05/09/2015
Étude n°11 : Paul, origine et appel, Actes 9.1-19 (12 09 15)
Nous prions nos fidèles lecteurs d'excuser l'erreur de programmation qui nous a fait publier hier soir vendredi 04 Septembre, une étude sur le sabbat, à la place de l'étude prévue pour cette semaine ! Voici la bonne étude ci-après !
Étude n°11 : Paul, origine et appel, Actes 9.1-19 (12 09 15)
« Le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est pour moi un instrument de choix, afin de porter mon nom devant les nations et les rois, et devant les fils d’Israël. Et je lui montrerai combien il faudra qu’il souffre pour mon nom ». Actes 9.15-16
Observons
A-v 1-9 : le chemin de Damas :
- Comment est présenté Saul de Tarse ? Qu’est-ce que cela révèle sur l’état de son cœur ? (1-2) Comment Saul désigne-t-il les disciples de Jésus, avant l’apparition du nom de chrétiens ?
- Qu’est-ce qui l’arrête en chemin ? Que provoquent en lui les paroles de Jésus ?
Qu’ont-elles d’étonnant pour lui ? Quel ordre reçoit-il ? Pourquoi Jésus lui répond-il sans explication ? (3-6)
- Quelles sont les réactions des compagnons de Paul, et les effets de la vision sur Paul ?(Gustave Doré, vision de Paul)
B- v 10-18: intervention d’Ananias
- Qui est Ananias ? De quel état d’esprit fait-il preuve ? (v10)
- Quel est l’ordre de Jésus ? Qu’a-t-il de surprenant ? (11-12) Comment présente-t-il Saul de Tarse ?
- Comment réagit Ananias ? Qu’est-ce que cela révèle sur la relation d’Ananias avec Dieu ?
- Quel mot est répété trois fois dans les versets14-16 ? Que signifie-t-il ?
- Comment Jésus considère-t-il Saul ? Quel appel reçoit Saul à travers l’explication qu’il donne à Ananias ?
- Pourquoi Jésus prophétise-t-il les souffrances de Saul ? A quelles autres souffrances s’opposent-elles ? (v 1-2) En sont-elles la punition ? Que vont-elles réclamer de Saul ?(v 16)
- Comment Ananias se présente-t-il à Saul dans son épreuve ? De quels sentiments fait-il preuve ? (v 17)
- Quel sens spirituel et moral a la chute des écailles des yeux de Saul ? (v 17) De quoi est-elle suivie ? En signe de quoi ? (v 18)
C- v 19-22 : Réponse de Saul à l’appel de Dieu
- Quelle est la prédication de Saul aux Juifs ? (v 20, 22). Comment réagissent ces derniers ? (v 21)
- Qu’est-ce que sa prédication apporte à Saul lui-même ? (v 22) Comment est-ce possible ?
Comprenons
A- le chemin de Damas
L’Esprit avait accordé aux croyants divers dons qui leur permirent d’évangéliser Juifs et non-juifs. Mais il travaillait aussi le cœur des Juifs désireux de plaire à Dieu, pour les amener à voir clairement le chemin du salut. Saul était l’un d’eux. Sa conviction de la sainteté de Dieu et de la loi de Moïse, et son orgueil de Pharisien ainsi que son désir d’obéissance, l’avaient poussé au fanatisme contre « ceux qui suivaient la Voie du Christ »(v 2). Il croyait sincèrement servir Dieu en s’efforçant d’anéantir la nouvelle secte (Jean 16.2). Non content de persécuter les chrétiens de Jérusalem, il entreprend de les poursuivre jusqu’en Syrie où la juridiction du Grand Conseil juif de Jérusalem était aussi reconnue. Si la mort exemplaire d’Etienne et les échanges avec les chrétiens l’avaient impressionné, il l’avait vite refoulé, dans son aveuglement sur la volonté de Dieu. A cause de son caractère ardent et absolu, il fallait une intervention divine puissante et percutante pour lui faire abandonner sa voie.
Sa vision du Seigneur sur le chemin de Damas fut un coup de foudre dans l’assurance avec laquelle il marchait sur la voie du pharisianisme persécuteur (Philippiens 3.4-6). La grâce divine le « saisit » et fit de lui l’apôtre puissant de la grâce ! (Chute de Paul sur le chemin de Damas 16ès)
Le Sauveur se révèle à lui dans sa gloire de ressuscité, comme il le fit aux autres apôtres, et il s’identifie aux disciples persécutés (v 5), ce qui dut surprendre hautement le persécuteur qui prit ainsi conscience de sa responsabilité et de sa culpabilité envers Dieu !
Entre les versets 5 et 6, certaines versions ajoutent les mots « Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. Tout tremblant et stupéfait, il dit : Seigneur, que veux-tu que je fasse ? Alors le Seigneur lui dit... ».
Ces mots ne se trouvent que dans l’ancienne version latine (2ème siècle), qui les tirait des récits que Paul fit lui-même de cette révélation (22.10 ; 26.14). Le Seigneur avertissait Saul que s’il persistait dans son aveuglement et sa révolte contre lui, contre la vérité, contre sa propre conscience après l’avoir vu et avoir entendu son appel, il ferait l’expérience des bœufs indociles que le bouvier pique de son aiguillon jusqu’à ce qu’ils reviennent dans le bon chemin. Plus la résistance spirituelle se prolonge, plus elle endurcit le cœur et se termine par la soumission forcée et par la ruine définitive, à l’image du Pharaon de l’Exode.
L’ordre « Lève-toi » donné à Saul (v 6) puis à Ananias (v 11) a un sens physique aussi bien que moral : c’est l’attitude de l’action, du courage dans l’épreuve, et aussi de la prière chez les Juifs. Saul est invité à sortir de la prostration où l’a jeté sa vision, et à marcher à nouveau sous les directives du Seigneur.
La vision étant destinée à Saul, les compagnons de route n’en perçoivent pas tous les détails. Ils entendent un son, sans comprendre les paroles, ils voient une lumière sans distinguer sa source (22.9). Ainsi en est-il souvent des spectateurs d’une conversion ou d’une révélation divine, quand leurs cœurs et leurs esprits n’y sont ni sensibles ni préparés.
La cécité de Saul fut causée par l’éblouissement de la lumière. D’aveugle spirituel, Saul devient aveugle physique, peut-être pour l’aider à comprendre combien profonde était son obscurité intérieure ! Isolé du monde extérieur, contraint de dépendre des autres, concentré en lui-même, il eut trois jours pour faire son examen intérieur, et naître à une vie nouvelle.
Le jeûne (v 9) et la prière (v 11) lui permirent de se concentrer sur cette vision, sur l’appel de Dieu à le servir autrement, sur son examen de conscience : il découvrit son incapacité à faire par lui-même le bien qu’il désirait, et la nécessité du pardon que lui offrait Jésus pour son salut (Romains 7.14-25).
B- L’intervention d’Ananias (v 10-18)
Un simple disciple, à l’écoute de Christ, fut appelé par le Seigneur à achever l’œuvre de conversion de Saul et à lui rendre la vue. Son nom est déjà un message de Dieu pour Saul : « L’Eternel m’a fait grâce ». En réponse à la prière de repentance et de soumission de Saul, le Seigneur lui donne la vision du frère qui l’aidera. Les objections d’Ananias sont bien naturelles : elles n’expriment ni refus d’obéir, ni incrédulité, mais la confiance qui règne entre le Seigneur et Ananias qui lui expose librement ses doutes et ses craintes.
v 13 : « ceux qui t’appartiennent » (BAN), traduction du mot « tes saints » employé pour la première fois dans le Nouveau Testament pour désigner les chrétiens (v 32, 41 ; 26.10), c’est-à-dire des hommes mis à part pour Dieu, consacrés à son service, appelés à se laisser transformer (= sanctifiés) par son Esprit.
v 15 : Pour convaincre Ananias, Dieu lui révèle la vocation de Saul, qui sera d’annoncer Jésus aux nations et à Israël, au milieu des souffrances que provoquera de la part des rebelles l’ardent amour de Paul pour Jésus. Il ne faut pas y voir une punition de Dieu pour les souffrances infligées à ses disciples par le zèle fanatique de Saul (v 1-2), mais la prophétie du changement de cœur de Saul : au zèle amer dans le service de Dieu qui conduisait à la mort des autres, succèdera un amour indéfectible pour son Sauveur dont il suivra les traces et les directives, pour le salut des autres.
C- v 19-22 : Réponse de Saul à l’appel de Dieu
C’est avec amour qu’Ananias s’adresse à Saul, car l’ancien persécuteur est devenu un « frère » ! L’imposition des mains était aussi un signe d’affection propre à redonner confiance par un contact physique à cet aveugle qui l’entendait sans le voir.
Ensuite, Ananias exposa le but de sa venue : rendre la vue et permettre à l’Esprit de remplir Saul, soit au moment de l’imposition des mains et de la guérison, soit au baptême.
La soudaineté de la guérison est marquée par le « aussitôt » ou « à l’instant » qui débute la phrase, et par l’expression « des écailles lui tombèrent des yeux ». On peut l’interpréter plutôt symboliquement que physiquement, pour marquer l’impression que Saul éprouva en recouvrant la vue. Toutes ses barrières intérieures, toutes ses raisons de s’enorgueillir, toutes ses fausses protections qu’il s’était établies, et qui l’enfermaient dans l’obscurité spirituelle et la mort, tombèrent définitivement à cette nouvelle naissance à la vie avec Christ (Philippiens 3.7-9).
Le futur apôtre fut baptisé par un simple fidèle, pour n’avoir pas à dépendre d’un autre apôtre, mais de Dieu seul, agissant dans et par n’importe lequel des membres du corps de Christ qu’est l’Église.
La conversion de Saul a eu des conséquences énormes pour l’Église, elle constitue une preuve que Jésus est ressuscité, qu’il a la puissance d’attirer les hommes à lui malgré leur résistance, qu’il intervient personnellement dans la vie de ceux qui désirent le servir, pour les diriger, encourager, corriger et bénir.
Saul parlera de cette intervention en l’assimilant aux apparitions du Seigneur aux disciples après sa résurrection. Il distinguera nettement cette révélation des autres visions dont il bénéficiera plus tard (18.9 ; 22.17-18). Ce ne fut pas une crise intérieure psychologique et morale, mais réellement une manifestation de Christ qui bouleversa sa vie.
Il est évident qu’il ne faut pas tirer de ce récit une norme de la conversion. Pour arrêter Saul, cette vision puissante était nécessaire, pour d’autres le Saint-Esprit agit en eux inconsciemment et peu à peu pour les amener à la repentance. Il sait ce qui convient à chacun de ceux qui cherchent Dieu de tout leur cœur.
Luc passe sous silence le temps de retraite en Arabie qu’observa Saul, avant de revenir prêcher à Damas (Gal 1.17). Peut-être le suggère-t-il au v 22 quand il affirme que Saul « se fortifiait intérieurement de plus en plus ». Sa retraite, puis sa prédication de Jésus, Christ et Fils de Dieu, lui permirent de comprendre les Écritures de l’Ancien Testament, et d’y trouver, sous l’inspiration de l’Esprit, tout ce qui annonçait le Messie et que Jésus avait réalisé parfaitement (Jean 5.39 ; Luc 24.27). Sa foi se fortifiait à l’étude, à la compréhension et à la prédication des Écritures.
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- Qu’est-ce qu’a changé dans ma vie et ma personne la révélation que Christ est mon Sauveur ? Quels préjugés, quelles fausses idées du service de Dieu et de la mission ai-je dû abandonner ?
- Quand et comment ai-je changé ma vision de Jésus ? Comment grandir dans la connaissance de son amour ? (Eph3.14-19)
- Qu’est-ce qui a permis à Ananias d’être un intermédiaire entre Christ et Saul ? Comment l’imiter auprès de ceux que Dieu me fait rencontrer ?
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28/08/2015
Étude n°10 Philippe le missionnaire, Actes 8.26-40 (05 09 15)
Étude n°10 Philippe le missionnaire, Actes 8.26-40 (05 09 15)
« Vous recevrez une puissance, celle du Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre. » Actes 1.8
(Philippe et l’Ethiopien, peinture de Decan, ex-Yougoslavie)
Observons
Le contexte
A la suite de la persécution à Jérusalem, les chrétiens se sont dispersés aux alentours. Philippe a évangélisé la Samarie et baptisé beaucoup de convertis. Les apôtres sont venus leur imposer les mains, et le Saint-Esprit a confirmé cette expansion de l’Eglise en descendant sur les nouveaux baptisés. Philippe et les apôtres sont ensuite rentrés à Jérusalem, en annonçant partout la Bonne Nouvelle sur leur passage.
Le texte
Trois parties :1) v 26-31 : l’Esprit fait se rencontrer Philippe et un ministre Ethiopien
2) v 32-35 : Annonce de la Bonne Nouvelle à cet étranger intéressé
3) v 36-40 : Action de l’Esprit sur l’Ethiopien et sur Philippe.
Les mouvements du texte
1) a- Départ de Philippe dans le désert, sur l’ordre d’un ange
b- Arrivée de l’Ethiopien lisant Esaïe
c- Ordre de l’Esprit
b’- Rencontre des deux hommes au sujet d’Esaïe
a’- Invitation à monter dans le char pour expliquer le texte
2) Lecture et explication du texte d’Esaïe, bonne nouvelle du salut en Jésus-Christ
3) a- Arrivée à un point d’eau, demande de baptême
b- Profession de foi et arrêt du char
c- Descente dans l’eau
d- Baptême
c’- Remontée hors de l’eau
b’- Enlèvement de Philippe par l’Esprit
a’ Poursuite de leur chemin respectif par les deux hommes.
L’explication de la Parole par Philippe est initiée par l’Esprit et aboutit à l’engagement dans le baptême de l’Éthiopien.
Comprenons
Le contexte
Le meurtre d’Étienne par les Juifs a provoqué la dispersion des chrétiens de Jérusalem. C’est le début de l’évangélisation extérieure au peuple juif, en commençant par le pays voisin, la Samarie. Le Seigneur ne laisse pas les disciples s’endormir sur leurs premiers lauriers. Il les pousse à « élargir l’espace de leur tente, et allonger leurs cordages » (Es 54.2).
Le texte
- C’est le Seigneur qui prend l’initiative, par un ange ou l’Esprit, de donner les occasions de témoigner, sans tenir compte de la logique ou du confort : la route de Gaza est déserte, et les villes d’Azot et Césarée sont bien éloignées de Jérusalem ! Mais la prescience divine connaît les fruits de ces témoignages humainement insensés.
- L’Esprit ne donne aucune explication à Philippe. Il attend de lui ouverture et obéissance aux ordres reçus. La disponibilité de Philippe, et la curiosité de l’Éthiopien permettent à l’Esprit de tout faire concourir au salut de l’eunuque étranger. Les circonstances apparemment fortuites (lecture d’Esaïe, rencontre dans le désert, longueur du chemin qui permet l’explication, présence d’un point d’eau) sont autant de moyens offerts par l’Esprit pour permettre à cet étranger prosélyte (il venait d’adorer Dieu à Jérusalem) de rencontrer le Seigneur et de s’engager pour Lui, saisissant personnellement la promesse d’Es 56.3-5.
- L’Esprit aurait pu faire comprendre directement à l’Éthiopien la Parole qu’il lisait avec attention et recherche. Il se contente de lui insuffler le désir de comprendre, et de lui inspirer la question primordiale de tout vrai lecteur de la Bible « De qui s’agit-il ? »
L’Esprit lui envoie un témoin du Christ pour annoncer Jésus. La compréhension des Écritures passe par le partage avec d’autres (voir les écoles du Sabbat dans notre Mouvement Adventiste !). La révélation du salut ne peut se faire qu’à travers ceux qui en ont déjà fait l’expérience. Si le témoignage de Philippe a touché l’esprit et le cœur de l’Éthiopien, c’est que Philippe avait personnellement expérimenté la puissance de l’amour de Dieu (v 6-8), et compris la prophétie d’Esaïe 53, réalisée par la mort et la résurrection de Jésus.
- La citation d’Esaïe 53, véritable Évangile de l’Ancien Testament, est facilement interprétable au v 32; mais le v 33 est plus obscur, car il vient de la traduction grecque des Septante, citée librement par Luc qui n’avait pas accès au texte hébreu. Le sens du texte d’Esaïe 53 peut être : « Il a été emporté par l’angoisse du jugement qui condamnait le péché des hommes, qu’il portait comme victime expiatoire ; mais qui dans sa génération s’en est aperçu ? » Et le sens du texte de Luc peut être : « Dans l’humiliation de sa mort, le jugement du péché qu’il portait pour l’humanité a été ôté, ou encore : la condamnation pesant sur lui et sur l’humanité a été enlevée par sa mort ; qui pourra parler de sa postérité puisque sa vie a été ôtée de la terre ? » Philippe saisit cette dernière question pour y répondre par l’annonce de la résurrection du Messie et de la Pentecôte consacrant la postérité du Sauveur.
- Le baptême, résultat du témoignage de Philippe, répond d’après ce texte à trois conditions : un enseignement de la Parole, une acceptation par la foi de l’œuvre de salut de Christ, une profession de foi claire et publique qui est un engagement de l’homme pour le Seigneur.
- La présence du Saint-Esprit en l’eunuque baptisé se décèle à la joie qui l’habite malgré la séparation soudaine d'avec Philippe. Le cœur qui s’est donné à Christ et a été purifié par lui, est rempli de joie, de paix et d’espérance pour continuer sa route quelles que soient les circonstances, prêt à témoigner à son tour de l’amour de Dieu;
- L’Esprit continue à pousser Philippe toujours plus loin. L’enlèvement dont il est question, n’est sans doute pas un déplacement par lévitation (ce serait un miracle spectaculaire gratuit). Simplement Philippe rempli de joie et de reconnaissance pour la conversion de l’Éthiopien, poursuit sa route, poussé par l’Esprit, sans se rendre compte ni de la longueur ni de la direction du chemin. Il ne reprend conscience du monde extérieur qu’au milieu de la ville d’Azot, et il saisit aussitôt les occasions d’annoncer la Bonne Nouvelle à tous ceux qu’il rencontre, accomplissant ainsi le dernier ordre du Seigneur (Mt 28.19-20)
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- Comme Philippe, suis-je disponible à l’Esprit pour saisir chaque occasion d’annoncer la Bonne Nouvelle du salut offert à tous en Jésus-Christ ?
- Comme l’Éthiopien, ai-je le désir de lire et comprendre la Parole de Dieu ?
- Suis-je capable d’expliquer à mon voisin les textes bibliques sur lesquels repose ma foi ? Si oui, pourquoi ne pas utiliser cette capacité si l’occasion m’en est donnée, par exemple dans un groupe de foyer ? Sinon, comment acquérir cette capacité pour être un témoin fidèle ?
- Ai-je fait l’expérience personnelle de la puissance de l’amour de Dieu ? Comment en témoigner ?
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