28/04/2023
Étude n°6 L’heure de son jugement Rom 5.6-11 (06 05 23)
Étude n°6 L’heure de son jugement Rom 5.6-11 (06 05 23)
« Vous savez en quel temps nous sommes : c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. La nuit est avancée, le Jour approche. Dépouillons nous donc des œuvres des ténèbres et revêtons les armes de la lumière. » Rom13.11-12
Nous avons vu la semaine dernière l’annonce du jugement de Dieu pour lequel nous sommes appelés à lui rendre gloire. Dans cette étude, nous allons voir les raisons pour lesquelles nous n’avons pas à redouter cette heure de jugement ou de tri fait par Dieu dans ces temps de la fin.
Observons Rom 5.6-11
Le contexte (v 1-5)
Qu’est-ce qui justifie notre espérance en Dieu même dans les difficultés de ce monde ?
Le texte (6-11)
- Relever les Mots-clés et les répétitions/oppositions :
Car (v 6,10), à plus forte raison (9,10), encore sans force, impies, pécheurs, ennemis, opposés à maintenant justifiés, sauvés (au centre du texte), et réconciliés (3 fois) ; réconciliés par la mort en parallèle avec sauvés par la vie ; mourir pour un juste opposé à Christ est mort pour nous pécheurs.
- Composition du texte :
a) 6-8 : la mort de Christ pour des impies prouve l’amour de Dieu
b) 9 : le sacrifice de Christ nous assure justification et salut
a’) 10-11 : notre réconciliation avec Dieu par la mort de Christ nous assure le salut par la vie de Christ.
Comprenons
Le contexte (v 1-5)
« Rétablis au moyen de la justification par la foi dans une relation normale avec Dieu par Christ »(BAN = Bible Annotée de Neuchatel), nous sommes remplis d’espérance même dans les afflictions, car le Saint-Esprit a répandu en nous l’amour de Dieu.
Le texte (6-11)
a) L’argumentation commencée au début du ch 5 se poursuit par le premier « car » (6) pour prouver le droit que nous avons de nous « glorifier de l’espérance qui ne trompe pas » (2,5). Tout le passage oppose l’état de péché des hommes à l‘amour de Dieu qui s’est donné avant même que les hommes l’aient mérité. Notre espérance du salut ne s’appuie pas sur une justice et une bonté humaines tout à fait impossibles puisque l’homme est par nature « pécheur, impie, sans force, et ennemi », incapable de se sauver lui-même, c’est-à-dire de renouer la relation rompue avec Dieu. Notre espérance et notre assurance s’appuient sur l’amour inconditionnel de Dieu, qui se donne en Christ, selon son plan (au temps marqué), en faveur, pour le bien, pour la vie des hommes séparés de lui par le péché. L’amour divin dépasse de loin l’amour humain qui se justifie par les mérites du bénéficiaire : on aime l’autre quand et parce qu’il est aimable ! Dieu n’attend pas l’amabilité ou la perfection de sa créature pour l’aimer !
b) Si Dieu a fait le plus par la mort de Christ en faveur d’ennemis, à plus forte raison fera-t-il le moins pour achever son œuvre d’amour à l’égard d’hommes qui sont maintenant justifiés (= considérés comme justes), et réconciliés (= dont la relation est renouée avec lui), en leur accordant d’être sauvés de sa colère (= d’échapper à la condamnation méritée par la désobéissance à la loi divine, par la séparation d’avec Dieu). C’est ce salut final qui est l’objet de l’espérance et de l’assurance des élus, même dans les tribulations de la vie terrestre, car il leur permet de vivre dès maintenant dans la présence éternelle de Dieu en attendant sa présence glorieuse (v 2).
a’) Autrefois ennemis par nature, car rebelles à Dieu, nous sommes maintenant réconciliés, rétablis dans une relation de paix et d’amour avec Dieu. Plus rien ne l’empêche de laisser libre cours à sa miséricorde envers nous, sans porter atteinte à sa sainteté. Le pécheur qui par la repentance accepte sa délivrance du péché comme une grâce offerte par Jésus, et non comme une récompense de sa propre « perfection », est pénétré d’amour et de reconnaissance pour Dieu. Il est transformé par la vie de Christ en lui, à son image de façon à participer à sa gloire.
La répétition de « nous nous glorifions en Dieu par Jésus-Christ » (v 2,3,11) marque une gradation : de la possession du salut on s’élève à la possession de Dieu lui-même, de l’espérance du salut futur on passe à la réalité actuelle de ce salut grâce à la réconciliation obtenue dès à présent.
Porter dans le cœur dès maintenant la paix, la confiance et la joie, preuves de notre réconciliation avec Dieu grâce à Jésus-Christ, c’est ce que produit en nous l’amour de Dieu par la communion du Saint-Esprit. Paul appelle cela « se glorifier en Dieu par Jésus-Christ ».
Il n’y a donc aucune raison de craindre avec anxiété l’heure du jugement, car Dieu nous a déjà réconciliés avec Lui. Le jugement qu’il exerce avant le retour de Jésus, est la mise en lumière des vrais disciples par l’examen de leur mise en pratique de leur foi en Christ. Le jugement de Salomon en est l’exacte représentation prophétique. (voir en annexe). Apocalypse 7 nous révèle que ces vrais disciples sont scellés du Saint Esprit, pour supporter les détresses de la fin du monde et vaincre les tentations d’idolâtrie.
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- Quel lien faire entre la mort de Christ et la réconciliation avec Dieu : pourquoi, « sans effusion de sang » n’y a-t-il pas de pardon ?(He 9.22). Comment cela peut-il être transposé dans la démarche de pardon les uns envers les autres ? (l’abandon de sa fierté, de son orgueil, et le don de soi à l’autre, ne sont-ils pas des « morts à soi-même » indispensables pour pardonner et être pardonné ?)
- Avons-nous l’assurance du pardon de Dieu ? Si oui, comment cela se manifeste-t-il dans la vie quotidienne ? Si non, qu’est-ce qui nous inquiète encore, ou nous empêche de recevoir la grâce de Dieu ?
- L’espérance du salut éternel transforme-t-elle dès aujourd’hui ma relation à Dieu et aux autres ? Comment ?
- Puis-je m’engager à pardonner cette semaine à quelqu’un que je ne trouve pas particulièrement « aimable » ?
Annexe : le jugement de Salomon : 1 Rois 3.16-28
Tous les textes sur le jugement de Dieu sont en général placés dans le Nouveau Testament. Dieu, pourtant n’a pas laissé son peuple de la première alliance dans l’ignorance de cet événement qui a lieu juste avant le retour du Christ (Ap 14.7 ; Dn 7.9-10, 13-14). Pour lui faire comprendre concrètement cet important moment de son plan de salut, Dieu a donné l’exemple du jugement de Salomon dans 1 Rois 3.16-28.
C’est pourquoi nous vous proposons l’étude de ce texte, car ce jugement est propre à répondre à toutes les questions que nous nous posons sur le jugement préliminaire au retour de Christ.
Observons :
Le contexte : La prière de Salomon au début de son règne pour obtenir l’intelligence et la sagesse, afin d’exercer la justice, et de discerner le bien du mal (v 9,11), précède immédiatement notre texte. Celui-ci va donc démontrer l’exaucement de cette prière.
Le texte :
Il est construit sur le modèle de tout procès :
Dans tout jugement il y a quatre phases :
- l’instruction qui permet au juge de prendre connaissance du litige : ici ce sont les paroles des femmes qui relatent les faits et se disputent devant le juge Salomon (v 16-22).
- l’interrogatoire devant le tribunal qui révèle aux jurés l’innocence ou la culpabilité de l’inculpé : ici c’est le récit de l’intervention du roi et des révélations qu’elle provoque (v 23-26)
- le rendu de la sentence du juge assisté de ses jurés : libération de l’innocent et condamnation du coupable : ici c’est la décision du roi au v 27.
- l’exécution de la sentence qui clôt le jugement à la satisfaction de tous devant la justice rétablie : ici c’est la reconnaissance par tous de la sagesse de Salomon (v 28).
Le sujet du litige entre les deux femmes, c’est le fils (v 23).
L’instrument révélateur de la vérité est une épée (v 24).
Ce qui est révélé, c’est ce que chaque femme a « dans ses entrailles » (v 26).
La sentence prononcée par le roi est une sentence de libération au constat de la révélation du cœur de la vraie mère (v 27).
La conclusion met l’accent sur la sagesse du juge Salomon, et non sur les deux femmes ou le fils (28).
Comprenons
Le contexte
Dieu a promis à Salomon de lui donner une sagesse telle qu’ « il n’y aurait jamais personne avant lui ni après lui de semblable à lui » (v 12). Le texte qui suit en est la démonstration : il est destiné à faire reconnaître par tous la sagesse divine qui habite Salomon.
Transposons cela au plan spirituel et symbolique du jugement dernier.
Pourquoi faut-il un jugement dernier ? Dieu ne sait-il pas tout sur chacune de ses créatures ?
Si, bien sûr ! Seulement, sa sagesse ayant été contestée et mise en doute par l’Adversaire (Genèse 3. 1-5), il lui est nécessaire d’en faire la preuve devant toutes les créatures, afin d’éliminer toute arrière-pensée négative à son égard, comme Salomon a dû faire la preuve de sa sagesse devant tout Israël.
Le texte
Lorsqu’on examine ce texte, on constate que le roi met tout en œuvre pour que les deux femmes révèlent ce qu’elles ont dans le cœur. Elles ne le font que poussées dans leurs retranchements par une situation extrême de choix entre la vie ou la mort du fils.
La sentence du roi se contente de ratifier les révélations faites par les attitudes des deux femmes face au fils.
Finalement, c’est le roi qui est glorifié par tous, pour son jugement sage.
Spirituellement, les deux femmes deviennent le symbole de l’humanité qui, passant en jugement à propos de son attitude vis-à-vis du Fils, fait la preuve de la sagesse et de l’amour de Dieu dans ses jugements.
L’instruction correspond à ce temps qu’il nous est donné de vivre, pendant lequel chacun doit se déterminer, doit choisir s’il est pour ou contre le Fils de Dieu, temps où il ne nous appartient pas de départager les vrais et les faux adorateurs parmi ceux qui se réclament de Christ, temps pendant lequel notre vie s’inscrit sur les « livres des œuvres » dont parlent Ec12.16 et Ap 20.12, ou sur « le livre de vie », selon les manifestations concrètes de notre refus ou de notre acceptation du Fils Vivant (Ap. 21.27).
L’interrogatoire, est ce moment dont la Bible nous parle en disant que l’Agneau est reconnu digne d’ouvrir les sceaux du livre scellé (Ap 5.7-9), où les trompettes sonnent sur la terre par des malheurs, pour appeler à la repentance (Ap 6), où Dieu enfin scelle son peuple, c’est-à-dire permet au tribunal des anges et des 24 vieillards de découvrir ceux qui sont réellement ses serviteurs (Ap 7 à 11).
Les épreuves de ce temps de la fin, qui est encore un temps de grâce donné pour la repentance du plus grand nombre (Ap 9.20-21), permettent à chacun de révéler nettement son choix : mettre à mort le Fils de Dieu, ou le garder Vivant dans son coeur et dans sa vie.
Mon attitude face à Jésus détermine dès à présent le verdict de mon jugement : je me mets dans la situation présente et future d’être ou de ne pas être avec Dieu ! (Jean 3.18).
Le jugement sert à mettre en lumière ce choix par le constat des actes qui en ont découlé : mes actes et mes paroles révèleront ce qu’était le choix de mon cœur, pour ou contre Dieu ? Ou pour ceux qui n’auront pas connu le Seigneur : pour ou contre la loi de leur conscience ?
C’est ce qu’exprime clairement l’apôtre Paul dans Romains 2.13 et 16 :
« Ce ne sont pas ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés...C’est ce qui paraîtra au jour où selon mon Évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes ».
En quoi consiste cet acte de jugement ?
Le texte de l’épître aux Romains emploie deux mots significatifs : « paraîtront au jour les actions secrètes ». Éphésiens 5.11-13 et Jean 3.19-20 disent la même chose, et sont illustrés par l’interrogatoire du procès des deux femmes devant Salomon : elles ont fait paraître au jour les ressorts secrets de leur cœur.
Le jugement est bien la mise en lumière des actes de la foi ou de l’incrédulité vis-à-vis de Jésus, Parole de Dieu. L’instrument de cette mise en lumière, c’est l’épée de la Parole de Dieu, qui révèle les moindres replis du cœur (Hébreux 4.12).
Le jugement dernier est la révélation du choix fait par l’homme dans ce monde face à Jésus-Christ. Refuser d’amener ses œuvres à la lumière de Dieu, de les reconnaître comme imparfaites et en contradiction avec la loi divine contenue dans sa Parole, c’est choisir dès à présent les ténèbres et la mort, ce qui provoque la séparation d’avec Dieu, comme l’a choisi la mauvaise mère de 1 Rois 3.
Par contre, accepter aujourd’hui d’amener mon péché à la lumière devant Dieu, m’en libère aussitôt par le pardon de Dieu (Psaume 32.5). Quotidiennement, le jugement qui est une mise en lumière par mes attitudes et mes actes, de mon choix pour Dieu, de ma foi en Christ, me libère du péché et de la mort. Si par mes actes, j’amène moi-même, volontairement ce que j’ai dans le cœur à la lumière de Dieu, il n’y aura pas de condamnation pour moi, mais une libération totale (Jean 5.24), une reconnaissance de ma valeur d’enfant de Dieu, une intégration dans la fraternité de son royaume, comme ce fut le cas pour la vraie mère de l’enfant. (liberté, égalité, fraternité du Royaume !)
Si je refuse cette démarche quotidienne, alors ce sera Dieu qui, malgré moi, mettra en lumière mon choix qui se révèlera un choix de mort (Jean 3.18).
Ce jugement préliminaire prendra fin lorsque chacun aura eu l’occasion de se déterminer face au Fils de Dieu.
La sentence de libération et de justification des élus, et par voie de conséquence, de condamnation et d’élimination des impies, tombe au bout de ce temps où la grâce peut encore être saisie (Ap 11.18). A ce moment le choix de chacun est évident pour tous ceux qui assistent le juge. Les élus sont déterminés et désignés pour la première résurrection qui a lieu au retour de Christ (Ap 19.1-16 ; 1 The 4.16). Ressuscités, ou transformés, ils se retrouvent avec Christ, comme la vraie mère se retrouva avec son fils. Le texte d’Apocalypse 20.4-5 et 12 nous révèle qu’a lieu alors le « jugement final» des morts impies, pendant cette période des « mille ans », où les ressuscités règnent et jugent avec Christ (Ap 20.4, 6).
D’après le jugement de Salomon, c’est à ce moment que, pour les élus, apparaissent en pleine lumière les « œuvres cachées » des impies, le fond de leur cœur. Les élus peuvent constater tous les appels de Dieu qu’ils ont refusés, toutes les occasions de repentir qu’ils ont manquées. Par là, les élus reconnaissent la justesse de la sentence de Dieu, sa sagesse et son amour puisqu’il a respecté les choix des impies, pour ne pas imposer son royaume éternel à ceux qui n’en ont pas voulu de leur vivant.
L’exécution de la sentence provoque les alléluia des élus de toute la terre (Ap 19) qui ayant constaté la justice et la sagesse de Dieu dans son jugement, adorent le Seigneur.
Dieu est justifié aux yeux de toutes ses créatures, il est blanchi des accusations sataniques. Il peut régner et habiter parmi les hommes, dans la paix et la justice, sans plus aucun risque de contestation (Ap 21.3-4 ; 22.1-5), comme Salomon qui eut un règne de paix et de gloire.
Jugement de Salomon G. Doré 19è s
Appliquons
Cette parabole vivante du jugement nous invite à ressembler à la vraie mère de l’enfant : elle a privilégié la vie de son enfant, en se dépouillant elle-même et en le donnant à l’autre, à travers une épreuve terrible.
- Comment nous situons-nous par rapport au Fils de Dieu : voulons-nous le garder jalousement pour nous, au risque de l’étouffer, par exemple en affirmant que nous sommes les vrais détenteurs de la vérité, les vrais observateurs de la loi, ou en l’enfermant dans la rigidité de notre légalisme et de nos principes, etc.
Ou bien, prenons-nous le risque de nous dépouiller de nos certitudes en béton, de nos sécurités et même de nos droits, en l’offrant aux autres pour qu’il vive, en manifestant aux autres l’amour que nous avons pour lui par le partage de nos biens matériels et/ou spirituels ?
- Qu’est-ce qui compte le plus : la satisfaction de nos désirs personnels de valorisation et de justice, la défense de nos droits, ou le don de soi par amour pour Dieu et pour les autres ?
- Comment notre vie peut-elle rendre vivant le Fils de Dieu, sinon en manifestant en actes et en paroles le même amour inconditionnel qu’il a eu pour nous, et que Salomon a mis en lumière chez la vraie mère de l’enfant.
- Quelle impression vous laisse ce texte de jugement ? Frisson dans le dos, peur, joie, confiance ? En quoi peut-il être une consolation dans l’épreuve ?
Illustration : Le Jugement de Salomon de Poussin
Voir le tableau comparatif suivant :
En résumé, voici un tableau comparatif entre le jugement de Salomon et le jugement dernier :
LE JUGEMENT DE DIEU comparé au jugement de Salomon (1 Rois 3.16-28)
Jugement de Salomon |
Jugement de Dieu |
Phases du jugement |
Deux prostituées se disputent le fils : l’une est vraie mère, l’autre est fausse. |
Dans notre état de pécheurs nous nous réclamons du Fils, l’un avec raison l’autre faussement. |
Instruction |
Le roi ne décide pas, mais donne une épreuve pour que chacune révèle le fond de son coeur. L’épée est l’instrument révélateur. |
Dieu envoie l’épreuve des circonstances pour que chacun révèle le fond de son coeur. L’épée de la Parole est le révélateur (Hé 4.12) |
Interrogatoire |
Chacune révèle son coeur, l’une révèle son amour par le don de son fils, l’autre révèle sa dureté et sa jalousie, sa compagne sera égale à elle par la mort du fils. |
Chacun révèle son coeur : l’un, sa foi, son amour du Christ et du prochain l’autre, sa peur, sa dureté, sa jalousie, sa fausseté, sa volonté de mort. |
Révélation grâce à l’interrogatoire |
La sentence du roi constate l’évidence : La vraie mère est réhabilitée et reçoit le fils. La méchante femme, ayant choisi la mort, est condamnée par ses propres paroles, à la solitude. |
La sentence de Dieu constate l’évidence : Le vrai disciple est reconnu et reçoit le royaume du Fils. Le faux disciple, ayant révélé son manque d’amour et de foi, se condamne lui-même à la séparation d’avec Dieu. |
Sentences de libération et de condamnation |
Tout Israël reconnaît la justice et la sagesse du roi Salomon. |
Tous reconnaissent la justice, l’amour et la sagesse du Seigneur Dieu. |
Exécution ou Clôture |
08:01 Publié dans Trois messages Apocalypse | Lien permanent | Commentaires (0)