10/05/2024
Étude n°7 Motivé par l’espoir 1 Th 4.13-18 (18 05 24)
Étude n°7 Motivé par l’espoir 1 Th 4.13-18 (18 05 24)
« En ce jour l’on dira : Voici notre Dieu, c’est en lui que nous avons espéré et c’est lui qui nous a sauvés ; c’est l’Éternel en qui nous avons espéré ; soyons dans l’allégresse, et réjouissons-nous de son salut ! » Esaïe 27.9
(Illustration : Dis, Maman, explique-moi …la mort, Ed Vie & santé : la résurrection des croyants)
Observons
Le contexte : Dans la deuxième partie de son épître aux Thessaloniciens, Paul exhorte ses destinataires à la sanctification (4.1-12), avant de rappeler la doctrine chrétienne de la résurrection (13-18).
Le texte ch 4.13-18
V 13.14 : la résurrection est l’objet de l’espérance chrétienne : comment est présentée la mort ?
V 15-17 : Processus de la résurrection des morts : qu'en sera-t-il des croyants morts avant son retour ?Qu'est-ce que la première résurrection ? A quel, moment aura-t-elle lieu ? Qu'en sera-t-il des croyants vivants au retour de Jésus ?
V 18 : Exhortation à la consolation par cette espérance : où iront les ressuscités et les transmués ?
Comprenons
Le contexte
La première lettre aux Thessaloniciens est le premier écrit du Nouveau Testament et de Paul. Il l’a envoyée lors de son séjour à Corinthe, au début des années 50 ap JC, pour répondre aux besoins des disciples de cette ville portuaire et commerçante, où il avait prêché quelques temps auparavant, au cours de son second voyage missionnaire. Cette église sous prétexte que le Seigneur allait revenir bientôt, négligeait le travail quotidien et minimisait l’importance d’une vie droite (4.3-12). Au point de vue de la fermeté de la foi (3.6-9) et de l’amour fraternel (4.9) elle pouvait servir de modèle aux autres croyants du pays (1.7). Seulement elle devait progresser dans la connaissance (4.1) et la pratique de la vie chrétienne (4.10-12).
En particulier ces chrétiens de la première génération s’inquiétaient du sort de ceux qui étaient déjà morts, avant le retour de Christ. Paul veut les rassurer, fortifier leur espérance et affermir leur patience.
Le texte
Les chrétiens de Thessalonique n’avaient pas été suffisamment enseignés sur ce que la résurrection de Christ entraînait pour les défunts, car Paul n’avait pas pu rester longtemps dans leur ville (Ac 17.1-10,13), à cause de l’incrédulité et de la violente hostilité des Juifs. Paul leur expose ici la doctrine biblique de l’état des morts, qui plongés dans un « sommeil » inconscient de leur être, attendent dans la poussière de la terre la résurrection qui accompagnera le retour de Christ. Cette conception de la mort (sommeil) suivie de la résurrection générale (éveil à une nouvelle vie) au Jour du Seigneur, est fondée sur quelques textes de l’Ancien Testament (Ec 9.5-6, 10 ; Job 19.25 ; Dn 12.2, 13 ; Ps 49.16), et sur des paroles de Jésus (Mt 9.24 ; Jn 11.11), qui s’opposent à la croyance d’une autre vie éternelle immédiatement après la mort. Paul développera cette doctrine un peu plus tard (1 Co 15) et Jean à la fin du siècle l’évoquera dans l’Apocalypse (14.13 ; 20.4-6).
Qui parle de sommeil, sous-entend un réveil après un temps plus ou moins long de repos dans l’inconscience totale de l’environnement. Le sommeil de la mort est plus complet que celui du repos nocturne, car il est sans rêve, sans réaction aux stimuli extérieurs ou intérieurs du corps. L’espérance du chrétien est que ce sommeil débouche sur un éveil pour la vie éternelle en présence de Christ.
Les chrétiens de Thessalonique croyant que Jésus allait revenir de leur vivant s’attristaient devant les décès de leurs frères croyants, se demandant s’ils verraient comme eux ce retour tant attendu. Paul leur détaille donc le processus de la résurrection générale, dont l’espérance se fonde sur la mort et la résurrection de Christ, en prémices de celles de tous les croyants. Par elles, Christ a vaincu la condamnation à la mort éternelle qui pèse sur tout pécheur, et il lui accorde la grâce de vivre avec lui dès à présent et pour l’éternité. C’est donc bien par Jésus et avec lui que le croyant retrouve la vie (14b). Il commence spirituellement sa vie éternelle au moment où il s’unit à Lui par la foi (Jn 5.24), moment manifesté devant tous au baptême par immersion. Il recevra la vie éternelle dans sa plénitude au retour de Jésus qui rassemblera tous ses disciples fidèles (Jn 5.25, 28-29 ; Jn 6.40).
V 15 : Paul affirme qu’il tient cette conviction de la Parole du Seigneur, celle qui est transmise dans les Écritures, ou celle qui lui a été révélée particulièrement (1 Cor 11.23a ; Ga 1. 11-12). Ce qu’il va enseigner aux Thessaloniciens vient du Seigneur, et se fonde sur « l’analogie de la foi » (Rom 12.6) : son enseignement est en correspondance ou concorde avec l’enseignement des Écritures. On ne peut ajouter foi à ce que la Parole de Dieu n’aborde pas ou contredit. La croyance en la survie éternelle et naturelle d’une "âme" de l’homme n’est pas biblique, mais est issue de la philosophie grecque de Platon, introduite dès le 1er siècle av JC dans la pensée juive par les Juifs hellénistiques d’Alexandrie, comme le philosophe juif Philon.
Paul révèle un scénario de la résurrection générale des croyants qui constitue la première résurrection (Ap 20.6), mais il n’en donne évidemment pas la date car « Nul n’en sait le jour ni l’heure » (Mt 24.36). C’est Dieu qui décide du moment (16a ; Ap 10.7) et comme Il l’a toujours fait, Il descend du ciel (= monde invisible et soumis à l’Esprit) vers l’homme soumis aux lois du monde terrestre et concret, pour l’élever jusqu’à Lui (16b-17).
Le son de la trompette annonce et accompagne sa venue : la trompette était l’instrument utilisé pour appeler les hommes à se rassembler pour un combat ou pour une assemblée religieuse. Elle accompagne toutes les théophanies (= apparitions divines) dans l’Ancien Testament et l’Apocalypse, pour symboliser la puissance de la voix de Dieu. Dans l’Apocalypse, comme à la prise de Jéricho, les trompettes annoncent l’événement important qui va suivre (destruction de la ville ou arrivée du Roi-Juge), pour préparer les cœurs et les esprits à le vivre dans l’humilité et la repentance. Elles symbolisent dans l’Apocalypse (ch 8-11.15) les événements terrestres qui avertissent l’humanité et interpellent les croyants, juste avant le retour de Christ (illustration de Zabou).
La dernière trompette de Dieu sera sa voix puissante pour réveiller les morts en Christ (16). Les croyants, vivant à la dernière génération (Paul croyait en faire partie, et tout croyant doit le croire pour stimuler sa vigilance et son esprit d’attente et de prière), seront régénérés dans leur être tout entier, revêtiront l’immortalité (1 Cor 15.52-54), et pourront alors accompagner les ressuscités dans une sorte d’ascension dans les « airs » : cette image reprend le récit de l’ascension de Jésus (Ac 1.9), pour symboliser le passage de notre économie terrestre imparfaite et pécheresse à l’économie supérieure du monde parfait de Dieu, invisible à nos yeux de mortels, où nous serons éternellement unis au Seigneur (17c). Paul ne localise pas physiquement cette vie éternelle. Il insiste seulement sur le fait qu’elle est comblée par la présence du Seigneur qui élimine toute souffrance et toute faiblesse (Ph 3.21 ; Ap 21.3-4).
Paul veut consoler les chrétiens de Thessalonique (18) avec cette pensée que nul ne sera défavorisé, ni par une mort prématurée, ni par un prolongement de vie. Dieu accueillera dans son royaume éternel les uns et les autres également et au même moment.
Paul ne parle pas ici de la résurrection des impies pour connaître leur jugement et la seconde mort (Dn 12.2 ; Ap 20.5 ; Jn 5.29), car ce n’était point la préoccupation des Thessaloniciens.
Questions pour une application dans la vie chrétienne
-La Parole de Dieu concernant l’état des morts et leur résurrection est-elle suffisamment connue de moi pour m’apporter, à moi et aux autres, consolation et espérance au moment d’un deuil ?
-Comment attendons-nous le retour du Christ : avec indifférence, incrédulité, crainte, espérance et impatience, joie, activité ou paresse ? Comment ma vie en est-elle influencée, au niveau social, familial, et ecclésial ?
- Pourquoi ce message d’espérance n’est-il pas plus d’actualité dans nos églises ? Qu’est-ce qui l’occulte dans nos esprits et nos pratiques ? Comment le remettre à l’honneur dans nos liturgies pour le bien de tous ?
08:00 Publié dans Grande controverse | Lien permanent | Commentaires (0)
03/05/2024
Étude n°6 Les deux témoins Ap 11.3-12 (11 05 24)
Étude n°6 Les deux témoins Ap 11.3-12 (11 05 24)
L’herbe sèche, la fleur se fane, mais la Parole de notre Dieu subsistera éternellement ».Esaïe 40.8
(Transfiguration de Jésus, entouré de Moïse et Elie)
Observons
- Dans quelle séquence de l’Apocalypse se trouve cette prophétie ?
- Quel ordre a été donné au prophète par l’ange (10.11 ; 11.1-2)
- Comment sont vêtus les deux témoins ? Quel sens a cette image ? v 3.
- Quelle identité est donnée à ces deux témoins v 4 ? A quoi cela fait-il référence ?
- Quel avertissement est donné à leur sujet ? v5
- A quels prophètes leur pouvoir renvoie-t-il ? v 6
- V 7-12 : Quel récit de l’AT leur histoire rappelle-t-elle ? (Livre d’Esther)
- V 11-12 : Quels autres événements du NT sont évoqués ici ? Que prophétisent-ils pour la fin des temps ?
Comprenons
Le contexte :
Les chapitres 10 et 11 ont été longtemps considérés comme des parenthèses dans la séquence des trompettes. Toutefois ils sont intégrés dans la sixième trompette et répondent à la question que le lecteur peut se poser devant les tableaux des événements terrestres révélés par les trompettes : « Que fait Dieu pendant ce temps ? Quel est le sort de son peuple ? ». Comme dans la séquence des sceaux, où le ch 7 répond à la question « Qui pourra subsister ? » posée au 6ème sceau (6.17), les ch 10 et 11 portent le regard sur la place du prophète, représentant de son peuple, dans les événements de la fin des temps. Le prophétisme se réveillera avec la lecture du petit livre de Daniel (10.10) et le début du « jugement de la Maison de Dieu »11.1-2a ; 1Pie 4.17).
Le texte : (Pour ce commentaire, nous empruntons de larges extraits de mon livre « Le message d’espérance de l’Apocalypse » Ed. BOD.com)
« Selon une méthode d’interprétation analogique[1], nous pouvons chercher à comprendre ce passage à la lumière de textes bibliques où se trouvent des situations et des expressions similaires.
Notre texte d’Ap 11.3-4 définit les deux témoins comme « les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre ». Cette comparaison renvoie au prophète Zacharie qui voit « deux oliviers, l’un à droite, l’autre à gauche » du vase du chandelier d’or à sept branches dans le sanctuaire de Jérusalem. L’ange lui en donne l’explication suivante : « Ce sont les deux Oints qui se tiennent devant le Seigneur de toute la terre »[2]. À l’époque de Zacharie, c’étaient le gouverneur Zorobabel et le grand sacrificateur Josué, qui travaillaient à la reconstruction du temple après le retour d’exil du peuple Juif.
En Ap 11.6, on apprend que les deux témoins « ont le pouvoir de fermer le ciel afin qu’il ne tombe pas de pluie...et le pouvoir de changer les eaux en sang et de frapper la terre de toute espèce de plaies ». Les allusions sont très nettes au pouvoir d’Élie (pluie) et de Moïse (eau changée en sang) : ils ont respectivement retenu la pluie pendant trois ans sous le règne d’Achab, et provoqué les dix plaies d’Égypte avant l’Exode vers Canaan, dont la première fut le changement en sang des eaux du Nil[3].
Ces deux prophètes, Moïse et Élie, se retrouvent aux côtés de Jésus lors de sa transfiguration[4]. Ils lui confirment que la Loi et les Prophètes qu’ils représentent, avaient « attesté d’avance les souffrances de Christ »[5]. Leur présence avec Jésus sur la montagne de la Transfiguration (Évangile et peinture 20è siècle) révélait, en outre, la puissance que Dieu possède, de ressusciter et transmuer ses serviteurs fidèles[6]. Le prophète Malachie associe aussi Moïse et Élie : « Souvenez-vous de la loi de Moïse, mon serviteur...Voici je vous enverrai Élie le prophète, avant que le Jour de l’Éternel arrive »[7].
Ces deux personnages sont donc bien pour l’Ancien Testament les représentants de la Loi et des Prophètes. Or nous avons déjà à plusieurs reprises rencontré dans l’Apocalypse les expressions similaires : « La Parole de Dieu et le Témoignage de Jésus » ou « les commandements de Dieu et le témoignage de Jésus » ou « les commandements de Dieu et la foi de Jésus » [8]. Ces expressions parallèles s’éclairent avec Ap 19.10 : « Le témoignage de Jésus est l’Esprit de la prophétie », et avec 1 Co 1.6 : « le témoignage de Christ ayant été solidement établi parmi vous, de sorte qu’il ne vous manque aucun don... » : Christ témoigne que son Église lui appartient par les dons de l’Esprit qu'il lui accorde.
La Parole de Dieu (La Loi donnée par Dieu à Moïse) apparaît donc comme ce qui nous est transmis par les ancêtres, et le témoignage de Jésus comme le don de l’Esprit, la prophétie, donnée à chaque génération à l’Église. Ainsi les deux aspects de la manifestation de Dieu aux hommes sont permanents et complémentaires.
Prenons quelques exemples :
Pour Noé, la parole de Dieu fut l’histoire de la Création transmise par ses ancêtres ; le don de l’Esprit, ou la prophétie, fut l’ordre de construire une arche pour être sauvé du déluge[9].
Pour Jérémie, la Parole, c’est la loi de Moïse ; le don de l’Esprit, c’est le message particulier de la soumission à Babylone pour avoir la vie sauve[10].
Pour Jésus, la Parole, c’est l’Ancien Testament ; le don de l’Esprit, c’est le message pour son temps : « Le Royaume est venu, repentez-vous ! », c’est l’appel qui retentit dans tout le Nouveau testament.
Quant aux restes de la postérité de la femme[11], ils gardent les commandements de Dieu, transmis par les générations passées, et ils ont le témoignage de Jésus, c’est-à-dire, entre autres, les trois messages d’Ap 14, manifestations de l’Esprit de Dieu aux temps de la fin.
Ainsi, chaque prophète est héritier du passé, et a un message particulier pour ses contemporains, adapté et utile à sa génération, avant de l’être aussi pour les futures.
Selon Ap 11. 3 et 7, les deux témoins reçoivent « le pouvoir de prophétiser... », donc de témoigner, de proclamer un message adapté à la situation au temps de la fin des trompettes. Cela peut signifier que Dieu se manifeste aux hommes de cette époque par sa Parole écrite (=la loi) et orale (= la prophétie), jusqu’au moment de la grande détresse et de la persécution finale (v 7-8), annoncées par Jésus lui-même pour ce temps[12], qui se terminera par la résurrection des élus et leur montée au ciel, auprès de Dieu (v11-12), à l’image de celles de notre Seigneur (Actes 1.2-3, 9).
Les Adventistes se sont reconnus dans ce passage, à cause de leur attachement à la Parole de Dieu et à la Loi, selon l’ordre pressant d’Ésaïe « À la Loi et au témoignage ! Sans quoi il n’y aura pas d’aurore pour le peuple ! »[13]. Ils estiment aussi avoir reçu le don de prophétie et l’appel à proclamer les messages du retour de Christ et de la nécessité du repentir, dont notre époque a besoin.
Un autre texte de l’Ancien Testament présente un parallélisme intéressant avec ce passage de l’Apocalypse. L’histoire d’Esther et de Mardochée nous permet de faire la comparaison entre les situations du livre d’Esther et celles du livre de l’Apocalypse.L’histoire de Mardochée et des Juifs exilés du 5ème siècle av JC et celle des deux témoins de la sixième trompette présentent bien des ressemblances. Dans les deux cas on a une menace d’extermination, une irritation ou un tourment chez les ennemis à cause du refus des témoins de Dieu de se soumettre à leur autorité, l’utilisation de la force pour les faire plier, le même délai de douleur et de deuil, l’abaissement ou la mort, puis la réhabilitation glorieuse, le même mouvement de conversion de dernière minute.
Comme Moïse et Élie exerçaient puissamment le pouvoir de la parole puisque les faits s’accomplissaient à leur parole, ils donnaient l’impression que c’étaient eux qui avaient la puissance. C’est pourquoi, leurs ennemis les rendirent responsables directs de ce qu’ils avaient annoncé à l’avance à cause de leur connaissance du plan de Dieu. De même, Haman accusait Mardochée, et étendait sa haine à tous les Juifs, à cause de leur refus de reconnaître son autorité. Enfin les deux témoins sont accusés et mis à mort à cause des tourments que leur parole a provoqués parmi les habitants de la terre, et à cause de leur refus d’adorer la bête[14].
En conclusion, nous dirons que les ressemblances entre l’histoire d’Esther et Mardochée et le passage des deux témoins, l’allusion à Moïse et Élie, à la résurrection et l’ascension de Jésus (v 11) nous font penser que tous ces événements bibliques peuvent être des préfigurations de ce qui se passera tout à la fin du temps des trompettes (= événements terrestres avertisseurs de la fin des temps).
Ce temps est un temps de grâce donné pour le repentir des derniers élus, un temps de révélation et de rassemblement du peuple de Dieu. Les épreuves et l’angoisse éprouvent la foi et la persévérance des saints, tout en opérant un tri parmi ceux qui se sont réclamés de Christ. Cette prophétie du ch 11 reste en partie encore obscure pour nous, mais elle nous est donnée pour que nous en reconnaissions les événements lorsqu’ils arriveront, et que nous relevions nos têtes, car ils nous feront savoir que le Seigneur est tout proche, « à la porte[15] ».
Questions pour une application dans la vie chrétienne
- Jésus à son ascension a envoyé ses disciples comme témoins parmi les nations. Comment remplir cette mission aujourd’hui, en ce temps de la 6ème trompette ?
- De quoi suis-je appelé à témoigner au monde ?
- -Comment rester fidèle à ma mission de prophète (= porte-parole de Dieu) dans un temps de persécution ou de trouble du monde ? Quelle espérance peut me soutenir ?
[1] Recommandée par Paul en Rom 12.6b et 1 Cor 14.32.
[2] Zac 4.3,14
[3] 1 R 18 ; Ex 7
[4] Lc 9.28-35
[5] 1 Pi 1.10-11
[6] Allusion à la résurrection anticipée de Moïse en Jude 9 ; et à l’enlèvement au ciel d’Elie vivant, en 2 Rois 2.11-12
[7] Mal 4.4-5 ou 3.22-23
[8] Ap 1.2,9 ; 6.9 ; 12.17 ; 14.12 ; 20.4
[9] Gen 6.13-14
[10] Jér 27.11-13
[11] Ap 12.17
[12] Luc 21.23-27 ; Mt 24.21-22
[13] Es 8.20
[14] Ap 13.15
[15] Mat 24.33 ; Luc 21.28
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