel »), à Jérusalem, sur le champ d’Ornan (ou Aravna) que Dieu arrêta le fléau de la peste provoqué par le recensement de David (2S 24.25 ; 2 Chr 3.3). C’est là que le temple de Salomon fut construit. C’est là que furent célébrés tous les sacrifices qui annonçaient la mort de Christ. Par extension, on dit que la montée de Jésus à Jérusalem fut sa montée à la mort, ...et à la résurrection.

Isaac a porté le bois comme Jésus  portera la croix. Isaac s’est laissé lier sur l’autel, comme Jésus se laissera clouer sur la croix. Isaac a retrouvé la vie, comme Jésus ressuscitera. La seule différence est dans la mort réelle et volontaire que Jésus a assumée.

La substitution du bélier à Isaac enseignait à Abraham que Dieu pourvoit en Jésus à la vie de l’homme. Isaac à ce niveau ne représente plus seulement le Christ, il nous représente chacun individuellement. Nous sommes pécheurs, séparés de Dieu, et nous allons à la mort éternelle. Mais Dieu intervient et s’offre en son fils, pour que nous ne soyons pas anéantis. A nous de le croire, comme Abraham l’a cru et a sacrifié le bélier à la place de son fils, mais cette fois-ci dans un sacrifice d’actions de grâces pour cette « sorte de résurrection », et non par mortification et obéissance pour plaire à Dieu !

Ce plan du salut, absolument impossible à saisir par nos esprits humains naturels (1 Co 2.14,) Dieu le met à notre portée par son Esprit (1 Co 2.12), grâce à cet épisode de la vie d’Abraham. Nous avons l’avantage sur Abraham, de vivre après la réalisation de cette prophétie en Jésus. Abraham ne put que pressentir ce jour et le saluer de loin (Hébreux 11.13). Et il s’en est réjoui à l’avance (Jean 8.56).

Pour témoigner, il est nécessaire d’aborder ces trois significations du sacrifice d’Isaac, pour affermir la confiance en Dieu et éclairer le mode de relation avec Lui. Il est essentiel de présenter Dieu comme un Dieu d’amour et de salut, qui veut la vie et non la mort, et qui va jusqu’à se donner lui-même en son fils, pour que chacun puisse vivre. Toute la Bonne Nouvelle est là !

 

On peut illustrer concrètement cet enseignement sur le sacrifice ainsi :

Apporter des grains de riz ou de blé, et si possible des épis. Donner à chacun un grain. Il représente le don de la bénédiction de Dieu pour une personne. Pour que ce grain serve à toute une famille, que faut-il faire ?

Il est nécessaire que celui qui l’a reçu, s’en sépare au lieu de le manger, il lui faut le semer, et attendre que la plante pousse et donne un épi, qui sera transformé en farine et en pain. De même Dieu a accepté de donner son fils Jésus, (= semailles et mort du grain) pour que par sa résurrection (= pousse de la plante) il puisse donner la vie à tous ceux qui l’accepteraient.

 

Ainsi Abraham dut sacrifier ce qui lui était le plus cher, son fils, qui représentait son avenir immédiat. Il  l’a personnellement retrouvé, après la sorte de mort du sacrifice, l’a vu grandir, se marier, avoir des enfants. Il a ainsi vu se multiplier et s’étendre à plusieurs la bénédiction qu’il avait reçue. La seconde promesse concernait la multiplication innombrable de ses descendants : non seulement le peuple d’Israël s’est développé au-delà de ses espérances, mais spirituellement s’y joignent tous ceux qui acceptent de mettre leur confiance et d’obéir au Seigneur Jésus. La troisième promesse de « posséder les portes de ses ennemis », s’est réalisée historiquement dans la conquête de Canaan, mais spirituellement dans la victoire de la foi sur les attaques de l’Ennemi ( Luc 10.19 ; Jn 16.33 ; Rom 8.37 ;1 Jn 4.4 ; Ap 12.11). La quatrième promesse prophétisait la bénédiction offerte à l’humanité par l’incarnation de Jésus, mort et ressuscité pour qu’elle retrouve la relation avec son Créateur.

 

Questions pour une application dans la vie quotidienne

 

-          En quoi mettons-nous notre confiance pour l’avenir, au niveau personnel comme au niveau de l’Eglise ?

 

-          Jusqu’où suis-je prêt à marcher ensemble avec Dieu ?

 

-          Comment est-ce que je réagis à la perspective de « sacrifice » à faire comme devoir changer de maison, laisser partir mes enfants devenus adultes, renoncer à une occupation gratifiante, à un voyage projeté depuis longtemps, etc ? Et si Dieu me demandait ces renoncements pour que je grandisse dans la foi et l’amour ?

 

08:00 Publié dans Sanctuaire | Lien permanent | Commentaires (0)