29/08/2014
Étude n°10, La Loi de Dieu, Marc 10.17-31 (06 09 14)
Jean 14.15 : « Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements ».
Observons Marc 10.17-31
Le contexte
Après la transfiguration, Jésus descend de la Galilée vers le nord de la Judée, par la route à l’est du Jourdain (10.1). Les Pharisiens l’interrogent sur la répudiation pour le mettre à l’épreuve (v 2), et les disciples veulent écarter les enfants de Jésus, à sa grande indignation.
Le texte
V 17 : rencontre avec le jeune homme riche (Heinrich Hoffmann, 19ès)
V 18-21 : dialogue de Jésus avec le jeune homme : « Va, vends tout et suis-moi »
V 22- 31 : dialogue de Jésus avec ses disciples :
a) 23-25 : difficulté pour les riches d’entrer dans le royaume de Dieu
b) 26-27 : Seul Dieu peut sauver
c) 28-31 : Celui qui est libéré de ses liens reçoit de Dieu au centuple, ici-bas et dans l’éternité.
Questions sur le passage v 17-22 :
- Quelle est la préoccupation du jeune homme ? Comment approche-t-il Jésus ? Quels sentiments envers Jésus cette attitude révèle-t-elle ?
- Pourquoi Jésus refuse-t-il d’être appelé « bon » par le jeune homme ? Comment se positionne-t-il à ce moment par rapport à Dieu ? Que veut-il faire comprendre à son interlocuteur sur la « bonté », et sur la conception qu’il a de lui-même, en le renvoyant à la loi ? (v 19-20)
- Quels commandements Jésus cite-t-il ? Pourquoi rajoute-t-il : « Tu ne feras aucun tort » et ne cite-t-il pas les 4 premiers commandements du Décalogue ?
- Que prouve l’exclamation du jeune homme sur son état d’âme et sur sa vision de la Loi ?
- Quel sentiment Jésus éprouve-t-il pour lui ? Pourquoi ? Qu’a-t-il vu en lui ?(v 21)
- Que demande réellement Jésus à ce jeune homme ? Faut-il devenir pauvre pour suivre Jésus ? Que signifie avoir un trésor dans le ciel ? (Mat 6.19-21). En quoi est-ce différent des richesses terrestres ?
- Quelle est la réaction du jeune homme aux paroles de Jésus ? « s’assombrir = être consterné). Comment a-t-il compris les paroles de Jésus ? (2 Cor 3.16).
- Contre quels dangers spirituels cet épisode et les propos qui suivent, veulent-ils nous mettre en garde ?
Comprenons
Cet épisode peut servir d’application à l’enseignement de Jésus dans le discours sur la montagne Mt 6.19-23 : « Là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur ».
Matthieu et Luc nous disent que celui qui s’approcha de Jésus était un jeune homme (Matthieu 19.20-22), magistrat ou chef de synagogue (Luc 18.18). Il était sincèrement préoccupé de la question la plus importante de la vie humaine : avoir la vie éternelle. Comme les Pharisiens, il pensait l’obtenir par une obéissance scrupuleuse à tous les commandements, mais restait dans le domaine du « faire » (Que dois-je faire ?), et non de la relation avec Dieu « Qui suis-je devant Dieu ?).
Son empressement auprès de Jésus marque toute son inquiétude sur le sujet. Le titre qu’il lui donne « Bon Maître », révèle la vénération qu’il porte à Jésus, considéré comme un homme exemplaire, pour sa bonté, sa justice et sa connaissance de la Parole. En même temps qu’il prend Jésus comme Maître, le jeune homme s’estime capable d’atteindre sa « bonté », sa perfection toute humaine, puisqu’il obéit à tous les commandements. Jésus le reprend pour lui montrer qu’il se fait des idées fausses sur la bonté de l’homme. Le jeune homme se croit lui-même bon, parce qu’il obéit à la loi, il voit en Jésus un homme supérieur, mais pas plus. Jésus lui rappelle que Dieu seul est bon, parfait, saint. En reprenant le jeune homme sur cette expression, il le place devant la question : Comment me considères-tu, comme un homme, ou comme Dieu ? Penses-tu qu’un homme puisse atteindre la perfection de Dieu par son « faire » ?
Puis Jésus le renvoie à la loi qu’il connaît, pour lui faire prendre conscience de son but : la loi est un pédagogue qui mène à Christ (Galates 3.24). Le jeune homme en effet connaît la loi, mais mal : il n’en a pas saisi l’esprit. Il croit y obéir, mais ne s’est pas humilié, n’a pas reconnu son incapacité à la suivre par lui-même, n’a pas imploré le secours de Dieu pour cela. On peut avoir toute la connaissance biblique, et faire tous ses efforts pour suivre la lettre de la loi, sans avoir saisi la condition du salut : se reconnaître incapable devant Dieu d’obéir, et accepter que Dieu donne gratuitement son pardon et son salut à celui qui les lui demande (Romains 3.24).
Jésus vit que le jeune homme était sincère dans sa démarche et dans la confiance qu’il plaçait en lui. Il s’était sincèrement efforcé d’obéir, mais ne se sentait pas pour autant en paix. Il avait le sentiment qu’il lui manquait encore quelque chose( Mat 19.20), mais était incapable de passer du littéral, du matériel, du Faire, au spirituel et à l’Etre. Par son exigence poussée à l’extrême Jésus va chercher à lui faire découvrir son être intérieur, ses vraies priorités, ce qui le divise intérieurement. Son cœur reste attaché aux biens matériels. Il a suffi à Jésus de regarder le jeune homme pour déceler en lui, sa sincérité et son angoisse existentielle, et dans son amour, il cherche à lui faire entrevoir un trésor supérieur, spirituel, donc impérissable, susceptible de rendre le sacrifice de ses biens moins pénible.
Suivre Jésus, c’est accepter de se laisser emplir de son amour, ce qui rend les autres amours moins importants ; c’est accepter d’être dépouillé par Lui des attaches de son cœur avec le matérialisme ou tout autre addiction. C’est reconnaître que sans lui, il est impossible d’avoir la vie éternelle !
Les deux dangers que Jésus nous demande d’éviter par ce récit, pourraient être :
1- rester à la lettre des paroles divines et ne pas en chercher aussi le sens spirituel (concernant la relation à Dieu).
2- croire que par son obéissance aux commandements, on acquiert un droit d’entrée dans le royaume éternel.
V 23-31 : Commentaires de Jésus
Après avoir prononcé une sentence absolue sur la difficulté des riches à entrer dans le Royaume de Dieu (v 23), Jésus adoucit l’explication : ce ne sont pas les richesses en elles-mêmes qui sont des obstacles, (elles étaient considérées d’ailleurs comme des signes de la bénédiction divine, 1 Chr 29.12 ; Ec 5.18), mais c’est la disposition du cœur et de l’esprit à mettre sa confiance en elles.
Pour insister sur l’impossibilité humaine d’entrer dans le Royaume spirituel sans abandon de soi à Dieu, Jésus emploie une expression devenue proverbiale, fondée sur le contraste entre l’animal chargé, utilisé dans les caravanes commerciales, et le minuscule passage dans « le trou de l’aiguille ». La difficulté apparaît au premier abord comme une impossibilité totale, mais elle prépare le remède : à Dieu rien n’est impossible (v 27). Il faut un miracle de la grâce pour que le cœur se donne entièrement à l’amour de Dieu et considère ses affections et amours terrestres passagers comme de moindre importance (voir dans Philippiens 3.3-11 l’expérience de Paul).
Si comme on le suppose le « chas de l’aiguille » était le nom donné à la petite porte qui permettait aux piétons d’entrer dans la ville lorsque la grande porte était fermée le soir, le symbolisme de la comparaison devient frappant. Pour pénétrer par cette porte, le chameau chargé était obligé de déposer ses fardeaux, et de s’agenouiller pour passer. Le « riche » chargé de biens matériels ou intellectuels, pour pénétrer dans le Royaume par la porte qu’est Christ, doit se dépouiller de la confiance qu’il place dans ses possessions terrestres, et s’agenouiller devant Christ en reconnaissant sa dépendance totale de lui. Paul en a fait l’expérience à sa conversion Phi 3.4-9).
(Dessin de Zabou dans le livret « Dis, papa, explique-moi...l’argent et la dîme »diffusé par la FFS)
Les disciples encore très attachés à une conception terrestre et matérialiste du royaume de Dieu, s’étonnent puis s’inquiètent de ce dépouillement nécessaire au salut. D’un autre côté ils se glorifient de leur propre dénuement (28). Jésus leur laisse entendre que cette démarche était l’œuvre de Dieu qui les a libérés de leurs attachements matériels ou même affectifs, œuvre impossible à réaliser pour ceux qui refusent l’influence et le travail de l’Esprit en eux, comme le leur a montré le refus du jeune homme. En même temps, Jésus les stimule par la promesse de recevoir au centuple de ce qu’ils ont donné, dès ce monde et dans l’éternité (30). En réalité ce n’est pas une récompense proposée comme une carotte à un âne, mais Jésus leur fait entrevoir les conséquences bienfaisantes d’une libération d’addictions ou d’esclavages qui les maintenaient dans la tristesse (22) et l’inquiétude sur leur salut (17, 26). Mettre sa confiance en Dieu et non dans ses biens ou ses acquis (affectifs, intellectuels, matériels, ou même spirituels) procure la paix du cœur, la joie et l’énergie pour suivre Jésus. Et ceux qui sont considérés comme les plus petits ou les plus pauvres dans la société, ceux qui savent qu’ils dépendent de Dieu pour leur vie, devanceront dans le royaume ceux qui sont pleins d’eux-mêmes, ou qui s’appuient sur leurs possessions (31), ceux dont le cœur est attaché au terrestre.
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- A quoi ou à qui suis-je attaché sur cette terre ? Qu’est-ce que je crains par-dessus tout de perdre ? Pourquoi cela me semble-t-il si difficile de penser à l’abandonner ? Comment apprendre à m’en détacher pour suivre Jésus ?
- Jésus nous demande-t-il de vivre en ermite dénué de tout, en vagabond ou SDF, hors de la société, mais finalement à sa charge ? Comment obéir à cet ordre de dépouillement sans tomber dans l’excès sectaire ?
- Jusqu’où va mon désir de vie éternelle ? La recherche du Royaume est-elle une priorité de ma vie ? Comment est-ce que je suis Jésus sur ce chemin : comme le chameau bien chargé, lentement et avec de nombreuses haltes, en caravane ou solitaire, ou bien comme le chameau débâté par son Maître, qui se nourrit au puits (la Parole de Dieu) et dans l’auberge (l’église), pour marcher avec persévérance dans les déserts de la vie, vers l’oasis du Royaume ?
08:00 Publié dans Enseignements de Jésus | Lien permanent | Commentaires (1)
22/08/2014
Étude n°9 : La mission Mat 28.16-20 (30 08 14)
« Cet évangile du royaume sera prêché par toute la terre, pour servir de témoignage à toutes les nations ; et alors viendra la fin. » Mat 24.14
Observons Mat 28.16-20
V 16 : Où se situe ce dernier discours de Jésus ? Comparer avec Mat 5.1 et 17.1, puis chercher ce que peut signifier cette localisation ?
V 17 : Quelle est la contradiction entre les deux verbes de cette phrase ? Se rapportent-ils aux seuls apôtres ? (Voir 1 Cor 15.6) Quel rapport y a-t-il entre foi et doute ?
V18 : Sur quelle affirmation Jésus fonde-t-il ses ordres de mission ? Quel message veut-il faire comprendre par là aux disciples ?
V 19-20a : Combien d’ordres Jésus donne-t-il, sachant qu’en grec les deux derniers verbes sont des participes (gérondif = en baptisant et en enseignant) ?
- Qu’implique le premier verbe de la part des disciples de tous les temps ?
- Quelle volonté de Dieu exprime le deuxième ordre ? (1 Tim 2.4 ; 2 Pie 3.9b)
Comment le texte à mémoriser (Mat 24.14) vient-il compléter et nuancer cet ordre de Jésus ?
- A qui est administré le baptême ? Qu’est-ce que signifie un baptême au nom de …?
Que représente chacune des trois expressions de l’Eternel pour le baptisé ? (Jean 3.5 ; Tite 3.5b ; 2 Cor 13.13)
- L’instruction religieuse précède-t-elle ou suit-elle le baptême, dans ce texte et dans les Actes des apôtres (2.38,41 ; 8.12 ; 16.33 ; 19.4-5) ? Quelle dimension cela donne-t-il au sens du baptême évangélique ? Quelle responsabilité cela confère-t-il à l’Eglise ? Comparer avec ce qui est de coutume dans nos actuelles communautés.
- L’obéissance aux commandements de Jésus est-elle une condition ou un fruit du baptême ?
- Que signifie « garder les commandements de Jésus » ? voir la parabole des deux maisons en Mat 7.24-28.
V 20b : Quelle promesse Jésus fait-il à ses disciples ? Pourquoi ? Quel lien existe entre ses ordres (v 19-20a) et ses promesses (v 18 et 20b) ?
Comprenons
Matthieu termine son évangile non sur le récit de l’ascension de Jésus à Jérusalem, mais sur le dernier discours prononcé par Jésus en Galilée. Il leur avait fixé rendez-vous (Mat 28.7) dans le lieu où il avait commencé son ministère, là où il avait prêché le plus longtemps et avait sans doute le plus de disciples. De plus, Jésus retrouve ses disciples sur une montagne, un haut lieu d’adoration pour les peuples de cette époque. C’est sur une montagne qu’il leur avait donné les lois de son royaume (Mat 5-7. C’est sur une autre montagne qu’il était apparu dans la gloire à ses trois disciples les plus proches. C’est encore sur une montagne qu’il leur donne leur ordre de mission. Il parle ainsi avec l’autorité de Dieu, ce que comprennent aussitôt les onze disciples qui l’adorent ! Il n’y a plus de doute pour eux sur la divinité du ressuscité, mais pour la foule des autres disciples galiléens, qui ont dû être avertis par les onze du rendez-vous de Jésus, et qui sont peut-être témoins de la scène, cette apparition du ressuscité est un miracle si extraordinaire qu’ils doutent encore de sa réalité ; foi et doute se partagent leur cœur : le doute est la première étape du chemin de la foi, car il va stimuler la recherche pour mieux connaître la vérité et affermir ses convictions.
Jésus débute ses instructions par l’affirmation de son autorité divine : il n’est plus l’humble serviteur souffrant, mais par sa résurrection il a retrouvé son pouvoir divin et sa gloire éternelle (Phil 2 .8-10). Il est nécessaire de le faire comprendre aux disciples qu’il va envoyer porter la bonne nouvelle dans un monde souvent hostile et réfractaire. Leur autorité et leur efficacité leur viendront de Jésus seul, qui par l’Esprit aplanira leurs sentiers.
L’ordre de mission se compose de deux actions : Aller, et faire des disciples.
Les disciples n’ont pas à attendre qu’on vienne vers eux pour entendre la Parole de Dieu, ni à se renfermer dans leurs communautés pour vivre ensemble de bons moments dans l’adoration et la louange. Ils doivent sortir vers les autres, les chercher comme le Bon Berger, ce qui implique d’avoir de l’ouverture d’esprit, de côtoyer des personnes bien différentes d’eux et de parler leur langage, pour être entendus et compris.
L’ordre de faire des disciples de toutes les nations devait étonner les apôtres juifs, qui pensaient que le salut était réservé au seul peuple élu, comme on le constate au début des Actes des Apôtres. Les nations désignent tous les peuples non juifs qui ne croient pas en l’Éternel. Il est évident que Jésus ne prêche pas ici le salut universel ou la conversion de tous les peuples. Sa volonté est que tous aient l’occasion d’entendre l’appel de Dieu et de se déterminer pour ou contre lui. Il ne peut sauver personne contre son gré. On pourrait traduire ce second ordre « Faites des disciples parmi toutes les nations ». En effet on ne devient disciple de Jésus que si on accepte d’être baptisé, c'est-à-dire de s’identifier à la mort et à la résurrection de Christ et d’obéir à ses enseignements. Il ne suffit pas d’entendre la Parole, il faut la mettre en pratique (Mat 7.24-27 ; Jac 1.23-25). Si le baptême marque la repentance et l’adhésion de la conscience et de l’esprit à la bonne nouvelle, l’église a le devoir d’enseigner le baptisé pour que sa vie soit transformée et qu’il la conforme aux commandements de Jésus, résumés par lui en Mat 22.37-40 : Aimer Dieu et aimer son prochain comme soi-même. Nous avons souvent l’habitude de ne baptiser qu’après avoir enseigné et avoir constaté le changement de conduite du catéchumène, comme si le baptême était un point d’arrivée dans le cheminement du croyant ! Or on peut constater que de nombreuses fois les disciples ont baptisé tout de suite le croyant qui avait professé sa foi en Jésus-Christ, l’accompagnant ensuite sur son chemin de foi en lui enseignant la Parole et en approfondissant sa compréhension des Écritures pour la sanctification de sa vie par l’Esprit.
Le baptême au nom de Dieu, Père, Fils et Esprit n’est pas un simple plongeon purificateur comme le baptême de Jean (Act 19.3-4), mais le nom représentant la personne toute entière avec ses qualités et son caractère, le baptême au nom de Dieu engage Dieu et le baptisé dans une communion intime et vivante, dans une relation filiale, fraternelle et spirituelle, où le baptisé reconnaît l’Éternel comme son Père créateur, source et pourvoyeur de sa vie, Jésus le Fils comme son Sauveur, son frère et son ami, et l’Esprit comme son Consolateur, son Inspirateur et son guide (Jean 16.13). Le baptême ouvre les « écluses des cieux » et donne accès à toutes les bénédictions que Dieu réserve à ses enfants. L’Esprit accordé pleinement le jour du baptême peut poursuivre son œuvre de régénération et de sanctification pour autant que le croyant reste ouvert à son influence, l’écoute lui parler à travers les Écritures et lui obéit de bon cœur en marchant selon les commandements d’amour de Jésus.
Pour apaiser l’angoisse que peuvent éprouver les disciples devant l’ampleur de la tâche à accomplir, et devant la solitude apparente qui les attend, puisque Jésus va rejoindre son Père dans le monde spirituel, invisible physiquement, le Seigneur leur laisse la merveilleuse promesse de sa présence indéfectible et immuable auprès d’eux : puisqu’il a tout pouvoir sur la terre comme au ciel, dans le monde visible et dans le monde invisible, c’est lui qui permettra aux disciples d’annoncer partout la Bonne Nouvelle, avec courage, espérance et joie, même si les réponses à leur appel ne sont pas à la mesure de leurs efforts !
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- Qu’est-ce qui me retient de répondre à l’ordre de Jésus d’aller vers les autres pour leur faire connaître l’amour de Dieu pour eux ? Sur quoi ma foi doit-elle s’appuyer pour obéir à cet ordre ? Vers qui le Seigneur m’envoie-t-il aujourd’hui ?
- Ai-je l’assurance de la présence de Jésus dans ma vie ? Sur quelles expériences puis-je conforter cette assurance ?
- Comment honorer la profession de foi de mon baptême dans ma vie quotidienne ? A quoi m’engage de croire que Dieu est mon père, Jésus mon frère et l’Esprit mon guide ?
- Comment poursuivre l’œuvre de sanctification de ma vie commencée à mon baptême ?
08:00 Publié dans Enseignements de Jésus | Lien permanent | Commentaires (0)