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14/06/2013

Etude n°12 : Les meilleurs dons du ciel, Zacharie 9 (22 06 13)


« L’Eternel leur Dieu les sauvera en ce jour-là, comme le troupeau de son peuple ; car ils sont les pierres d’un diadème, scintillantes sur son sol ».Zac 9.16

 

ObservonsZacharie2.jpg

Le contexte : Le chapitre 9 fait partie des deux morceaux non datés (9 – 11 ; 12-14) qui terminent le livre de Zacharie. Le prophète y annonce l’avenir d’Israël jusqu’aux temps du Messie, après avoir promis au peuple (ch 8) le rétablissement de Jérusalem « ville de vérité », « montagne de la sainteté » et lieu de rassemblement de tous les assoiffés de l’Eternel (8.3,21-23).

 

Le texte

Construction en chiasme (parallèles concentriques) :

a)     1-7 : Menaces sur les voisins d’Israël

b)     8 : Protection de l’Eternel sur Jérusalem restaurée

c)      9-10 : appel à se réjouir de la venue du Roi, messager de paix

b’) 11-12 : appel aux captifs d’Israël à retourner à Jérusalem

a’) 13-17 : promesses de victoire et de salut pour Israël.

 

La construction met en valeur la venue du Messie, encadrée par les actions de protection et de délivrance de l’Eternel en faveur de son peuple à Jérusalem ou encore en captivité. Aux menaces contre les voisins, s’opposent les promesses pour le peuple de Dieu.

 

Comprenons

Rendre justice à Israël, c’est éliminer ses ennemis et rétablir la paix, la liberté et la prospérité du peuple élu. Ce sont les deux faces de ce qu’on appelle le « jugement » dans la Bible. C’est ce que promet Zacharie dans ce chapitre destiné à redonner espoir et encouragement aux exilés revenus à Jérusalem et confrontés aux difficultés de la reconstruction du temple et de Jérusalem.

V 1-7 : La prophétie de la destruction de Tyr et de la Syrie, ainsi que  de l’annexion des Philistins au district de Juda soumis à la Perse, fut accomplie au 4ème siècle av JC sous le conquérant grec Alexandre le Grand. Les Philistins disparurent comme autrefois les Jabuséens s’étaient fondus dans le peuple hébreu occupant Jérusalem.

V 8 : La promesse de protection divine ne s’adresse qu’au « reste » de Juda et des Philistins, purifiés de leur orgueil et de leurs transgressions aux lois alimentaires (v 6-7). Ce reste constituera la « maison de l’Eternel » (v 8). Si Dieu semblait avoir « fermé les yeux » sur les malheurs de son peuple, maintenant il promet de les garder « ouverts, fixés » sur lui pour le protéger de la destruction, car c’est de ce peuple que doit sortir le Messie. Dieu prépare ainsi le chemin de sa venue (Es 40.1-3).

v 9 : La joie du peuple sera d’autant plus grande, qu’à l’époque du Messie il y aura longtemps qu’il n’aura pas eu de roi, et qu’il sera soumis aux Romains. Cette prophétie de la venue de son roi a enflammé les cœurs d’Israël de l’illusion de retrouver sa souveraineté politique et nationale. En effet le Messie y est présenté comme victorieux et glorieux, répondant aux désirs des Juifs nostalgiques de leur nation puissante sous David et Salomon. Cette compréhension littérale de la prophétie causa la perte de bien des Juifs qui refusèrent de considérer sa réalisation spirituelle en Jésus. Il est bien Roi sur les cœurs et dans la vie de ceux qui le reconnaissent comme le Fils de Dieu Sauveur. Roi « juste », par nature et en action, il fera régner la justice. Son humilité contraste avec l’orgueil des autres rois humains, comme le suggère sa monture, symbole d’un caractère pacifique : l’âne en Orient n’est pas méprisé comme en Occident, c’est un animal endurant au travail au service des hommes, et il servait autrefois de monture aux princes d’Israël (Juges 5.10 ; 10.4), en opposition au cheval, animal de guerre fougueux, que montaient les rois environnants (v10). La prophétie annonce que le Messie apportera la paix et dominera sur toute la terre. Cela se réalisera spirituellement par la vie humble et le message d’amour et de réconciliation de Jésus, mais s’accomplira parfaitement dans l’Histoire, à son retour glorieux où les nations lui seront soumises (v10).

Au v 11, le prophète Zacharie, après une vision large et étendue au monde entier, revient plus près, au peuple d’Israël qui avait scellé une alliance avec Dieu par un sacrifice de communion, symbole du don mutuel de soi, Dieu au peuple, et le peuple à Dieu (Ex 24.8). Dieu reste fidèle à cette alliance et libère les prisonniers : comme il a libéré Joseph de la citerne vide où l’avaient jeté ses frères (Gen 37.24), Dieu libère les captifs restés encore à Babylone. Cette délivrance historique préfigure la libération du péché et de la mort que le Messie accomplira par son sacrifice sur la croix. (Rom 8.1-3). Remplis de l’espérance de leur libération, tous les prisonniers de Babylone sont invités à retourner à Jérusalem, la ville où Dieu a établi sa demeure. Pour les Juifs de l’époque de Zacharie, c’était un appel vigoureux à rentrer au pays où il leur était promis de trouver des bénédictions divines doublées par rapport à la situation humble et difficile qu’ils connaissaient. Pour les chrétiens des derniers temps avant la seconde venue de Christ, c’est un appel à placer toute leur confiance en la protection de leur Sauveur, à se rassembler autour de Lui comme le troupeau autour de son berger (9.16 ; 10.3 ; 11.7). Cette promesse de protection et de salut peut les remplir d’une espérance joyeuse qui leur permet de surmonter les crises et bouleversements historiques ou spirituels de leur époque.

            La fin du chapitre (v 113-17) montre l’action de l’Eternel pour juger les nations vaincues par un Israël triomphant et semblable aux pierres précieuses du diadème royal. Protégé et sauvé par son Dieu, Israël pourra prospérer dans son pays (v 17).

Cette victoire est exprimée dans des termes violents qui font penser à la fête de Pourim qui célèbre la victoire des Juifs à la fin du livre d’Esther. Avec le Christ, il nous est impossible d’entrer dans de tels propos ; Il nous faut lire ce texte symboliquement comme à la fin de l’Apocalypse, avec la victoire de Dieu sur ses ennemis qui avaient attaqué une dernière fois la Nouvelle Jérusalem (Ap 20.9).

            La mention de Javan au v 13, qui représente la Grèce, fait suite à la vision des quatre chars au ch 6. Les chevaux noirs suivis de près par les blancs annonçaient le jugement divin sur la Babylone chaldéenne puis perse, appelée « pays du nord » parce que c’est par le nord qu’elle envahissait le pays d’Israël. Les chevaux roux parcourant ensuite le reste de la terre pourraient désigner le jugement qui atteindra l’Occident et les Grecs en particulier, en accord avec la vision des quatre animaux de Daniel 7.6. Deux siècles plus tard, les Macchabées luttèrent en Israël contre les Grecs pour retrouver une indépendance politique et religieuse qui permit au monothéisme de subsister face au paganisme ambiant, jusqu’à la venue du Messie. Cette réalisation historique de la prophétie de Zacharie ne doit pas nous faire oublier qu’elle a une portée beaucoup plus lointaine et spirituelle. Son accomplissement réel se fera lorsque le retour du Christ (appelé «  ce jour-là » v 16), établira son règne sur la terre et permettra à son peuple purifié et glorifié de vivre dans la paix et le bonheur de la communion avec son Sauveur.

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne

 

-          Comment faire nôtres les bénédictions promises dans cette prophétie : délivrance, victoire, paix, joie et espérance ?

 

-          Faut-il attendre le retour de Christ pour jouir de ces bénédictions ?

 

-          Comment et dans quelle mesure la venue de Christ dans mon cœur a-t-elle  réalisé ces promesses, et m’a-t-elle « libéré(e) de la fosse » ?

 

-          A quoi les autres peuvent-ils discerner que nous sommes les pierres précieuses scintillantes du diadème de Dieu ? Quelle est la nature de notre éclat ?

 

-          Dans quel état d’esprit attendons-nous la réalisation des prophéties du retour de Jésus ?

07/06/2013

Etude n°11 : Visions d’espérance, Zac 2 (15 O6 13)


« Beaucoup de nations s’attacheront à l’Éternel en ce jour là, et deviendront mon peuple ; Je demeurerai au milieu de toi, et tu reconnaîtras que l’Éternel des armées m’a envoyé vers toi. » Zac 2.15Zacharie1.jpg

 

Introduction : Zacharie, dont le nom signifie « l’Éternel se souvient » est cité par Esdras (5.1 et 6.14) aux côtés d’Aggée, comme ayant suscité la reconstruction du temple au retour de l’exil à Babylone. Son père ou grand-père Iddo (Néh 12.14) était chef d’une des familles de prêtres revenus à Jérusalem et exerçait son ministère avec le grand souverain sacrificateur Josué. Né en exil, dix ou vingt ans avant l’édit de Cyrus qui autorisait le retour en Israël, Zacharie commença son ministère prophétique en jeune adulte, de 520 à 516 av JC. Plus tard il assuma la charge sacerdotale transmise par son grand-père (Néh 12.16). On ne sait rien de plus sur lui dans la Bible. Il ne faut pas le confondre avec les autres porteurs du nom ni avec celui qui fut assassiné sur le parvis du temple, qui était fils de Jehojada et non de Barachie, fils d’Iddo (Mat 23.34-35 ; 2 Chr 2.21 et suivants).

Le prophète Zacharie prononça sa première prophétie quelques semaines après le début de la reconstruction du temple, deux mois après la première prophétie d’Aggée et un mois avant les dernières prédictions de ce dernier. Zacharie prononça sa deuxième prophétie (1.7) deux mois après les derniers discours d’Aggée, et sa troisième prophétie (7.1) fut donnée deux ans après Aggée.

Dans son livre il encourage, console, exhorte, en montrant l’avenir brillant d’Israël à la suite de la reconstruction  du temple. Du ch 9 au ch 14, deux prophéties sont rapportées sans date. Leur attribution à Zacharie a été contestée par certains Juifs et chrétiens, mais sans arguments probants.

Zacharie est considéré comme l’Esaïe du peuple revenu d’exil. Il présente sa destinée jusqu’à et au-delà de la venue du Messie.

 

Le chapitre 2 dans le texte hébreu commence avec la vision des quatre cornes (1.18-21). C’est ce chapitre que nous étudierons.

 

Observons

Le contexte

Après un appel à revenir à l’Eternel (1.3-6), Zacharie transmet sa première vision des chevaux et du cavalier parmi les myrtes (1.7-17), qui promet la compassion de l’Éternel pour Jérusalem. Les visions du chapitre 2 lui sont intimement liées, et présentent le tableau de la renaissance d’Israël. Elles sont suivies de six visions (ch 3-6) qui décrivent de façon symbolique comment Dieu va préparer dans le peuple l’avenir brillant promis.

Le texte

2.1-4 : les quatre cornes et les quatre forgerons, en réponse au v 15 du ch 1

2.5-9 : l’homme au cordeau

2.10-17 : Oracles de l’Éternel :

a) 10-11 : appel à sortir de Babylone

b) 12-13 : jugement des nations impies

c) 14 : présence de Dieu au milieu de son peuple

b’) 15 : conversion à l’Eternel de certaines nations 

a’) 16-17 : Jérusalem choisie à nouveau par l’Éternel

 

Relever dans le chiasme des versets 10 à 17, les oppositions en parallèles (Babylone-Jérusalem ; nations jugées – nations converties ; dispersion – rassemblement du peuple ; abattement dans l’exil – allégresse dans Sion) et au centre le point le plus important, la présence de Dieu parmi son peuple.

 

Comprenons

Quoi de plus encourageant et de plus stimulant pour les bâtisseurs du temple que d’entendre les prophéties de Zacharie annonçant la restauration d’Israël ! Pour nous chrétiens qui construisons à travers les siècles le sanctuaire spirituel de Dieu, nous pouvons lire ces prophéties dans la perspective de la Jérusalem éternelle qu’instaurera Christ à son retour.

La seconde vision du livre, celle des quatre cornes et des quatre forgerons annonce la ruine des puissances (= cornes) qui ont dispersé ou tenté de détruire le peuple de Dieu, (Israël au nord, Juda au sud avec sa capitale Jérusalem). Comme elles ont mis le comble à leur péché en plongeant le peuple de Dieu dans le malheur (1.15), Dieu a décidé de les arrêter en utilisant « quatre forgerons » qui les abattront. Le chiffre 4  reste symbolique de l’ensemble de la terre ; on ne peut chercher à préciser l’identité de ces puissances que recouvrent les mots « cornes » et « forgerons ». Si les cornes ont eu le pouvoir de détruire Israël, les forgerons, anges de Dieu ou autres puissances terrestres (?), ont à leur tour le pouvoir de détruire les cornes pour libérer Israël.  En entendant ces paroles, le peuple comprend que Dieu ne l’abandonne pas et travaille à sa restauration et à l’élimination de « ceux qui ont aidé au mal »(1.15). L’image du forgeron suggère la fermeté, la force des moyens utilisés par Dieu pour rendre justice à son peuple dispersé.

Cette prophétie a vu des réalisations partielles dans l’histoire, avec la chute de Babylone avant la première venue du Messie, la seconde dispersion des Juifs dans le monde entier après la chute de Jérusalem en 70 ap JC, le retour en Palestine et la constitution d’un nouvel état d’Israël après la Shoah. Ces réalisations historiques ne sont que les prémices de l’accomplissement parfait de la prophétie, lors du jugement des nations par le Christ glorieux et de la libération définitive du mal pour la terre entière et le peuple des croyants (Ap 17 à 22).

La troisième vision de « l’homme au cordeau » complète la précédente et prévoit son accomplissement final.

Pour les contemporains de Zacharie cette vision est une illustration des paroles adressées à Zorobabel au ch 4.6 : « Ce n’est ni par la puissance, ni par la force, (que le temple sera reconstruit), mais par mon Esprit ». L’homme au cordeau pour mesurer les murailles à rebâtir représenterait le projet humain de reconstruction qui réclame « force et puissance ». Cet homme qui s’apprête à prendre les mesures, est qualifié de « jeune » pour mettre en évidence la précipitation un peu irréfléchie du personnage et, sous cette image, du peuple. L’ange interprète de Zacharie ne pouvant s’éloigner du prophète, confie à un autre ange la mission d’arrêter l’homme au cordeau. Jérusalem ne sera pas une forteresse fermée dans ses murailles, mais  une ville ouverte que protègera la puissance du feu de la présence de Dieu, de l’ardeur de son amour. Ainsi Jérusalem accueillera « hommes et bêtes », symboles des Juifs et des non juifs, qui constitueront alors le peuple de Dieu. Dieu a un projet plus grandiose que celui que mit en œuvre concrètement Néhémie (Néh 3). La ville spirituelle commencera à être édifiée par l’Esprit, avec la venue du Messie, Emmanuel « Dieu avec nous » ; elle attirera et accueillera tous les peuples qui voudront reconnaître l’Envoyé de Dieu (Zac 2.15), et sera la gloire du Seigneur (v 9 ; Ap 21.23-26).

Si on rapproche cette vision de Zacharie  « l’homme au cordeau » des visions d’Ezéchiel (40.3,5), ou de l’Apocalypse (11.1-2a) où apparaît aussi un homme au roseau, à la baguette, ou à la canne pour mesurer Jérusalem et son temple, une idée de jugement serait suggérée : l’Éternel empêcherait son peuple d’exercer un jugement sur les autres nations et sur lui-même. Sa tentation à s’enfermer dans les murailles protectrices de ses croyances, à se croire le seul peuple élu, comme les Juifs l’ont cru, serait brisée par l’Esprit qui étend son action de salut à tous les peuples, comme les temps messianiques l’ont prouvé. Jésus mettra aussi en garde ses disciples contre tout tri prématuré et aveugle parmi les hommes dont Dieu seul connaît le cœur (Mat 13.28-29), contre toute appropriation de la vérité au détriment des autres hommes (Mat 23.13), contre toute glorification de soi qui exclut les autres du salut. Les apôtres et l’Eglise apostolique auront du mal à accepter le ministère de Paul parmi les païens, il faudra que l’Esprit intervienne en force  avec visions et prophéties pour leur faire comprendre que « Dieu ne veut pas qu’aucun périsse mais que tous parviennent à la repentance » (2 Pi 3.9).

 Après la vision de l’homme au cordeau, Zacharie rapporte les paroles de l’Éternel, soit à la première personne (v 10, 14) soit à la troisième personne dans la bouche de son « envoyé » (v 12-13 ; 15-17), qu’on appelle dans l’AT l’Ange de l’Éternel, préfiguration de Christ.

L’Éternel s’adresse à ceux qui sont  encore restés à Babylone, qui ont hésité entre le confort relatif de la captivité et l’aventure de la liberté que représentait le retour à Jérusalem. Ils sont invités à sortir de Babylone (v 10-11 ; Ap 18.4) pour ne pas souffrir de sa destruction, prévue comme la conséquence de ses persécutions du peuple que Dieu aime comme « la prunelle de ses yeux »(v 12). Au-delà d’une réalisation très partielle de cette prophétie au temps de Darius, on aperçoit toute la dimension eschatologique de cet appel. Le peuple des croyants de la fin des temps est invité à se démarquer de la confusion spirituelle qui domine le monde, à rejoindre la protection de l’amour de Dieu et de ses lois de vie, à reconnaître que c’est l’Éternel qui a envoyé Jésus-Christ pour le salut du monde, et à se joindre à tous ceux qui le reconnaissent comme tel ; ils  pourront alors accueillir avec joie et respect l’Éternel qui « s’est éveillé et sort de sa sainte demeure, pour habiter parmi eux » (v 15-17). Cette promesse  placée au centre des oracles divins, reprise par le Ressuscité à son ascension (Mat 28.28) soutient l’espérance du peuple qui attend « en silence », c’est-à-dire avec patience et assurance, l’avènement de son Sauveur qui lui fera justice (Ap 6.9-11 ; 8.1 ; 10.5-7 ; 15.2-4 ; 19.7-8 ; 21 .3 ; 22.20).

 

Questions pour une application dans la vie chrétienne  

 

-          Comment ne pas ressembler à ce « jeune homme au cordeau » dans l’élaboration de nos projets d’ Eglise ou de famille ?

 

-          En qui ou en quoi mettons-nous notre confiance pour la sécurité spirituelle de nos communautés ?

 

-          L’Eglise est-elle pour nous une forteresse solide et sécurisante ou une ville ouverte à tous ceux qui désirent s’attacher à l’Éternel ?

 

-          Comment se manifeste concrètement la présence de Dieu dans nos communautés ?

 

-          Par quoi pouvons-nous faire reconnaître que Jésus est l’Envoyé de Dieu pour le salut du monde ?

 

-          De quelle confusion spirituelle (= Babylone) ai-je encore à sortir pour accueillir avec joie la venue de mon Sauveur ?

 

-          Comment être une « terre sainte » choisie comme demeure par Dieu ?